Le Deserteur

la guerre [p3.4.5] Critiques de la nouvelle société [p6.7.8] La problématique du racisme [p9.10.11] Conclusion [p12.13] Sources [p14] Corpus La Marseillaise de Rouget de Lisle (1795) La Chanson de Craonne (1915) Le déserteur de Boris Vian (1954) La complainte du progrès de Boris Vian (1956) Cendrillon de Téléphone (1982) Victime de la mode par Mc Solaar (1998) Les crayons de couleur de Hugues Aufray (1999) Ma France à moi de Diam's (2006) Hexagone

bataille (1859); Victor Hugo Le Dormeur du val (1888); Arthur Rimbaud Mort ! (1895); Paul Verlaine La Tour Eiffel (1916) ; Guillaume Apollinaire Au rendez-vous allemands (1944) ; Paul Eluard Paris (1944); Louis Aragon Le Déserteur (1954); Boris Vian Page de Présentation. Le thème que j’ai choisi pour réaliser mon anthologie est La Guerre. Ce recueil est composé de sept poèmes, tous écrient par des auteurs différents et lors de périodes différentes. Nous allons donc

les deux poèmes que j’ai choisis représentent bien la poésie engagée sur XXème siècle. Ces deux ouvres sont mes poèmes préfères. Le premier est un poème de Jacques Prévert de 1946 sous le nom « Barbara » et le deuxième date de 1953 appelé « Le Déserteur » écrit par Boris Vian. Ce sont deux poèmes populaires qui montrent que même avec peu de moyens, il est toujours possible de se battre pour la liberté et la paix. Mais il faut les lire pour vraiment comprendre toutes les causes qu’ils défendent et

dans son œuvre Le déserteur. Il emploi des procédés de la versification comme la rime embrasse pour sensibiliser ses lecteurs : « Monsieur le président je vous fais une lettre que vous lirez peut-être si vous avez le temps ». Il présente son ouvre sous forme d’une chanson qu’il envoi au président, il s’engage donc car il pourrait subir des représailles de la part de cet acte. Les dernière paroles de son ouvre témoignent de son engagement car il fuit sur les routes tel un déserteur. Il insiste sur

aveux de ce dernier. Mais le narrateur lui ne s'arrête pas là et n'y croit pas. Il a deux suspects en tête. D'un côté Yann le Floc, qui est un des déserteurs qui a été retrouvé et accusé sans aucune preuve par les deux enquêteurs, mais le narrateur n'y croit pas car ils l'ont torturé pour le faire avouer. Mais on voit que la possibilité que le jeune déserteur soit coupable pourrait se confirmer grâce à une affaire similaire de meurtre de jeune fille. D'un autre côté, il y a aussi Destinat qui est suspect

l’enfant sauvé ; mais la mère a perdu trop de sang – pdt ce temps, Mierck et Matziev cherchent un coupable. XVIII / (178-202) : 2 déserteurs arrêtés le matin du 3 – hués par la foule menaçante – la foule demande au maire les déserteurs (qu’elle prend pr les assassins de la petite) – en entendant le nom du juge, la foule, apeurée, se calme – 182-183-(184-185) : Les 2 déserteurs devant Mierck et Matziev : interrogatoire et réactions très différentes du typographe et du petit Breton [témoignage du maire]-

"revue de la presse" explosive et extravagante. Henri Salvador disait de lui : "il était un amoureux du jazz, ne vivait que pour le jazz, n'entendait, ne s'exprimait qu'en jazz". Sa chanson la plus célèbre (parmi les 460 qu'il a écrites) est « Le Déserteur », chanson pacifiste écrite à la fin de la guerre d'Indochine (soit le 15 février 1954), juste avant la guerre d'Algérie. Amoureux de la culture américaine, il traduit en français le grand classique de la science-fiction qu'est Le Monde des Ā d'Alfred

diffusions qui se multiplient à cette époque. Son poème-chanson le plus populaire est Le Déserteur. Dans ce poème Boris Vian invite les appelés français à déserter car la guerre est pour lui la cause de trop de souffrance. De plus elle est inutile et au service des  « grands ». Ce poème est une lettre adressée à « Monsieur le Président ». C’est d’ailleurs par ces quelques mots que la lettre commence. Le Déserteur de Boris Vian touche au cœur un vaste public, que la poésie seule aurait peut-être intimidé

presque invivable. C’est pour cela que j’ai sélectionné le poème (aussi une chanson) de Boris Vian, « Le déserteur ». Il part en quête d’une nouvelle vie car il a été appelé pour partir à la guerre et s’adresse donc au Président. J’ai donc choisi le tableau de Salvadore Dali intitulé « Le visage de la guerre » : il montre en arrière-plan, le désert ce qui peut nous ramener au titre du « déserteur » car il part en quête de la liberté et la dernière strophe se termine par « Et qu’ils pourront tirer »

condamnations à mort contre des soldats de la Wehrmacht, considérés comme déserteurs (15 000 exécutés/22 000), des hommes partagés entre la loyauté et le dégoût qui cherchait un moyen de ne pas pris pour complice. Le principe formulé par Hitler dans Mein Kampf se rattachait à cette image : «  Le déserteur doit savoir que sa désertion entraîne justement ce à quoi il veut échapper. Sur le front, on peut mourir ; en tant que déserteur, on est certain de mourir. » l'essentiel était de propager la peur et