Le Devoir Du Maitre Secret

FREVAL, Marc-Antoine Année universitaire 2010/2011 LICENCE 3 RAPPORT DE STAGE THEME CHOISI Les devoirs d'information, de conseil et de mise en garde du banquier à l'égard des consommateurs en matière de crédit à la consommation SEL d’avocats inter-barreaux Représentée par Maître Jérôme Gautier Avocat au Barreau de Nantes 1, rue Alphonse-Gautté – 44000 NANTES Tél. : 02.40.48.72.79 – Fax : 02.40.89.03.82 1 INTRODUCTION « Depuis près de 30 ans, nous vérifions pourquoi et comment l’on

Vergy, dans une propriété à l’écart de Verrières où les Rênal se sont installés, Madame de Rênal, Madame Derville, une amie, et Julien passent les soirées dans le jardin. Celui-ci touche la main de Madame de Rênal par hasard. Dès lors, il se fait un devoir d’obtenir cette main. Il prend alors sa décision : « Au moment précis où dix heures sonneront, j’exécuterai ce que, pendant toute la journée, je me suis promis de faire ce soir, ou je monterai chez moi me brûler la cervelle », de façon quelque peu

qui en est le maître » autorise ces établissements, leurs biens sont alors légitimes et bien qu'ils n'aient « rien naturellement au-dessus d'eux ». Pascal fait remarquer aux grands que « tous les emportements, toute la violence et toute la vanité des grands vient de ce qu'ils ne connaissent point de ce qu'ils sont », synonyme d'orgueil, d'amour-propre et vivent dans un « oubli de leur état naturel », une ''illusion'' ainsi « Le peuple, qui vous admire, ne connaît peut être pas ce secret ». Ensuite

ont souffert la furie ; Car enfin vous savez qu'il n'est grands ni petits Acte I 7 L'Ecole des femmes Que de votre critique on ait vus garantis ; Car vos plus grands plaisirs sont, partout où vous êtes, De faire cent éclats des intrigues secrètes... Arnolphe Fort bien : est−il au monde une autre ville aussi Où l'on ait des maris si patients qu'ici ? Est−ce qu'on n'en voit pas, de toutes les espèces, Qui sont accommodés chez eux de toutes pièces ? L'un amasse du bien, dont sa femme fait part

public; et quoiqu'on n'y fasse guère moins de fautes que dans celle des filles, du moins on est persuadé qu'il faut beaucoup de lumières pour y réussir. Les plus habiles gens se sont appliqués à donner des règles dans cette matière. Combien voit-on de maîtres et de collèges3! combien de dépenses pour des impressions de livres, pour des recherches de sciences, pour des méthodes d'apprendre les langues, pour le choix des professeurs! Tous ces grands préparatifs ont souvent plus d'apparence que de solidité;

lui valent une pension royale. Il porte sa tragédie Théagène et Chariclée à Molière, qui la refuse, mais encourage le jeune auteur et crée sa première tragédie représentée, la Thébaïde, en 1664, puis en 1665, Alexandre le Grand. Mais Racine porte en secret sa seconde pièce à la troupe de l'Hôtel de Bourgogne qu'il juge supérieure à celle de Molière dans le grand genre. Ce procédé provoque sa brouille avec Molière, tandis qu'il rompt aussi ses attaches avec Port-Royal et s'engage en entier dans la carrière

les supervises et les contrôles par le biais des institutions et des administrations publiques, autrement dit qu'il est souverain; d'un autre côté on peut penser au contraire que l'Etat doit être le premier à donner l'exemple aux citoyens dont le devoir est de respecter les lois valables pour tous sans exception y compris pour l'Etat. Cela nous amène à nous interroger sur ce qui fonde la souveraineté de l'Etat, c'est à dire la légitimité de son pouvoir et de son autorité. En effet être souverain

obole. Jean De La Fontaine, tiré du Livre II Le renard et le bouc Capitaine Renard allait de compagnie  Avec son ami bouc des plus haut encornés:  Celui-ci ne voyait pas plus loin que son nez;   L'autre était passé maître  en fait de tromperie.   La soif les obligea de descendre en un puits.  Là, chacun d'eux se désaltère.   Après qu'abondamment tous deux en eurent pris,  Le renard dit au bouc:« Que ferons-nous compère?   Ce n'est pas tout de boire, il faut sortir

permettant de se conduire de façon digne et responsable au sein de sa communauté. NOMBRE DE DIVISION : 2 INTRODUCTION L’amélioration de la qualité de l’enseignement figure au centre de tous les débats sur l’éducation. A cet égard, le rôle dévolu au maitre n’est plus à débattre. Tous les partenaires s’accordent à dire que la qualité d’un enseignement tient infiniment moins à celle des méthodes qu’à celle de l’homme qui les emploie. Aussi devons-nous admettre qu’un environnement moral et institutionnel

problématiques se superposent : - la vision des maîtres Au XVIème siècle, les maîtres sont extrêmement critiqués, ils sont autoritaires et ignorants (Erasme, les maîtres sophistes de Gargantua de Rabelais, les maîtres du collège de Montaigne). A cette vision très négative s'oppose, à la Renaissance, un modèle humaniste que proposent Rabelais ("Lettre de Gargantua à son fils Pantagruel", l'éducation de Gargantua par Ponocratès) et Montaigne (les qualités d'un bon maître, l'auto-éducation faite par son père)