Le Combat De Mars Contre Minerve

la Révolution et a changé son époque. Né le 30 août 1748, J-L David était le fils d’une famille de petite bourgeoisie. En 1766, il suit les prestigieux cours de Vien. En 1771, il reçoit deuxième prix au Prix de Rome pour sa peinture Combat de Minerve et Mars . Il reçoit le premier prix en 1774 pour Érasistrate découvrant la cause de maladie d'Antiochus. Il passe 5 ans à Rome où il exerce surtout le dessin avec son maître Vien alors directeur de L’Académie de France. Il a été très influencé

semblables, ni instinct qui les porte à sucer leur sang. Cependant la guerre meurtrière est tellement le partage affreux de l’homme, qu’excepté deux ou trois nations, il n’en est point que leurs anciennes histoires ne représentent armées les unes contre les autres. Vers le Canada, homme et guerrier sont synonymes, et nous avons vu que dans notre hémisphère voleur et soldat étaient même chose. Manichéens, voilà votre excuse. Le plus déterminé des flatteurs conviendra sans peine que la guerre traîne

lors de sa mort à 61 ans, confit David à Joseph-Marie Vien (1716-1889). Joseph-Marie Vien est un peintre passionné par l’art antique et précurseur du néo-classicisme En 1771, David obtient le second Prix de Rome pour son tableau « Le combat de Mars contre Minerve » Les années suivantes, il essaya d’avoir le premier prix, et l’obtenu quatre ans après en 1774 avec : « Erasistrate découvrant la cause de la maladie d’Antiochius » Ce prix lui a permis de séjourner à Rome pendant quatre ans aux frais

décide alors de confier David à Joseph-Marie Vien, peintre. En 1766 il entre à l’atelier de Vien mais encore trop influencé par l’esthétique de Boucher, David commence à étudier l’art à l’Académie royal. En 1771 il peint sa première œuvre « Combat de Mars contre Minerve » pour le concours du prix de Rome et obtient le second prix. 3Ans plus tard, en 1774 il gagne le premier prix du même concours ce qui lui permet de séjourner 4ans à Rome aux frais du Roi. David amène avec lui à Rome son maître Joseph-Marie

avons choisi ce sujet car nous ne connaissions que les grandes lignes de cette histoire tragique. Nous voulions nous informer d’avantage et comprendre pourquoi ils avaient tant gêné et effrayé l’Église catholique romaine ; pourquoi tant de batailles contre ces personnes apparemment pacifistes ? Notre but en faisant ce dossier était de suivre la progression, comprendre les idéaux, les motivations et la religion des cathares. Pourquoi s’étaient-ils séparés de la papauté ? Nous voulions également comparer

25 février, il été invité par un frère Dominicain, qu’ils avaient l’habitude d’entendre prêcher à un certain nombre de Juifs. Il était le parrain d’un Turc et d’un Juif convertis. La cérémonie s’est déroulée dans l'église de Sainte-Marie sur la Minerve, près du Capitole. Ceux-ci étaient vêtus de blanc ; puis exorcisés à leur entrée dans l'église avec de nombreux rituels, et, quand admis le chœur, ils furent baptisés par un évêque, « in pontificalibus » (par les écrits pontificaux). Le Turc a ensuite

de circulaires ou de lettres pastorales, pour mettre les fidèles en garde contre les ouvrages dangereux qui proviennent d’outre-mer7. Avec la montée de l’ultramontanisme et des campagnes en faveur de la « bonne » presse, des laïcs secondent les efforts du clergé. Vers la fin du siècle, Louis Franc, un collaborateur de la Revue canadienne, tient un discours censorial envers la fiction importée au Québec. Il s’insurge contre les « mauvais livres et mauvais feuilletons », en s’appuyant préci- sément

Rome, de par le fait qu’il était un des temples les plus grands et les plus luxueux. Consacré à trois dieux, le temple était composé de « cellae ». Celle du milieu, la principale donc, était dédiée à Jupiter, tandis que celle de droite l’était à Minerve et celle de gauche à Junon. Ces salles comportaient les statues des divinités qui leur étaient propres. Le temple était, en outre richement décoré et ce, de manière diversifiée. A l’époque, les généraux qui revenaient vainqueurs de batailles devaient

précepteurs très doctes, de bibliothèques très amples, si bien que je crois que ni au temps de Platon, ni de Cicéron, ni de Papinien, il n’était aussi facile d’étudier que maintenant. Et dorénavant, celui qui ne sera pas bien poli en l’officine de Minerve ne pourra plus se trouver nulle part en société. Je vois les brigands, bourreaux, aventuriers, palefreniers de maintenant plus doctes que les docteurs et prédicateurs de mon temps. Même les femmes ou filles ont aspiré à cette louange et à cette

Conclusion p.32 IX. Sources p.33 I. Introduction Il y a 2700 ans, au VIIIe siècle av. J-C, près des berges du Tibre, Rome fut fondée sur sept collines. D’après les légendes des historiens romains, la vestale Rhea Silvia, fille du roi d’albe, et le dieu Mars ont eu deux jumeaux. Le frère, nouveau roi d’Albe, obligea sa sœur Rhea Silvia à abandonner ses enfants dans le Tibre pour être sûr de ne pas se faire détrôner par la suite. Mais leur couffin s’échoua sur une rive où une louve les recueillit et les