Le Devin du village

L’Homme de l’Ouest, d’Anthony Mann. Link Jones fait une halte à cheval dans une petite ville du Texas pour trouver une institutrice à Fort Worth qui pourrait enseigner dans la nouvelle école venant d’être construite dans son village. Pour la convaincre, il lui a d’ailleurs rapporté de l’argent qu’il a récolté auprès de chaque habitant. Depuis qu’il est arrivé, Link a pourtant l’air très anxieux et mal à l’aise, complètement dépaysé : c’est pour lui la première fois qu’il prendra le train. A

au premier on aperçoit une femme, d’après ses vêtements on peut penser à une paysanne. Au second plan, c’est l’Eglise, elle prend pratiquement toute la masse du tableau. Au troisième et dernier plan on voit derrière l’Eglise quelques arbres et un village. La peinture est constituée de beaucoup de mouvement. On peut aussi distinguer une touche symétrique sur les deux chemins. Van Gogh utilise une peinture à l’huile pour réaliser cette œuvre. Le contexte historique et le message de l’œuvre :

que vous plaignez vous-même ; Peut-être cependant que vous m’en puniriez. Si je vous le disais, que six mois de silence Cachent de longs tourments et des voeux insensés : Ninon, vous êtes fine, et votre insouciance Se plaît, comme une fée, à deviner d’avance ; Vous me répondriez peut-être : Je le sais. Si je vous le disais, qu’une douce folie A fait de moi votre ombre, et m’attache à vos pas : Un petit air de doute et de mélancolie, Vous le savez, Ninon, vous rend bien plus jolie ; Peut-être

cents livres, deux singes rôtis d'un goût excellent, trois cents colibris dans un plat, et six cents oiseaux-mouches dans un autre ; des ragoûts exquis, des pâtisseries délicieuses... » décrit après par les habitants comme le repas « d'un pauvre village » et la périphrase « boue jaune » pour l'or démontre une abondance de ressources. En ce qui concerne le mode de vie de ses habitants il est parfait comme l'indique le fait qu'il n'y ait pas de « cour de justice, de parlement » ou de prisons et la

cents livres, deux singes rôtis d'un goût excellent, trois cents colibris dans un plat, et six cents oiseaux-mouches dans un autre ; des ragoûts exquis, des pâtisseries délicieuses... » décrit après par les habitants comme le repas « d'un pauvre village » et la périphrase « boue jaune » pour l'or démontre une abondance de ressources. En ce qui concerne le mode de vie de ses habitants il est parfait comme l'indique le fait qu'il n'y ait pas de « cour de justice, de parlement » ou de prisons et la

tisse. Au moindre incident conjoncturel, ces personnes sombrent alors dans l’indigence, ils sont contrait de faire appel à l’assistance de leur village (celui-ci est dans l’obligation d’aider ses natifs). Mais ils ne sont pas considérés comme des exclus, ils sont dans la communauté villageoise, ils ont accès aux droits de la communauté et « l’idiot du village » est respecté et défendu comme tout autre villageois). B) Le peuple des villes Il se renforce au cours du siècle et se considère supérieur

Flammarion 2010 Edition numérique du texte : http://classiques.uqac.ca/classiques/Diderot_denis/entretien_pere_enfants/entretien_pere_enfants.pdf Tableaux de Greuze : Jean-Baptiste GREUZE (Tournus, 1725 - Paris, 1805) "L'accordée de village" 1761 (H: 0,92 m. L:1,17 m) « La malédiction paternelle. Le fils ingrat » 1777 (H. : 1,30 m. L. : 1,62 m). Ces toiles sont présentées au Louvre. Classe : Première Bac Pro Fil conducteur annuel : L’imagination

francophone et a plusieurs citoyen de d'autre nationalité comme britannique, italienne, juive, grecque et autres. Les amérindiens sont parcontre les premier a avoir vecu sur le territoire du quebec maintenant il sont repartis dans plusieurs petits village qui sont strictement reserver pour eux, c'est pourquoi on les appele reserves. Le st laurent permet de penetrer jusqu'a 1 600km a l'interieur des terre. Grace a sont reseau hydrographique qui facilite le transport, il permet les échange avec les autochtones

l’un des pères fondateur du courant impressionniste et son tableau Impression, soleil levant donna son nom à l’impressionnisme. En 1877 il commence la série de la Gare Saint-Lazare, l’un de ses chefs d’œuvres. En avril 1883 il s’installe dans le village de Giverny. Il a fait deux séries de tableaux : les peupliers et les meules. Ce n’est qu’en 1900 qu’il commence la série des nymphéas prenant pour modèle son jardin. Il reste à Giverny jusqu’à sa mort le 5 décembre 1926. Ses œuvres

40 Jusqu’aux ressorts de l’âme ; et cette chère tête Pour qui l’art d’Esculape en vain fit ce qu’il put, Dut sa perte à ces soins qu’on prit pour son salut. Même précaution nuisit au Poète# Eschyle. ----------------- Sous-fable 2 Quelque Devin le menaça, dit-on, 45 De la chute d’une maison. Aussitôt il quitta la ville, Mit son lit en plein champ, loin des toits, sous les Cieux. Un Aigle, qui portait en l’air une Tortue, Passa par là, vit l’homme, et sur sa tête nue, 50 Qui parut