Le Fantôme noir

grande Babylone », tel un fantôme errant ou une raie dans la mer (celles-ci y vivent cachées dans le fond). Il est juste appelé « le clandestin » (et non pas par son nom, devenant un anonyme), comme d’autres étrangers (l’Algérien, le Péruvien…). Il est rejeté par la société comme tout ce qui est illégal (la marijuana…). Dans la Clandestino, le nom de l’ancien groupe de Manu Chao, la Mano Negra est évoquée (dans le sens, peut-être, de main d’œuvre qui travaille « au noir »). On sent une simplicité

thermes est involontairement imprécis, ensuite on apprend que ce sont des fantômes. Il y a deux phases d'évolution : ils traversent le parc c'est une progression dans le mouvement. Probablement que dans leur marche ils se rapproche du poète spectateur. La scène est volontairement sinistre avec une absence de regard. Le choix de l'allitération en « m » est repayante quand on l'analyse (v.3). Les silhouettes de fantômes sont des spectres. Il y a une image de décomposition de la relation. C'est

d'aïeux Dans leurs cadres montant la garde, Un cri répond aux chants joyeux ; D'un long corridor en décombres, Par la lune bizarrement Entrecoupé de clairs et d'ombres, Débusque un fantôme charmant ; Peigne au chignon, basquine aux hanches, Une femme accourt en dansant, Dans les bandes noires et blanches Apparaissant, disparaissant. Avec une volupté morte, Cambrant les reins, penchant le cou, Elle s'arrête sur la porte, Sinistre et belle à rendre fou. Sa robe, passée et fripée

ainsi l'instabilité du monde. 1. Hamlet , William Shakespeare, 1603, 1. Les Tragiques , Théodore Agrippa d'Aubigné, 1616, mouvement « baroque noir » du fait de la présence de fantômes et autres procédés visant à susciter la peur Dans cette œuvre, on retrouve de nombreux usages d'hyperboles et de métaphores, ainsi que l'usage d'un champ lexical de la circularité et du mouvementExemples artistiques

boutiques qui défilaient » (l.15) ne sont-elles pas une métaphore des divagations de la conscience du personnage ? Quant à Gervaise, elle a peur (l.14) de retrouver son amant Lantier mort, elle se morfond dans sa tristesse et sa douleur. Elle broie du noir et tout ce qui l’entoure reflète sa tristesse. Le Paris n’est que « puanteur », muraille grise », « coins sombres »…ce champ lexical exprime toute la peur et la tristesse de Gervaise. Le personnage de Bardamu débarque à New York et ne connaît pas le

16ème siècle, Kieln réalise une lanterne magique. Il met en avant l'idée de la diapositive par l'aggrandissement de l'image (d'ailleurs effrayante comme des êtres surnaturels, des fantômes, des ombres par goût) En 1798, Etienne Gaspard-Robert utilise le fantascope pour créer des fantasmagories. On examine des fantômes. Ainsi nait des spectacles visuels forts avec toujours des spectateurs dans une salle grâce aux déplacements d'images fixes Au tout début du 19ème siècle, Thomas Wedgood initie

- Octave ! ô fou que tu es ! tu as un pied de rouge sur les joues ! - D'où te vient cet accoutrement ? N'as-tu pas de honte en plein jour ? OCTAVE. - O Coelio ! fou que tu es ! tu as un pied de blanc sur les joues ! D'où te vient ce large habit noir ? N'as-tu pas de honte en plein carnaval ?COELIO. - Quelle vie que la tienne ! Ou tu es gris, ou je le suis moi-même. OCTAVE. - Ou tu es amoureux, ou je le suis moi-même.COELIO. - Plus que jamais de la belle Marianne.OCTAVE. - Plus que jamais de vin

sil chercher un avenir ailleurs. Le plus mystérieux fut qu’il était vêtu tout en noir, était –il un gothique ou une personne maléfique ! Peut être était il Lancien propriétaire de ce grand bijoux monstrueux, grand comme une montagne et vaporeux comme une mousseline. Tout à coup pour en savoir plus je sortais de ma cachette pour lui proposé s’il avait besoin d’aide, mais soudain il disparut comme un fantôme. Mais ce fut impossible de voir un humain disparaitre d’un tell sorte et d’une rapidité

d'exposition : Musée de la Reine Sofia à Madrid Signe particulier : Irréalisme Cette œuvre est un tableau en noir et blanc qui représente des animaux et des humains difformes. Ils ont des langues pointues. Au centre, on voit un taureau et en dessous une femme qui pleure avec un bébé mort dans les bras. En dessous du cheval, il y un bras qui tient une épée; Sur la droite, on voit des femmes, il y a un fantôme qui tient une torche. Au-dessus de ce tableau, il y a une lampe. Ce tableau est composé de formes géométriques

avec les fantômes de son passé et les difficultés visibles du quotidien. Contexte historique Etats-Unis, 1962, John Fitzgerald Kennedy est président. Le gouvernement américain reconnaît qu'il intervient au Vietnam. En avril, il décide la reprise des essais nucléaires qui cesseront en novembre. Kennedy prononce le discours « we choose to go to moon » en septembre, marquant le début de la conquête de l’espace. En octobre, il impose par la force l'admission de James Meredith, premier étudiant noir à l’université