Le Comique Au Delà Du Rire Une Réflexion

cela il faut repérer les mots-clés. Rechercher des idées. En mobilisant ses connaissances: noter au brouillon les références littéraires, les idées qui permettent de nourrir votre réflexion. En exploitant le corpus proposé (ou ici l'oeuvre étudiée): repérez les expressions, les phrases qui sont des pistes de réflexion et peuvent servir de citation. Construire le plan. 1. Dans le cas d'un sujet didactique (ou critique) comme ici, deux possibilités: Un plan en 2 parties : chaque partie représente

Texte 2. « Le rire de Gwynplaine » Auteur : Victor Hugo (né au 19e siècle), écrivain, poète, dramaturge et politique français, pilier du Romantisme / Touche à tout → roman (Les Misérables), poésie (Les Contemplations), théâtre (Hernani) Pb : Comment le rire de Gwynplaine illustre-t-il la monstruosité ? I/ Portrait de Gwynplaine A. oscillation entre deux apparences « rire automatique » → monstrueux : le visage est un masque (voir ref. à la comédie antique) / Tout est humain sauf son rire qui se déclenche

faire penser à celles du Plastic Theater, comme par exemple chez Tennessee Williams, sans l’esthétisme lyrique ni poétique mais toutes deux emplies de symbolisme et de motifs. Nous nous interrogerons ainsi sur la fonction de cette dernière, qui au-delà de ses aspects purement pratiques, à la fois scéniques et dramaturgiques, semble proposer un dépassement grâce à une dimension symbolique et métaphysique. Conformément à une didascalie plutôt « classique », elle permet dans un premier temps de définir

dissertation Le Malade Imaginaire et le parcours « Spectacle et comédie » Consignes : Faites des groupes de 3. Chaque groupe travaille sur une activité et présentera le produit de son travail à la classe en 5 minutes maximum. 1) Une pièce comique a) Des personnages de comédie typiques Activité 1 : - Cherchez sur internet les caractéristiques des personnages-types suivants : le barbon, le traître, le jeune premier, l’ingénue, l’honnête homme, le pédant, le valet. - Associez chaque personnage

contenue est d’une tout autre valeur que ne le promettait la boîte: c’est-à-dire que les matières ici traitées ne sont pas si folâtres que le titre le prétendait.» (ibid.) Voilà donc le but premier de l’écrivain: appâter le lecteur suffisamment, le faire rire, pour qu’une fois dans les meilleures dispositions possibles, il puisse (s’il le désire, bien évidemment) tenter de rechercher ce que cache cet humour populaire et souvent vulgaire. Il faut «... par une lecture attentive et une méditation assidue,

Voltaire, personnage haut en couleurs, mettent en scène l'absurdité du monde, ou bien s'ils ont comme but de plaire au lecteur. Tout d'abord, il s'agit de montrer le tragique de la condition humaine dans le conte voltairien, mais aussi les aspects comiques qui s'y trouvent, avant de montrer que Voltaire dépasse ces deux objectifs pour servir un but plus noble. Pour cela, nous nous baserons sur l'étude de trois contes : Micromégas, Zadig et Candide. Partie I : Dans ses contes philosophiques

Italiens de 16585. Il semble cependant que Molière n’ait eu connaissance que des versions italiennes et françaises. Cette pièce s’inscrit dans un projet de Molière de « dénoncer les vices du siècle », en particulier l’hypocrisie. Elle est une réflexion sur le libertinage et ses excès. Molière est adepte de la libre-pensée, mais respecte les convictions religieuses note . Il s'attaque principalement à toute forme d'hypocrisie, que ce soit celle du dévot ou celle du libertin. En présentant un libertin

mouvement du théâtre de l’absurde. Eugène Ionesco est considéré, avec l'Irlandais Samuel Beckett, comme le père du théâtre de l'absurde, pour lequel il faut « sur un texte burlesque un jeu dramatique ; sur un texte dramatique, un jeu burlesque ». Au-delà du ridicule des situations les plus banales, le théâtre de Ionesco représente de façon palpable la solitude de l'homme et l'insignifiance de son existence. Il refusait cependant lui-même la catégorisation de ses œuvres sous la dénomination de théâtre

hâbleur égoïste, aveuglé par son narcissisme. Il vient bousculer les codes du savoir vivre en communauté: Il s’agit là de l’anti modèle de l'honnête homme qui accapare la parole pour attirer la lumière sur lui. Dans ce passage, La Bruyère porte une réflexion sur les attributs langagiers à éviter. L'égocentrisme est donc incontestablement une caractéristique contre les règles de la conversation. La Bruyère utilise ces contre-modèles du classicisme pour mettre en relief les qualités de l'honnête homme

Celui du Gargantua est moins explicite sur ce point, mais l’épithète inestimable respecte l’isotopie de la démesure propre à l’épopée. Autre renseignement générique : épouvantables, horrible, le nom et le titre de l’« auteur » relèvent du registre comique. Nous sommes donc dans l’imitation parodique des récits médiévaux, mêlant les codes épique et chevaleresque (cf. le titre de « roi »). En outre, Gargantua et Pantagruel sont initialement des personnages du folklore : le genre des récits populaires