Le Deserteur

bien ses fonctions mais laisse une grande part de doute au lecteur, ce qui laisse présager une œuvre complexe. Cette ambiance mystérieuse qui fait réfléchir le lecteur est typique des Âmes grises et ressort notamment dans l’interrogatoire des deux déserteurs.

- L'herbe rouge (1950), - Vercoquin et le Plancton (1946, roman),  - l'Automne à Pékin (1947), - Les morts ont tous la même peau (1948, roman), - Et on tuera tous les affreux (1948, roman), - Elles se rendent pas compte (1950, roman), - Le Déserteur (1954, chanson).

au soulèvement contre le gouvernement. Elle symbolise la violence de masse. On peut retrouver cette œuvre dans la BD Putain de guerre ! de Tardi et aussi dans le film Un long dimanche de fiançailles. On peut aussi la rapprocher de la chanson Le déserteur de Boris Vian et du Chant des Partisans.

pourra échapper aux multiples menaces, guerrières, ouvrières et sociétales de notre civilisation. Céline véhicule à maintes reprises une vision particulièrement nihiliste de la société humaine. La lâcheté permet à Bardamu de s'assumer en qualité de déserteur dans l'épisode de la guerre, de fuir ses responsabilités aux colonies, de quitter son emploi chez Ford et de réclamer de l'argent à ses connaissances établies aux États-Unis, de fermer les yeux sur sa connaissance de multiples (voire de pratiquer

pense que la guerre est une idiotie par son horreur, face à laquelle il est impuissant, mais aussi car elle a brisé leur amour. Il parle de ce couple qui représente tous les autres qui ont été séparé pendant la guerre et se souviens du passé. « Le Déserteur » de Boris Vian est un poème écrit pendant la guerre d’Algérie. Il est composé de douze strophes de quatre vers, il s’agit d’une lettre adressé au président par un homme qui ne veut pas partir à la guerre à cause de toutes ses horreurs et toutes

aller à Barcelone, où il sera sollicité et par la suite, à New-York. C'est le temps de l'épisode de « l'Urinoire » de Marcel Duchamp. Mais au seins du mouvement, il commence à y avoir des problèmes de nationalité car il n'y a pas de réfugiés ni de déserteurs, il n'y a que des actes de créations. Puis, l'extention se déplace en Hollande oÙ Théo Venius Burg dirigera tout et créer une rue qui s'appelle « Mécano ». Tzara, pendant ce temps, continuera de faire de la propagande et va aller jusqu'au Japon

anciens au plus récent. Après la bataille (1859);Victor HugoLe Dormeur du val (1888);Arthur RimbaudMort ! (1895);Paul VerlaineLa Tour Eiffel (1916); Guillaume ApollinaireAu rendez-vous allemands (1944) ;Paul EluardParis (1944);Louis AragonLe Déserteur (1954);Boris Vian La guerre est un conflit armée qui subsiste entre des nations, des états, des groupes humains souvent traduit par des combats armés plus ou moins dévastateurs. La guerre peut également prendre plusieurs formes, Conflits militaires

l’horreur de la guerre qui souille même les âmes les plus pures, celles des enfants. Critique de la guerre qui corrompt l’homme. « Je veux de la poudre et des balles. » 2) Le poète, harangueur de foule a) Le poète qui choisit d’agir, de fuir Le déserteur, Boris Vian Le poète adresse une lettre au président dans laquelle il témoigne de son refus de faire la guerre. Il choisit de déserter plutôt que de subir l’horreur de la guerre. « Je ne veux pas la faire je ne suis pas sur Terre pour tuer

Le jeune écossais qui a perdu son frère - Dans la dernière scène où apparaît le chanteur allemand, celui-ci incarne un comportement de soldat que tu as surtout rencontré pour l’année1917 et en Russie. Lequel ? déserteur - Le personnage est-il sympathique ? Quel est le point de vue du réalisateur ? Oui. Réalisateur pacifiste. 4) Les conséquences - Qu’arrive-t-il au courrier des soldats français ? Pourquoi ? Censure pour connaître

Vian, né le 10 mars 1920 à Ville-d'Avray (Hauts-de-Seine) et décédé le 23 juin 1959 à Paris. C’est un écrivain français, poète, chanteur. Il est aussi scénariste, traducteur, conférencier, acteur et peintre. Il a réalisé d’autres chansons comme Le déserteur ou J’suis snob Contexte de l’œuvre : Chanson composée par Boris Vian en 1956, pendant la période des Trente Glorieuses (1945/1975) marquée par une croissance économique soutenue : consommation de plus en plus importante. D’où l’œuvre s’incarne