Le Combat Homérique

sens des décisions fulgurantes : cf. légende du nœud gordien ! Il se comporte comme un chef dans la mesure où il est celui qui montre l’exemple : il partage le sort de ses hommes, il fait preuve d’un grand courage lors des combats, etc. Il s’inspire de la « doctrine homérique de la guerre » : le chef doit exalter le courage des combattants, chercher les moyens de vaincre en ménageant le plus possible la vie de ses hommes, et frapper là où l’ennemi est affaibli. Il est le chef qui possède la « vertu »

invasions Artères ferroviaires où ceux qui s’en allaient mourir Saluaient encore une fois la vie colorée Océans profonds où remuaient les monstres Dans les vieilles carcasses naufragées Hauteurs inimaginables où l’homme combat Plus haut que l’aigle ne plane L’homme y combat contre l’homme Et descend tout à coup comme une étoile filante Je sentais en moi des êtres neufs pleins de dextérité Bâtir et aussi agencer un univers nouveau Un marchand d’une opulence inouïe et d’une taille prodigieuse

panique, populaire, gras, grossier, franc, enjoué, joyeux, goguenard, argentin, retentissant, sonore, bruyant, énorme, communicatif, éclatant, contagieux, compulsif, convulsif, inextinguible, irrépressible, épais, gloussant, spasmodique, aigu, homérique... Rire charmeur, séducteur, ensorceleur, émerveillé, rose, rouge, blanc, agréable, amer, malin, décalé, débridé... Rire jaune, forcé, sournois, grave, étouffé, complaisant, condescendant, agressif, méchant, cruel, nerveux, niais

arguments ont été rejetés. Cependant il est dit qu’Homère était aveugle , cette hypothèse a été gardé. La Question Homérique *Dès le XVIIIème siècle, une polémique s’élève sur l’Odyssée. -1er camp soutien des thèses analystes qui considèrent les poèmes homérique comme un assemblage de poème qui ont été conçu, retouché à des époques différentes par des poètes différents (incohérence

prédiction qu’il ne rentrera pas vivant du combat ; Andromaque le sent avec son intuition de femme aimante. Leur amour est d’autant plus intense qu’il se sait menacé. Racine, à l’instar d’Homère fait de son Andromaque l’archétype de la femme aimante et de la mère exemplaire. Andromaque cultive le souvenir de son mari défunt et rappelle avec ferveur les derniers instants qui les ont vu réunis. Ces vers de la scène 8 de l’acte III sont comme un écho du texte homérique : « Chère épouse, dit-il en essuyant

grecs, et économique, en développant des routes de commerce, mais qui seront aussi importantes pour les mouvements militaires. Philippe II de Macédoine (-382, -336) devient roi à vingt-trois ans. Il est le frère du roi Perdiccas III, tué lors d'un combat contre les Illyriens en -360. Philippe se proclame alors tuteur de son neveu Amyntas IV, héritier légitime du trône, et se fait proclamer roi, mais, chose inhabituelle dans cette dynastie aux mœurs violentes, il ne le fait pas mettre à mort. Le règne

direct du chant des Muses, en voyant. Ainsi est tissé d’entrée de jeu un lien entre la Muse, l’aède et l’auditoire. - Cette mise en scène, dès le 1er vers, du poète, s’accompagne de l’annonce d’un récit : celui de «L’Inventif », épithète homérique énigmatique en ce qu’elle ne nomme pas le héros, mais l’introduit par une périphrase, un adjectif composé, « polytropos » qu’on traduit habituellement par « l’homme aux mille tours ». Signifiant, ce mystère quant à l’identité est cependant tout relatif

Coqs dont le sujet est précisément inspiré d’Esope. Le fabuliste y narre une querelle de basse-cour en faisant référence à la mythologie antique. Il paraît ainsi renouer avec les origines de la fable qui se voulait, jadis, un récit légendaire. Le combat qui oppose les deux coqs est cependant l’objet d’une narration parodique et burlesque* dont le fabuliste nous invite à tirer une leçon. Autre type d’introduction possible (qui peut aussi servir de base à une vue d’ensemble, après lecture). :

représente sans doute la créature opportuniste, roublarde, rebelle et débrouillarde dont l’idéal est de devenir une force à l’égale des dieux et que Zeus est contraint désormais de prendre à un certain niveau de considération. Le combat contre Typhon Ce fut le plus terrible combat que Zeus eut à engager. Ce monstre immortel aux cent têtes de dragon, que les traits de foudre de Zeus finirent par faire reculer et rejoindre les Titans dans les profondeurs du Tartare, d’où il souffle, depuis, sa rage en ouragans

primitive de grec parlé, écriture syllabique ( linéaire B )  liens établis avec la civilisation établie depuis 2500 en grèce.  cette civilisation prend brusquement fin avec l’arrivé des Doriens qui maîtrisent le fer => avantage au combat. Commencent les « siècles obscures », on sait peu de chose, les centres de pouvoir, les traces écrites disparaissent => certainement guerres locales, mvt migratoires ( vers l’intérieur de la Grèce mais aussi l’Asie mineure en passant par la mer Egée)