Le Comique Dans Les Caprices De Marianne

fantaisie légère, narquoise, espiègle, impertinente et ironique, animée par les mille pirouettes d'une imagination débridée qui I'empêchait de prendre entièrement au sérieux ces drames atroces, dans I'atmosphère d'une Espagne et d'une Italie d'opéra-comique qui éclate dans les fureurs de la Camargo, ou dans ‘’Don Paez’’. Faisant preuve d'une grande aisance d'écriture, se comportant comme un virtuose de la jeune poésie, Musset écrivit ces ‘’Contes d'Espagne et d'Italie’’ alors qu’il n'était pas allé

Classicisme • 1700 : Les lumières • 1800 : Romantisme • 1850 : Réalisme, Naturalisme Biographie des auteurs : • Pierre CORNEILLE (1606-1699) Après avoir commencé sa carrière avec des comédies ( L'illusion comique, Le Menteur ), il triomphe avec une tragi-comédie, Le Cid (1637). Il se tourne ensuite vers des tragédies politiques qui s'inspirent de l'histoire romaine ( Horace, Cinna, Polyeucte, 1642-45 ) et serviront de modèle au théâtre classique. Corneille

mélange des genres, des tonalités et des niveaux de langue, propre à exprimer la multiplicité et la richesse des personnages, des lieux, des situations et des sentiments. Ils refusent ainsi qu’il n’y ait que du tragique dans une tragédie, que du comique dans une comédie . Les Niveaux de langue familier et recherché, registre grotesque et sublime, vers et prose sont juxtaposés en toute liberté . Victor Hugo et Musset illustrent ce principe de mélange de genres, dans leurs pièces, tel que dans

[…].” Mais Orou joue un rôle différent chez Diderot : il sert à dénoncer les absurdités de la civilisation européenne, et en fait un représentant masqué des philosophes des Lumières. En même temps, son aisance de parole donne un aspect vivant et comique au texte. L’aumônier est également important. Jésuite, il devient un véritable personnage de comédie lors des dialogues avec Orou ; il ne cesse de s’exclamer, par exemple : « Mais ma religion ! Mais mon état ! ». Cependant, le religieux, par son honnêteté

Le Cid, Cinna, Horace, Rodogue, L'IIlusion comique La fontaine: Les Fables Molière: Les precieuse ridicules, L'École des femmes, Dom Juan, Les Fourberies de Scapin. (Dom Juan, Monsieur Jourdain Agnès, Sganarelle) Pascal: Les Provinciales, Les Pensées, Les Eléments géométriques, Les Enfants prodiges Racine: Andromaque, Les Plaideurs, Brittanicus, Phèdre, Esther, Bérénice, Mithridate, Iphigénie, Athalie. Réalisme bourgeois: Paul Scaron Le Roman comique, Antoine Furetière Le Roman bourgeois, Charles

dans la règle du jeu. On notera les références à la pièce de Marivaux « Le jeu de l’amour et du hasard », « le mariage de Figaro » de Beaumarchais pour ses bouleversements et la ressemblance entre Figaro et les personnages masculins et « Les caprices de Marianne » dans lequel nous retrouvons un Octave entremetteur. Durant la fête, une opérette Tyrolienne est mise en scène, des pantins sont représentés, et la danse macabre, scène muette, va rappeler que la mort règne sur le château d’autant qu’il quitte

fantaisie légère, narquoise, espiègle, impertinente et ironique, animée par les mille pirouettes d'une imagination débridée qui I'empêchait de prendre entièrement au sérieux ces drames atroces, dans I'atmosphère d'une Espagne et d'une Italie d'opéra-comique qui éclate dans les fureurs de la Camargo, ou dans ‘’Don Paez’’. Faisant preuve d'une grande aisance d'écriture, se comportant comme un virtuose de la jeune poésie, Musset écrivit ces ‘’Contes d'Espagne et d'Italie’’ alors qu’il n'était pas allé

| OEUVRES | MOUVEMENT | Poquelin | Jean-Baptiste (Molière) | 1622-1673 | Dom Juan ; Tartuffe ; Le Misanthrope ; Le Malade Imaginaire ; L'Avare | Classicisme | Corneille | Pierre | 1606-1684 | L'Illusion comique ; Horace ; Cinna ; Polyeucte | Baroque et Classicisme | Racine | Jean | 1639-1699 | Andromaque ; Britannicus ; Phèdre | Classicisme | Descartes | René | 1596-1650 | Règles pour la direction de l'esprit ;

réplique ou un mot qu’un personnage se dit à lui-même, en présence d’autres personnages, et adressé aux seuls spectateurs. Il dévoile des sentiments secrets, informe le spectateur et crée une complicité du personnage avec le public. Il peut provoquer le comique. ©HATIER • Cherchez en quoi la situation du spectateur de ces scènes est privilégiée : que sait-il ? Qu’entend-il ? Que voit-il que certains des personnages ne savent ? n’entendent ? ne voient pas ? Avec quel personnage s’établit sa complicité

personnages présents. • L’aparté (de l’italien a parte, « à l’écart ») : le personnage feint de parler à l’insu des autres personnages présents sur la scène. Le procédé est artificiel et repose sur un code accepté par le public. Il est source de jeux comiques et introduit aisément une complicité entre le personnage en question et le public. • La tirade : réplique d’un personnage qui se distingue par sa longueur.   Axe d’étude 3 : les thèmes Séance 7. La mythologie • Documents : – texte d’oral 3 : II,