Le Despotisme éclairé

D’après Epicure : « La philosophie est une activité qui, par des discours et des raisonnements, nous procure la vie heureuse. » 2. Pourquoi les philosophes « des lumières » ? Les philosophes sont éclairés par les lumières de la raison. La lumière est une métaphore de la raison. Ils font éclairer les lumières du moyen-âge époque sombre) et les soumettre à la lumière de la raison. A l’époque du Moyen-âge, on se soumet aux croyances, voir aux superstitions. Les philosophes du 18ème siècle veulent

Personnage contradictoire, et donc particulièrement intéressant, il est au centre de l'oeuvre, critiquant et appréciant en même temps les valeurs occidentales. D'une certaine façon, il annonce, jusque dans son échec, le thème philosophique du «despote éclairé». Rica Il est plus jeune (une vingtaine d'années, sa mère est inconsolable de son départ et il n'est pas encore marié) et plus gai. Il critique moins qu'il ne se moque et se montre plus sensible que l'intellectuel Usbek. Il est aussi plus observateur

(Candide), sagesse, tolérance, recul, raison. - Voltaire : écrit des contes à partir de 20 ans, en vers et en prose pour divertir la Cour et décrire les vertus des femmes. Voltaire conteste l’authenticité des écritures saintes. Il rêve d’un despotisme éclairé (monarchie luttant contre les privilèges). Voltaire veut réduire le pouvoir de l’Eglise. Lecture du texte Annonce des axes de lecture Commentaire littéraire I. Le dialogue et le récit 1. Construction rigoureuse et progressive

son sens restrictif à la monarchie française depuis le XVIIe siècle jusqu'à la chute de l'Ancien Régime et aux despotismes éclairés du XVIIIe siècle. Les monarques les plus représentatifs du pouvoir absolu sont :  Philippe II d'Espagne (1558-1598)  Louis XIV de France (1643-1715)  Frédéric II de Prusse (1740-1786), ce dernier étant l'exemple le plus fréquemment évoqué de despote éclairé. Bien sûr, le monarque détient le pouvoir, mais il s’entoure généralement de Conseils qui orientent sa politique ;

des Lumières devient maximale, tant géographiquement que socialement. L’opinion se politise. L'œuvre de l'abbé Raynal (Histoire philosophique et politique des établissements et du commerce des Européens dans les deux Indes, 1770), qui condamne le despotisme, le fanatisme et le système colonial, connaît un grand succès. Homme politique important autant que mathématicien, Condorcet publie des brochures contre l'esclavage et pour les droits des femmes, et prépare sa synthèse de l'histoire de l'humanité

devenus plus libertin, lors de la mort de Louis XIV.) • Deuxièmement, au tournant des années 50' commence l’ère des philosophes. Il ne s’agit plus de détricoter les structures idéologiques mais construire une société nouvelle. En d’autres termes, éclairer les esprits des puissants et celui du peuple, ainsi que reformer en profondeur. Ainsi dans les sciences, la méthode expérimentale devient le critère de toutes pensées. En politique, la monarchie absolue est remise en question au profit du système

1/ Les Lumières « Le prochain siècle sera de jour en jour plus éclairé ; en comparaison tous les siècles précédents ne seront que ténèbres », citation de Pierre bayle. 1) On peut utiliser la métaphore de la lumière car la lumière permet d’éclairer. Les lumières fait référence à la raison, à l’intelligence, à l’esprit critique au service du progrès en opposition à l’obscurité (obscurantisme religieux). 2) Les Lumières s’opposent à l’obscurantisme, période sombre qui est souvent associée à tort

celle des despotismes éclairés. Section II Les régimes de despotisme éclairé (des princes régnant sur un territoire assez modeste qui ont une autorité forte mais qui sont inspires par les idées de la philosophie des lumières) § 1 essai de définition A priori, despotisme éclairé n’est pas un très joli couple. On ressent despotisme comme la violence alors que éclairé est plutôt relatif a la philosophie. Le despotisme éclairé est une combinaison entre un souverain autoritaire (cote despotisme) mais

formulation prudente : établissant une gradation entre despotisme (où les trois pouvoirs sont confondus) et régime idéal (la monarchie constitutionnelle), l’auteur ne critique pas directement la France, mais plus globalement les « monarchies européennes ». Encore cette critique se fait-elle discrète : ces monarchies (où la liberté n’est pas possible, pouvoirs exécutif et législatif étant confondus) sont présentées comme un moindre mal par rapport au despotisme turc. ouvrir l'encadré Montesquieu, dans son

Louvois Un gouvernement éclairé (= monarchie parlementaire) serait hostile aux persécutions et à l’intolérance Dans le conte, la personnalisation de « l’ennemi » sert l’intrigue (l’Ingénu va se heurter à des personnes qui l’éloigneront du roi et le persécuteront) ; elle rompt avec l’abstraction du texte d’idées que représente l’article, mais elle limite la réflexion car il n’y a pas de mise en cause philosophique explicite de l’intolérance (animée par l’ignorance, le despotisme, l’influence du religieux