Le Fantôme noir

formes), les persos ne prennent figure + humaine que pr évoquer des ê défunts, à l’âme tourmentée. Le mot «spectre» en effet, aux sonorités très dures, succède à la 1ère vis° globale encore floue pr connoter la mort, ms aussi l’insatisfact°. Car le fantôme, à l’inverse des autres défunts immobiles à jms, hante pr tjrs certains lieux. 2 gpes de termes évoquent ici le mvmt auquel cette sorte d’ê semble condamnée à jms (v.2, 15 : ont passé, marchaient). De +, outre leur silhouette, certains points précis

toi, la seule qui compte aujourd'hui pour moi, je pourrais moins toucher ton front et tes lèvres que les premières lèvres et le premier front venu. J'ai tant rêvé de toi, tant marché, parlé, couché avec ton fantôme qu'il ne me reste plus peut-être, et pourtant, qu'a être fantôme parmi les fantômes et plus ombre cent fois que l'ombre qui se promène et se promènera allègrement sur le cadran solaire de ta vie. « J’ai tant rêvé de toi » est un poème de Robert Desnos publié dans Corps et biens en 1930.

occupé par une lampe en forme d’un œil, et qui domine tout la scène. Il s’agit d’un tableau composé de couleur monochromes (blanc, noir, gris) qui représente une scène intérieur ou l’on voit différents animaux et personnages au trait déforme. Picasso choisit de peindre sa toile en noir et blanc car il veut peut-être symboliser le deuil et la mort. La toile et le noir et blanc peuvent aussi représenter la presse, car Picasso à découvert le massacre de la ville de Guernica dans la presse, Par exemple

si il sortent dans les 4 minutes qui suivent ils aperçoivent 3 hommes mort vêtue de noir ils sont cagoulés #si plus de 12 les aventuriers aperçoivent un signe que chacun des 3 hommes ont sur le bras et sur leurs vêtement# il y a 3 garde debout dont un au sol gravement blessé deux gardes restent près du blessé tant dis que le troisième s'en va #si plus de 10 les aventuriers aperçoivent que l'un des hommes en noir est vivant# si le garde est suivi les aventuriers le perdent de vues lorsque qu'ils arrivent

cela réveille Fifi qui se lève et prend sa couverture Ilié-Elle ne sait pas qu’elle n’a plus un sou les 2 enfants se rappprochent Romain -Merci Fifi, nos amitiés à ton père fifi leur jette la couverture dessus, les voleurs tombent Ilié -C’est noir là dedans, allume la lumière -Vous m’excuserez messieurs, mais je ne pouvais pas vous laisser partir comme ça. Vous devriez avoir honte de vous en prendre à une petite fille. Anika et Thomy arrivent et croisent les voleurs qui s’enfuient ils récupèrent


se
trouve
un
homme
qui
se
serre
les
tempes
à
deux
mains
et
 crie
.
Il
a
la
bouche
ouverte
et
son
corps
semble
déformé
par
la
douleur.
 Deux
autres
personnes
sont
derrières
lui.
Ce
sont
des
silhoue[es
sombres.

Peut‐être
le
suivent‐elles
?
 Ce
personnage
ressemble
à
un
fantôme
…
Il
semble
flo[er
dans
les
airs.
Ses
traits
ne
sont
pas
 caractéris<ques,
il
n’a
pas
d’iden<té.
Son
image
dérange
le
spectateur;
elle
est
troublante.
 En
arrière
plan
,un
paysage
ondulant
où
la
mer
et
les
montagnes
se
mêlent
au
ciel.

 La
composi

lui ont prédit, il est donc normal qu'il cherche à s'en débarrasser au plus vite. Chacun de ses meurtres semblent anéantir toute l'humanité qu'il restait en lui et il apparaît alors comme le partenaire dominant dans son mariage. L'apparition du fantôme de Banquo le fait de nouveau douter et se questionner, d'un coup il n'est plus sure de ce qui est et de ce qui n'est pas. L'une des évolution les plus frappante du personnage est l'apparition d'une extrême fierté ainsi que de l'orgueil. Macbeth

qui sert à ralentir l’action du passé simple, Zola peut créer une atmosphère pleine de tension. D’ailleurs, les phrases longues et avec plusieurs virgules (l. 8) illustrent bien l’effort que Thérèse et Laurent doivent produire pour lutter contre le fantôme de Camille, même si leur situation est plutôt interminable. Il y a aussi une forte tension entre les deux personnages, qui est accentuée ironiquement par Zola avec l’emploi fréquent des mots «leurs», «ils» et «les». Ce choix de langage souligne

joug de la dictature franquiste. Cette toile, inspirée du bombardement de la ville de Guernica, le 26 avril 1937, devient le symbole des horreurs de la guerre. Description : Il s’agit d’un tableau composé de couleurs monochrome (blanc, gris, noir) qui représente une scène intérieure où l’on voit différents animaux et personnages aux traits déformés. La toile est découpée en plans triangulaires : Le centre est occupé par une lampe en forme d’un œil, et qui domine toute la scène. Au-dessous

volcan) L'artiste a associé une note dans un de ses journaux a propos de cette œuvre: un soir, je marchais […]. le soleil se couchait - soudain le ciel devint rouge sang . Il y avait du sang et des langues de feu au-dessus du fjord bleu-noir et de la ville. J'ai entendu un cri infini déchirer la Nature. J’ai peint ce tableau, peint les nuages comme du véritable sang. Les couleurs hurlaient. Coucher de soleil pris en Islande après l’éruption du volcan Eyjafjöll • Panache de cendre