Le Comique 17eme Siecle

caricaturaux ; il offre une réflexion humaniste sur l’existence. II- LE ROMAN BAROQUE (17ème) ➢ Le roman héroïque et pastoral Des romans-fleuves, d’inspiration espagnole ou italienne, décrivent la passion amoureuse en faisant se succéder péripéties et rebondissements. L’analyse psychologique domine l’écriture. ➢ Le roman comique Influencé par le roman picaresque espagnol

Recherche sur grace Dictionnaire historique de la langue française Nom féminin * Grace est un emprunt (v1050), précédé par la forme latine gratia (2ème moitié Xème siècle) au latin classique gratia « reconnaissance » (abstrait), « acte par lequel on s’acquiert de la reconnaissance », d’où « service rendu » ; le mot est fréquent dans la langue politique , pour « faveur, crédit, influence » puis « agrément, beauté, grâce », le latin chrétien ayant développé la valeur religieuse « faveur divine »

plusieurs époques, marquées par différents courants, mais il est important de savoir que ses plus anciennes origines et même ses racines proviennent de la Grèce antique du V ème siècle avant J-C . Il joue alors en particulier un rôle religieux, social et politique. Ensuite arrive le théâtre du 17ème siècle , désigné aussi comme le siècle du théâtre, car c'est l'apogée de deux genre ; la comédie et la tragédie , illustrées respectivement par deux grands auteurs Molière et Racine. Le théâtre était alors un

Commentaire composé Ce texte est un extrait du recueil Fables écrit par Jean de La Fontaine qui fût écrit au 17ème siècle. Ce texte est donc une fable et son titre est « les deux coqs ». La fable est un récit rédigé en prose ou en vers. Il met souvent en scène des animaux avec pour intention de dispenser un enseignement. Le but de la fable est didactique. Dans la préface de son 1er recueil de fable (1678) La Fontaine précise qu’une fable comporte 2 parties : * Le «corps »  * L « âme »

Commentaire le mariage de Figaro: Au 18ème siècle, le théâtre connaît un renouveau du fait de l’apparition de nouvelles idées et revendications. En effet, les tragédies du genre de Racine et de Corneille laissent place à ce nouveau genre qui permet aux auteurs de dépeindre des situations de la société actuelle et de faire passer de nouvelles idées. Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais fut l’un des premiers à exploiter ce nouveau genre théâtral, c’était un écrivain, dramaturge, éditeur, inventeur

et acteur (ces diverses fonctions au sein de sa troupe ont provoqué chez lui un état d’épuisement). Son jeu d’acteur, au début, était assez mauvais : à l’époque un grand acteur joue dans des pièces tragiques mais lui fut reconnu pour ses talents comiques. Déjà, il avait des problèmes physiques qu’il a incorporés à ses personnages (hoquet, toux fréquente). De plus, il se sert de modèles comme la Comedia dell arte (dont les artistes avaient une véritable formation d’acteur, une formation corporelle

D’après la lettre a la page 96-97, dans l’œuvre de Molière, dramaturge du 17eme siècle : L’école des femmes, comédie théâtrale. Les serviteurs d’Arnolphe lui ont refusé une nouvelle visite, Agnès l’a renvoyé en lui lançant une pierre avec un mot d’amour qu’Horace lit à Arnolphe. Nous constatons deux grands thèmes qui se détachent des autres : l’amour et la réflexion d’Agnès. Nous allons voir si cette lettre est une lettre d’amour ou de réflexion. Pour commencer prenons la lettre du point

existence même les valeurs morales aristocratiques, le sacrement du mariage et le respect dû au père, s'attaque au fondement même de la société. C'est un libertin, non seulement au sens moral que le mot prendra au 18ème siècle , mais au sens fort que prend le mot au 17ème siècle : athée, ou sacrilège. Les défenseurs de la religion : Sganarelle. Si la pièce de Molière avait uniquement pour but de dénoncer la démesure d'un athée, Dom Juan trouverait en face de lui des défenseurs conséquents de la

Séquence 1 et 2 : LE GRAND SIECLE : le XVIIe siècle 1-Frise chronologique Cf document joint 2-Origines sociales de la majorité des écrivains au XVIIe siècle Au début du XVIIe siècle le terme « écrivain » signifie encore souvent scribe, copiste, et son emploi pour désigner un spécialiste reconnu de la forme, par opposition à « auteur ». Avec à peu près 1 500 livres par an, un auteur gratifié au XVIIe siècle, peut tout juste se nourrir. Seuls s’en tirent ceux qui savent utiliser à la fois ou successivement

(1664)  Le tartuffe ou l’imposteur (1664-1669)  Sonnet (1664)  Don juan ou le festin de Pierre (1665)  L’amour médecin (1665)  Quatrains... (1665)  Le misanthrope ou l’atrabilaire amoureux (1666)  Le médecin malgré lui (1666)  Pastorale comique (1667)  Le sicilien ou l’amour peintre (1667)  Amphitryon (1667)  L’avare (1668)  Les amants magnifiques (1670)  Le bourgeois gentilhomme (1670)  Les fourberies de Scapin (1671)  Les femmes savantes (1672)  Le malade imaginaire (1673)