Le Fantôme de la liberté

La Liberté Guidant Le Peuple Le romantisme : Le romantisme est un mouvement datant de la première moitié du 19ème siècle (fin 18ème – 1850). Le romantisme est très présent en France. Eugène Delacroix est le peintre représentatif du romantisme français. Le romantisme concerne tous les arts ( musique, sculpture, peinture…). Excès, parfois violence, engagement caractérisent le romantisme. Eugène Delacroix : Il est né en 1798 près de Paris. Élève à l’Ecole des Beaux-arts, Delacroix se montre très

tragique, de l’innocence bafouée et de rêves grandioses cruellement déçus dans les eaux d’un fleuve de mort, Ophélie semble porter les aspirations du jeune poète, mais aussi ses appréhensions quant à l’accueil que recevront ses désirs d’amour et de liberté. Comme lui, elle chante et, comme il le craint, son chant vient à se tarir pour devenir mélopée funèbre. Si ce poème est l’un des tout premiers de Rimbaud, on y voit déjà la manière saisissante qu’il a d’exprimer ses aspirations en réinvestissant

qui est lié à la nature et le bonheur inouï/ irréel que celle-ci apporte « A la première haleine de la forêt ; mon cœur se gonfle. » (« En marge d’une page blanche II ») 3.l’éloge de la nature, de sa beauté, de son harmonie, sa liberté -la célébration de la nature est une sorte de rituel d’ordre littéraire, propre à chacun. -la nature apporte donc ce côté philosophique plutôt que réel -On retrouve fortement la célébration du monde, plus particulièrement de la nature, au XIXe

explicitement et tout le temps. Ce chemin devant moi m'indique que des hommes l'ont tracé.  Ils  ne  sont plus là, mais ils  sont tout de même présent à travers ce chemin. L'idée que  véhicule le mot hanté, comme on le retrouve utilisé lorsqu'on parle de fantôme, c'est l'idée  que   quelqu'un   a   vécu   ici,   est   passé   par   là,   et   qu'il   continue   d'une   certaine   manière   à  m'imposer sa présence, etc. C'est l'idée d'une présence particulière.  L'homme,   comme   tout   être   vivant,  

Le fantôme de Canterville et autres contes Oscar Wilde LLee ffaannttôômmee ddee CCaanntteerrvviillllee eett aauuttrreess ccoonntteess BeQ Oscar Wilde LLee ffaannttôômmee ddee CCaanntteerrvviillllee et autres contes La Bibliothèque électronique du Québec Collection À tous les vents Volume 719 : version 1.0 2Du même auteur, à la Bibliothèque : Le crime de lord Arthur Savile 3Le fantôme de Canterville 41 Lorsque M. Hiram B. Otis, le ministre américain, acheta Canterville

l’obscurité. Cela signifie que la paix est ne peut être possible entre les nationalistes et les républicains. -Le fantôme avec sa bougie montre l’acerbité de la communauté internationale qui veut faire de la lumière sur ce qui vient de se passer. -Au sol, le soldat symbolise l’incapacité de continuer la lutte, l’inégalité des armes. -La femme qui boîte à droite, tente de marcher vers la liberté : c’est un idéal qui hélas n’ait point accessible. -Au centre, l’ampoule en forme d’œil peut représenter l’espoir

était la muse du poète), « j’étais ») souligne la différence entre la beauté (propre à la jeunesse) et la vieillesse. Le premier tercet et le premier vers du second tercet opposent la mort du poète (champ lexical de la mort : « sous la terre », « fantôme », « sans os » et « repos ») et la vieillesse d’Hélène qui regrettera de ne pas l’avoir aimé (« regrettant […] votre fier dédain »). Une déclaration d’amour particulière On remarque qu’Hélène, contrairement au poète (qui se nomme ; abondance des

»=violence singulière litote v12 Verbes d’action : « mime / imite » → marins se moquent / s’amusent Écho avec le vers 1 : « pour s’amuser » v12 Oxymore : « l’infirme qui volait » : pris entre soumission et liberté → + développement oxymore avec champs lexicaux Soumission liberté - Maladroit vastes oiseaux - Honteux grandes ailes - Boitant rois de l'azur - Piteusement prince des nuées III/un rapprochement final entre poète

républicain espagnol. Sa bouche ouverte et sa langue pointue évoquent un cri de douleur. La lance qui le blesse au flanc le blesse à mort et rappelle celle qui blesse la poitrine du Christ dans de nombreux tableaux religieux. C’est la victime innocente, la liberté assassinée. Le soldat mort : Le corps démembré et décapité témoigne de la violence et la brutalité du combat. La tête et un bras sont coupés. Ses yeux renversés indiquent la mort. Sa main est encore refermée sur une épée brisée. C’est la figure

mort et des voix prophétisant avec un accent terrible d'affreux embrasements et des événements confus qui couvent une époque de calamités. On dit même que la terre avait la fièvre et a tremblé. Macbeth. Voici la porte. Macduff. Je prendrai la liberté d'entrer ; car c'est une prescription de mon service. Le roi s'en va-t-il d'ici aujourd'hui ? Macbeth. Oui... Sort Macduff. Macbeth. C'a été une rude nuit. Macduff. Entrez dans la chambre et aveuglez-vous devant une nouvelle Gorgone... Ne