Le Chevalier Sans Nom

Lescaut de l’Abbé Prévost Lecture analytique I Le coup de foudre : « J’avais marqué le temps de mon départ d’Amiens […] tous ses malheurs et les miens » p 17-19 L’Auteur : L’Abbé Prévost Né en Picardie, Antoine-François Prévost, plus connu sous le nom de l'Abbé Prévost acquiert très jeune le goût de la poésie et des romans. Après le décès de sa mère, alors qu'il n'a que 14 ans, son père l'envoie faire ses études chez les jésuites. Plus tard il s'engage dans les armées du roi, avant de retourner étudier

laquelle il est né. D’une grande force physique et courageux, il n’hésite pas à affronter une redoutable tempête pour rejoindre sa bien-aimée et à combattre un cavalier qui lui barre le chemin. Il découvre alors en son adversaire un autre lui-même, le chevalier à l’étoile rouge néfaste, dont il finit par triompher. Le bohémien Le bohémien ne fait qu’une courte apparition dans le récit, lorsqu’il vient demander asile au château un soir de tempête. Le narrateur dit qu’il était« beau comme un ange, mais

A sa sortie le succès de sa tragédie marquera le début de sa reconnaissance littéraire. Deuxième séjour à la Bastille => 1726Lors d'une dispute avec le chevalier de Rohan-Chabot, Voltaire a ce mot d'esprit : " Mon nom, je le commence, et vous finissez le vôtre ". Pour éviter un duel entre les deux hommes, la puissante famille du chevalier le fait emprisonner sur une lettre de cachet. Voltaire est libéré contre la promesse de s’exiler en Angleterre. Outre-manche, il découvre la grande liberté

Jean-Baptiste Willermoz soumirent à l’adoption des suffrages de l’assemblée des frères le nouveau nom « d’Ordre des Chevaliers Bienfaisants de la Cité Sainte ». Qui eut l’idée de ce nom ? Une chose est certaine, c’est qu’il était avant l’ouverture des débats déjà choisis et acceptés par les promoteurs de la réforme. (…) La loge de Willermoz s’appelait « la Bienfaisance », mais on a remarqué qu’un grade de Chevalier Bienfaisant existait déjà dans la loge de Saint-Théodore de Metz, et qu’il y avait en Suisse

Cette histoire relate d’une guerre menée par Charlemagne en Espagne contre les musulmans dont Marsile est le roi. Charlemagne décide d’envoyer Ganelon pour échanger avec le roi espagnol. Ganelon et Marsile complotent pour vaincre Roland, le meilleur chevalier et neveu de Charlemagne. Le but de leur traitrise est de mettre Roland à l’arrière-garde pour le pousser dans une situation de sous- nombre afin de le tuer. Leur stratagème fonctionne et Roland se retrouvent avec son ami Olivier face à plusieurs

Tarraconaise et la Lusitanie, ainsi que toutes les Gaules la Narbonnaise, la Lyonnaise, l'Aquitaine et la Celtique, avec leurs colonies. Quelques Celtes, en effet, que nous appelons Germains, occupant toute la Celtique voisine du Rhin, ont fait donner le nom de Germanie tant à la partie supérieure c'est-à-dire à celle qui commence aux sources du fleuve, qu'à la partie inférieure, c'est-à-dire à celle qui s'étend jusqu'à l'océan Britannique. Ces provinces donc, ainsi que la Coelé-Syrie, la Phénicie, Chypre

combattants font le premier plan de l’image enluminée attirent toute l’attention du spectateur, qui, dans cette polychromie bariolée, ne discerne que, plus tard, les contours d’un chevalier tombé contre terre. Conformément à la rubrique de la miniature, on est informé de l’existence sur le champ de combat d’un autre chevalier, Lamorat de Galles. Ses armoiries, celles de la famille de Galles dont fait partie Perceval, sont de pourpre semé de croisettes d’or, le pourpre couvrant une palette très large

familiariser avec le contexte médiéval > S’exercer à l’écriture du récit > Support : approche synthétique des trois premiers chapitres (La naissance de Tristan, Le Morholt, Le dragon). I. La naissance de Tristan 1) Tristan porte-t-il bien son nom ? Pourquoi ? 2) Complétez le tableau suivant en précisant quels liens familiaux unissent les personnages : • … de Blanchefleur Tristan est… Marc est… Rivalen est… Blanchefleur est… le fils • … de Rivalen • … de Marc • … de Tristan >

Laudine, aussi connue sous le nom de la Dame de la Fontaine, est un personnage de la légende arthurienne qui provient essentiellement d'un roman de Chrétien de Troyes écrit vers 1176, Yvain ou le Chevalier au lion. À l'origine épouse du chevalier noir gardien de la source Esclador le Roux, elle tombe peu à peu amoureuse d'Yvain, qui a pourtant tué son mari. Elle finit par l'épouser, mais le chevalier désire reprendre sa vie aventureuse. Laudine lui accorde un an et lui confie un anneau pour lui rappeler

conseiller du roi et de ses chevaliers, prédit le cours des batailles et influe sur le déroulement de celles-ci, avant de se retirer dans la forêt à laquelle il est étroitement associé. Druide et enchanteur du Ve-VIe siècle, selon la légende, il est né d'un homme fée et d’une jeune druidesse. On ne sait pas si ce personnage a vraiment existé, les sources manuscrites de l’époque ayant disparu. La plupart des ouvrages qui parlent de Merlin, évoquent aussi Arthur et les chevaliers de la Table ronde. Il apparaît