Le Fantôme noir

dans le sommeil comme dans la veille ? » En ce sens, le rêve ne serait déjà plus tout à fait une illusion… La base perceptive Que se passe-t-il quand on ferme les yeux ? Spontanément, on serait tenté de répondre que l’on « perçoit » un fond noir, c’est-à-dire rien. Mais si l’on fait d’avantage attention, on s’aperçoit rapidement qu’il y a une sorte de poussière lumineuse, des tâches colorées : des phosphènes. Quelle qu’en soit l’origine physiologique, l’important pour Bergson est que ce fond

Javert pencha la tête et regarda. Tout était noir. On ne distinguait rien. On entendait un bruit d’écume ; mais on ne voyait pas la rivière. Par instants, dans cette profondeur vertigineuse, une lueur apparaissait et serpentait vaguement, l’eau ayant cette puissance, dans la nuit la plus complète, de prendre la lumière on ne sait où et de la changer en couleuvre. La lueur s’évanouissait, et tout redevenait indistinct. L’immensité semblait ouverte là. Ce qu’on avait au-dessous de soi, ce n’était pas

panneau tout n'est que désordre, débris de chair et de vie. Mais on peut voir grâce à ce triptyque, que c'est un cercle vicieux, les soldats montent au front, combattent et meurt. Les lumières utilisées dans ce tableau sont limitées il y a du brun, du noir, du marron, de l'ocre, de l'orange pâle, du gris et du blanc. Le partie droite du tableau est la plus sombre du triptyque et la partie gauche quant a elle, est assez brumeuse. Avec les soldats qui partent à la guerre. - 2eme tableau : Picasso

la seule qui compte aujourd’hui pour moi, je pourrais moins toucher ton front et tes lèvres que les premières lèvres et le premier front venus. J’ai tant rêvé de toi, tant marché, parlé, couché avec ton fantôme qu’il ne me reste plus peut – être, et pourtant, qu’à être fantôme parmi les fantômes et plus ombre cent fois que l’ombre qui se promène et se promènera allègrement sur le cadran solaire de ta vie. Robert Desnos Texte 3 : Hélène Je t’attendrai Hélène A travers les prairies A travers

aucouleur et aux odeurs. Les murs « suant d’une humidité âcre » ainsi que « les souffles froids de caveau » nous empêche de respirer. Les couleurs ou leur absence sont là pour donner la forte impressiond'un lieu où la lumière pénètre à peine : le vitrage noir de crasse ne laisse passer qu'une « clarté blanchâtre » ou « de la nuit ». Bref tout est sombre dans ce passage étroit oû un huis clos estlié à la saleté, l'usure, l'humidité, le froid et l’aspect étroit du passage. Toutes ses idées sont connotées

Picasso avait par ailleurs eu une commande pour peindre un tableau qui sera exposé à l’exposition universelle. Il a donc choisi cette événement, car celui-ci l’a marqué et l’a inspiré. III) Description de l’œuvre : Ce tableau est peint avec du noir, du blanc, du jaune-pâle, et du gris. La figure centrale du tableau est une jument horrifiée dont le corps, recouvert de traits formant des lignes horizontales, est transpercé par une lance. Au dessus de cette figure, on y voit une lampe qui domine

innocent. Nous retrouvons les aspects traditionnels qui le décrivent ; "Le rêveur lunaire"(vers1), "riait aux aïeux"(vers2) ou encore "sa gaîté"(vers3); ce qui montre un Pierrot comme on le connait, joyeux et enfantin. Nous le retrouvons aussi vêtu de noir et de blanc, qui est représenté ici plusieurs fois : "Lunaire"(vers1), "sa pâle blouse"(vers6), "ses manches blanches"(vers10) ou encore "la farine"(vers13), pour le visage qui donne un teint de porcelaine. Ce qui renvoie automatiquement à l'enfance

Le Fantôme de Lena Je vais vous raconter une histoire, qui nous est arrivée à ma famille et à moi, il n’y a pas si longtemps. Cela se passe à Langres-les-lacs, dans l’Est de la France, au début du dix-neuvième siècle. Cela fait maintenant cinq mois qu’un drame s’est produit à quelques kilomètres d’ici dans un village nommé Langres-les-lacs. Rosalie et Amandine, mes deux filles, devaient se rendre à Langres-les-lacs, chez leur oncle Georges qui avait gentiment proposé de les accueillir

sujet cent fois revisité Mais par une vision nouvelle Le spectateur sera envoûté. Imaginons une situation renversée : à la place des nouveaux locataires terrorisés, prenons de nouveaux arrivants qui martyrisent nos revenants. Des fantômes qui voient leur maison investie par de grossiers personnages. Une lutte s’engage pour posséder la maison. Leur vie devient un enfer… Enfin… leur mort, pour être plus exact. Oui, leur mort devient un enfer, ils ne savent plus à quel saint

Louis- Marie vit chez son oncle, propriétaire de l'auberge du bon chien jaune, à Brest, où s' organisent d' étranges commerces. Notamment entre celui- ci et un certain Pain Noir, qui réclame que lui soient livrés des morts ... Intrigué, le jeune garçon décide d en savoir un peu plus. Frontispice de l'édition de 1926 des Clients du Bon Chien jaune L’action se déroule en Bretagne, sur la côte du Léon, en 1756. Le jeune Louis-Marie Benic, âgé de 14 ans, vient de perdre son père. Seul, sans ressources