Le Diable

« On dit que le diable est dans les détails ». Certainement je ne m’opposerais pas à cette citation quand elle s’applique à la science de la dépression (eh oui c’est devenu une science pour certains). Au jour d’aujourd’hui, la majorité des êtres humains du 21eme siècle sont devenus des experts dans la maitrise et l’art de la déprime. Ils revivent leurs erreurs passées en les explorant chaque fois à travers leurs images mentales et les voix intérieures qui constituent leurs souvenirs. Ceci

défendre sa thèse, Voltaire adopte une démarche argumentative bien précise : montrer, à l’aide de plusieurs exemples, que la définition du beau ne fait pas l’unanimité chez tout le monde. Les créatures interrogées (un crapaud, un nègre de Guinée, le diable) ont chacune une réponse conforme à ce qu’elle connaît, à ce qui lui ressemble. Les indications descriptives contenues dans chaque réponse constituent les éléments essentiels d’un autoportrait. Pour le crapaud par exemple, ce sont « deux gros yeux

Achille discrètement dans sa barbe. De qui parle tu ? répliqua Albert en gardant toujours les yeux dans son livre. De ces pauvres Indiens d’Amérique Ce sont des animaux ! Il ne sont pas fils de Dieu ils descendent directement du diable ! Que dit tu ? Des descendant du Diable ? Questionna Achille révolté de ce que son ami venait de dire. Oui ! Ces sauvages ne descendent pas d'Adam et d'Eve comme nous. Ils sont cruel. Te rend tu compte des propos que tu tiens et pourquoi il ne serait pas fils de Dieu 

Bal des pendus Rimbaud Au gibet noir, manchot aimable,Dansent, dansent les paladins, Les maigres paladins du diable, Les squelettes de Saladins. Messire Belzébuth tire par la cravateSes petits pantins noirs grimaçant sur le ciel,Et, leur claquant au front un revers de savate, Les fait danser, danser aux sons d'un vieux Noël! Et les pantins choqués enlacent leurs bras grêles:Comme des orgues noirs, les poitrines à jour Que serraient autrefois les gentes damoiselles,Se heurtent longuement dans un

comique de situation * Malentendus (quiproquos) * Situations embarrassantes * Le comique naît des circonstances de l’intrigue, par des rebondissements, des renversements de situation, des quiproquos. Diverses situations 1) Le diable à ressort (boîte à surprise) : il s’agit d’une répétition qui réside dans l’affrontement de deux forces qui ne veulent pas abandonner la partie… jusqu’à ce que ça éclate. 2) La répétition : la même situation revient plusieurs fois. On a une

Guenièvre et Lancelot. Cette même légende narre l'installation d'une nouvelle religion, le christianisme dans une religion à l'obédience païenne. - Au tout début, il y aurait eu une émeraude sur le front de Lucifer, le chef des anges déchus {le diable }.Cette émeraude serait tombée de son front lors de sa chute et recueillie par les anges qui la taillèrent en Graal, c'est à dire en vase. Ce vase aurait été donné à Adam, qui le perdit à son tour lorsqu'il fut chassé du Paradis terrestre. Il aurait

le fer ou le feu qui signifie misère, tourment, douleur, etc... Dieu nous aime d'un amour inconditionnel Dieu a tout fait pour nous sauver, maintenant c'est à nous de choisir. Choisir Jésus = C'est choisir la vie, la vie éternelle Choisir le diable = C'est choisir la mort, l'enfer, l'enfer éternel Le ballon est dans vos pieds, c'est à vous de choisir ce que vous voulez faire avec. L'heure passe et le temps avance. Car Dieu a dit dans sa parole : « Vous ne connaissez pas ni le jour ni

Un Homme n’ayant plus ni crédit, ni ressource, Et logeant le Diable en sa bourse, C’est-à-dire, n’y logeant rien, S’imagina qu’il ferait bien De se pendre, et finir lui-même sa misère, Puisque aussi bien sans lui la faim le viendrait faire, Genre de mort qui ne duit pas A gens peu curieux de goûter le trépas. Dans cette intention, une vieille masure Fut la scène où devait se passer l’aventure. Il y porte une corde, et veut avec un clou Au haut d’un certain mur attacher le licou. La muraille

crescendo, jusqu'au « non monsieur » finale. Il y a une confrontation entre la foi et l'argent. b) Dom Juan contre Dieu : une scène qui annonce la suite de la pièce : Dans cet affrontement, Dom Juan, par le marché qu'il propose au pauvre, figure le diable tentateur, tandis que le pauvre, qui n'a pas d'identité précise, est un personnage emblématique qui représente Dieu lui-même. Par ses vêtements en lambeaux et son extrême piété, il rappelle le Christ. Dom Juan montre une provocation insolente mais

« lâches », « débauché », « volons », « clandestin », « viol ». Baudelaire nous montre ici la face cachée de l’homme et on voit aussi à travers cela que l’homme est corrompu. De plus, l’Homme est déshumanisé, il n’est pas maître de son corps « c’est le Diable qui tient les fils qui nous remuent » (vers 13) « chaque jour vers l’Enfer nous descendons d’un pas » (vers 15). On a donc l'image d’un homme sans volonté et qui est largement dominé par le Mal. Cette volonté est caractérisée par « riche métal »,