Le Chevalier Double

de ces absurdités que l'on trouve dans les romans de chevalerie, et tout ce qu'il disait, pensait ou faisait n'avait d'autre but que de s'y conformer » (ch. XVIII, p. 187). 1) L'imagination est donc cette force par laquelle Don Quichotte s'arme chevalier dans des "temps calamiteux" : .[...] En un mot, j'imagine que ce que je dis est comme je le dis, ni plus ni moins; et je la vois en esprit telle que la veut mon désir. » (ch.XXV, p.276-277). En personnage de la Renaissance, Don Quichotte revendique

UE 43- Langue médiévale CM-TD5 UE 43: Langue médiévale CM-TD5 24/02 syroustant@gmail.com Suite de la traduction: – Ma belle, dit le chevalier, je logerais volontiers à la condition comme vous avez dit.” Il descendit de cheval et s’arrêta la jeune fille se vêtit sans tarder, et celle qui était avec elle lui amena une mule de très richement harnachée, pour elle, un palefroi, ni comte ni roi n’en eut de meilleur. Guingamor suivit la jeune fille, après l’avoir posée sur la

ne paraît pas réelle. 128-129-151-171-176 : 128 : perd tous ses chevaliers. Plains la France, se demande quoi faire. 129 : veut appeler à l'aide pour lui-même, est occupé à perdre son honneur. 151 : perd son ami Olivier et sa sagesse. 171 : perd son épée, pouvoir très symbolique. Souvent des reliques dans la poignée. 176 : perd la vie. Le gant : reçu lors de l'adoubement (en rapport aux vœux des chevaliers), rend son âme de chevalier, sa vie. Il se prépare à la mort (sous un pin), tourné vers l'Espagne

va permettre de connaitre les raisons de ce silence. C’est la vénération à l’égard de l’inconnu qui lui interdit de l’aimer et ferait de cet aveu une offense. C’est un sentiment de l’amour courtois (la fin ‘Amor qui imposait à l’homme, souvent chevalier, une distance par rapport à la dame). Cette distance de Dorante par rapport à celle qu’il aime provoque un accent tragique, car il est un amoureux éploré. On voit donc apparaitre la condition sociale. Il y a également la perfection de l’être

C)- le jeu du contexte La croisade apparaît elle aussi comme une partie de hasart même si elle est jouée d'avance: le roi a la main, Tervagan et saint Nicolas en sont les joueurs. Si le trésor est volé, la chance du roi sort; si le trésor est doublé, c'est la chance du prudhomme et de saint Nicolas. Le roi commence par prendre l'avantage, mais passe son tour, et laisse jouer un nouveau coup en accordant un délai au prudhomme. Ce-dernier finit par remporter la partie. Dieu jette ainsi les dés

dans Milon, Eliduc, Guigemar, Lanval, Yonec. Mais l'eau a également une autre fonction dramatique: elle est le cadre nécessaire pour l'apparition du merveilleux. En fait, l'être surnaturel qui vient des légendes celtiques, bien qu'il ressemble aux chevaliers et aux dames de la société courtoise, habite près de l'eau. Un autre espace qui apparait comme moyen de transition au merveilleux, c’est le foret. Ce lieu occupe une place très importante dans la littérature du Moyen Âge. Dans la littérature du

NB : Le présent à une valeur itérative : Tristan va souvent dans la chambre du roi. Mais il a aussi une valeur intensive : Tristan ne cesse ses allers et venues dans la chambre. Le piège est laissé à l’initiative du nain. Piège double : • affectif : séparation avec Iseut puisque Tristan est envoyé en mission chez Arthur. • matériel : il faut mettre le roi en face de l’évidence de la chose vue ; or, à ce stade du récit, cette preuve ne peut être que l’adultère car l’espace

mienne - ici est mis en évidence la question morale de la faute, de plaider en quelques sortes son ‘innocence’ - juxtaposition des propositions - dernière porte avec ouvrir, sortir, ce n’est pas une liberté joyeuse, une vraie liberté. - n’osa refuser = double n’gation avec “refuser et le n apostrophe = soumission du prêtre = des grieux prends une revanche sur la société et est en position de prendre des décisions et de soumettre l’église et la justice divine = peut être porte de son destin - le texte s’appuie

de Tourvel et décide de ne pas séduire la jeune Cécile. Dans un premier temps nous verrons la stratégie employée par la Marquise puis son portrait. I) Les Stratégies employées par la Marquise : La Marquise établit une stratégie de libertinage à double enjeu autour de la Présidente de Tourvel mais également autour de la jeune Cécile. Elle utilise pour cela la flatterie, la manipulation, l’habilité. En effet, elle maîtrise l’art de la manipulation, elle joue avec l’influence qu’elle a sur lui « malgré

petitsbarons/châtelains Simples chevaliers Paysans/serfs/esclaves... Cérémonie de l'Hommage (homme-lige): Le vassal prête serment de fidélité et d'assistance à son suzerain. →Le vassal à genoux met ses mains jointes dans celles du seigneur, et jure sur l'évangile de lui être fidèle. Il doit: ne pas nuire à son suzerain, assistance militaire (défense ou attaque) , assistance financière (lorsqu'il doit rançon, en croisade, lors du mariage de sa fille, ou quand il fait de son fils chevalier), conseils dans