Le Cœur et l'Épée

pour quelque temps. Dans le tome 9, Razan le transperce par le cœur avec l'épée Adelring et il meurt sur le coup. Brutal[modifier | modifier le code] Il est le fidèle animalter d'Arielle. Sous sa forme animale, ce n'est qu'un chat ordinaire. Mais lorsque la nuit arrive et qu'il prend sa forme d'animalter, il devient un grand chat d'environ 1 m 80. Il a tendance à faire des remarques aux animalters canins et sait très bien manier l'épée. Il est ambidextre. Il serait prêt à donner sa vie pour sa maîtresse

l'ordre s'exécute. » L.43, « Il faisait ce jour-là un vent fort impétueux […] Il marchait néanmoins » L.43/44, « Malgré ces obstacles, les français abordent, et l'eau ayant mis leurs armes à feu hors d'état de leur servir, ils fondent sur ces escadrons l'épée à la main » L.50). En conclusion on peut dire que le but de ce texte est de faire l'éloge du roi, de sa politique et de ses troupes militaires à travers le passage du Rhin. La vision de Jean Racine est très nettement pro-française. La description

amour, il est joyeux et retrouve la joie de vivre. Il prendra tout au long du livre soin d’Isabelle, sa bien-aimée. Il utilisera son art de manier l’épée pour protéger l’innocente Isabelle. Isabelle : Jeune et jolie, Isabelle a un visage pur et mignon, « presque enfantin », les cheveux châtains avec des boucles, de longs cils une petite bouche en cœur : elle était charmante. Elle est très modeste et tient plus à l’honneur que la vie. Elle prend facilement peur pour les autres qui passent toujours

« trouble »(v.675) qui fait « langui[r], séch[er] » Phèdre «  dans les feux, dans les larmes »(v.690) et qui lui fait donc souffrir le martyre. Au vers 708, l'oxymore « un supplice si doux » qui concerne la mise à mort de Phèdre, qui veut s'embrocher sur l'épée d'Hippolyte, traduit à quel point elle est désespérée; elle souffre tellement que mourir sera une délivrance. D'ailleurs, elle décide de se suicider peu après car elle demande à Hippolyte de lui « prête[r] [s]on épée » (v.710). Par ailleurs, les assonances

ciel, les fenêtres du pavillon où couche la petite sont fermées comme de coutume; j'aperçois faiblement la lumière de sa lampe entre les feuilles de notre vieux figuier. Maintenant mes folles terreurs se dissipent; les battements précipités de mon coeur font place à une douce tranquillité. Insensé! mes yeux se remplissent de larmes, comme si ma pauvre soeur avait couru un véritable danger. - Qu'entends-je? Qui remue là entre les branches? La soeur de Maffio passe dans l'éloignement. Suis-je éveillé

complicité d'un concierge de prison, les charmes d'une belle... Veut-on se procurer de l'argent, nul n'est scrupuleux sur le choix des moyens. Le plus honnête consiste à donner son billet. Il est des fripiers complaisants pour fournir « les galons et l'épée » à un séminariste en rupture de ban. Cette société semble vivre au jour le jour, des petits méfaits et de grandes infamies. Ce qui n'empêche pas les personnes biens élevées de s'aborder avec un cérémonial hérité du grand siècle. • Galanteries

Ciel, les fenêtres du pavillon où couche la petite sont fermées comme de coutume ; j'aperçois faiblement la lumière de sa lampe entre les feuilles de notre vieux figuier. Maintenant mes folles terreurs se dissipent ; les battements précipités de mon coeur font place à une douce tranquillité. Insensé ! mes yeux se remplissent de larmes, comme si ma pauvre soeur avait couru un véritable danger. − Qu'entends−je ? Qui remue là entre les branches ? (La soeur de Maffio passe dans l'éloignement.) Suis−je éveillé

qui rend une pièce tragique ; le Destin est le seul « personnage » à agir avant, pendant et après la représentation. Dans l’Œdipe-roi de Sophocle, il abat sa fureur avant l’arrivée du héros car, déjà, la cité est ravagée par la peste. Ensuite, telle l’épée de Damoclès, il suit les pas du héros jusqu’à sa chute finale. Enfin, après que le rideau se baisse, il s’agite encore. Œdipe est l’un des rares héros tragique à ne pas mourir à la fin. Il choisit de se percer les yeux – puisque de toute évidence

Pris de peur je sortis mon épée, je couru sur les zombies et trancha la gorge d'un de ces dix monstres. Je la planta en plein cœur deux de ces immondes créatures, coupa en deux trois zombie. J'en démembra trois autres et finis en beauté en enfonçant mon épée dans la gorge du dernier zombie. Je retourna chez moi, couvert de sang de zombie. Je tenais dans ma main droite l'épée qui avait réussi à tuer ces zombies, et de la main gauche, je tenais la tête d'un de ces zombies pour le ramenais à l'historien-géographe

l'arrachant ainsi des bras de don Sanche car, lui rappelle-t-elle, elle est le prix du combat ; il se défendra. L'Infante se désespère : Rodrigue est devenu digne d'elle mais, par devoir, elle le laissera à Chimène. Celle-ci craint l'issue du combat : son cœur l'éloigne de don Sanche, son devoir l’éloigne de Rodrigue. Lorsque don Sanche, battu, vient lui apporter son épée, la jeune fille, croyant qu'il a tué Rodrigue, l'accable d'injures et lui avoue son amour pour le Cid. Se croyant libérée par la mort