Le Diable

d'esprit... N'est-il pas de notoriété que le maréchal guérit toujours ses malades sans leur parler ; au lieu que le médecin parle beaucoup aux siens... BARTHOLO. Sans les guérir, n'est-ce pas ? LE COMTE. C'est vous qui l'avez dit. BARTHOLO. Qui diable envoie ici ce maudit ivrogne ? LE COMTE. Je crois que Vous me lâchez des épigrammes, l'Amour ! BARTHOLO. Enfin, que Voulez-Vous, que demandez-Vous ? LE COMTE, feignant une grande colère. Eh bien donc, il s'enflamme ! Ce que je veux ? Est-ce

tuer ces fantômes. Deux personnages de l'Europe de l'Est, ont servi de modèle à Bram Stocker pour son roman Dracula : Erzebeth Bathory et Vlad Teppes dit Dracula. Le mythe de Dracula Dracula viendrait du nom latin draco qui veut dire dragon ou diable ou encore du mot slave drakol qui signifie pieu ou pal.Durant son enfance, Vlad Tepes dit Dracula, fut pris en otage par les Turcs qui faisaient pression sur son père Vlad II, alors sur le trône de Valachie.Une fois au pouvoir, il dut constamment

peut le plus peut le moins, allez-vous me rétorquer. Mais là encore, cette imperfection serait alors voulue par Dieu. Il serait donc aussi à l'origine de non seulement tout ce qu'il y a de bien mais de tout ce qu'il y a de mauvais. Ainsi, Dieu et le Diable seraient le même être. Par l'absurde, j'arrive à nouveau à réfuter cette preuve.

Voir fiche élève Trace écrite : Au Moyen Age, les hommes ont une grande confiance en Jésus-Christ. Ils croient que sa mort sur la croix leur assure le salut lors du Jugement dernier. Ils gagneront alors le Paradis. En même temps, ils craignent le Diable qui les pousse à commettre des péchés, ce qui les mènerait en enfer. Les hommes prient les saints et surtout la Vierge Marie. Ils n'hésitent pas à partir en pèlerinage sur les lieux où ont vécu le Christ ou les Saints et où l'on trouve des reliques

la capture du dragon et son enchainement. La clef est synonyme de pouvoir tandis que l’abîme est réputé être le repaire des esprits impurs ainsi que celui du monstre Léviathan. Ap 20, 2-3 : « Il s’empara du dragon, l’antique serpent, qui est le diable et Satan, et l’enchaina pour mille ans. Il le précipita dans l’abîme qu’il ferma et scella sur lui, pour qu’il ne séduise plus les nations jusqu’à l’accomplissement des mille ans. Il faut après cela qu’il soit relâché pour un peu de temps». Le premier

wagon. Les flics. Le pauvre diable n’a pas pu réagir, en moins d’un battement, il était criblé de balles. On s’est tous jeté par terre et cherché une planque. Le wagon lançait du plomb dans toutes les directions et par centaines de coups par seconde qui se plantaient où ils voulaient. Plusieurs hommes ont décidé que leur sang était plus précieux que leur salaire et ont pris la fuite. « Bande de lâches, revenez ici, ti cazzo vi ammazzo! » Franky hurlait à tous les diables avec du feu dans les yeux

entre les deux devisants. Assez comique : c’est un capitaine et exprime la fatalité par des mots appartenant au champ lexical de la guerre, des armes. Après une courte pause, Jacques s’écria : « Que le diable emporte le cabaretier et son cabaret ! » LE MAÎTRE— Pourquoi donner au diable son prochain ? Cela n’est pas chrétien. * Juron de Jacques crée le comique : alors qu’ils sont en train de parler de fatalité, et après une pause, ce juron arrive comme un cheveu sur la soupe. * La

  SCÈNE II Résumé La scène 2 joue dans la chambre où le nègre a trouvé Lizzie.  La scène raconte d’une longue conversation de Lizzie et Fred. Fred est un client de Lizzie et il est, comme tous les blancs, un raciste. Il nomme Lizzie souvent le Diable. Ils parlent du nègre et Fred veut savoir, qu’est-ce que le nègre voulait de Lizzie. Lizzie raconte qu’est-ce qu’il voulait et elle dit qu’est-ce qui s’est passé dans le train. Quatre blancs, qui était très soûls, sont montés.  Il voulait jeter les

ses désirs B) IL GENERE LA GENE Quelque chose de malsain dans son comportement Apathie du spectateur pour le pauvre qui est obligé de se justifier C) UN ROLE DIABOLIQUE, ENGEANDRANT LA DIVISION Il sème le trouble, divise ce qui est uni, le diable (lat. di = deux) Remet en cause l’échange entre les bien matériels et spirituels (le sens de la prière)  Un personnage manipulateur et pervers, qui se plait à jouer avec les plus faibles III) DIFFERENCE DES REGISTRES A) L’EFFET COMIQUE

I) Un portrait centré sur le sourire de Gwinplaine. (Pourquoi l'auteur centre-t-il son portrait uniquement sur son sourire ?) A) Le sourire de Gwinplaine. -Le sourire de Gwinplaine semble être une création inspirée pas Dieu ou par le Diable; l.3 "don fait par la providence".1 -Le sourire de G. est un sourire fabriqué; l.1 "admirablement réussi", c'est comme si il portait un masque qu'il ne peut pas enlever. -G. ne peut s’empêcher de rire, c'est comme si il avait un masque car il ne