Le Cheval Victor Hugo

[pic] Victor Hugo « L’Enfant » O horror ! horror ! horror ! SHAKESPEARE, Macbeth. Les Turcs ont passé là : tout est ruine et deuil. Chio, l’île des vins, n’est plus qu’un sombre écueil, Chio, qu’ombrageaient les charmilles, Chio, qui dans les flots reflétaient ses grands bois, Ses coteaux, ses palais, et le soir quelquefois Un chœur dansant de jeunes filles. Tout est désert : mais non, seul près des murs noircis, Un enfant aux yeux bleus, un enfant grec, assis Courbait

peut perfectionner le langage sans perfectionner la science, ni la science sans le langage (Antoine-Laurent de Lavoisier, 1743-1794). De quelque mot profond tout homme est le disciple (Victor Hugo, 1802-1885). Les mots sont les passants mystérieux de l"âme (Victor Hugo) Les mots manquent aux émotions (Victor Hugo, Le dernier jour d'un condamné). Ce n'est pas avec des idées que l'on fait des vers, c'est avec des mots (Mallarmé). Les mots sont, bien sûr, la plus puissante des drogues de l'Humanité

Présentation de l’auteur Ferdinand-Victor-Eugène Delacroix est né le 26 avril 1798 à Charenton-Saint-Maurice dans la Seine. Il est mort le 13 août 1863 à Paris.il fait partie des peintres majeurs du romantisme en peinture, qui est apparu au début du 19eme siècle, en France. En 1822, Delacroix, désireux de se faire un nom dans la peinture et de trouver une issue à ses difficultés financières, se présente pour la première fois au Salon officiel, avec différent tableau La Barque de Dante qui a aussi

Manquent-ils de gentillesse ? Il ne faut pas porter de jugements ! • Sont dans une logique de liberté et non de dépendance. 0187 C01 – 3/14 Document 3 : « Georges et Jeanne », poème de Victor Hugo extrait du recueil L'Art d'être grand-père. Document 3 Idée 1 : Les grands-parents autrefois • Victor Hugo : grand-père admiratif de ses petits-enfants : les contemple pendant leur sommeil, s’empresse de les rejoindre quand ils l’appellent. • Attendrissement du poète, s’imagine leurs rêves pleins

Commentaire : « Fable ou Histoire » de Victor HUGO En 1853, alors exilé par Louis-Napoléon Bonaparte en Angleterre, Victor Hugo publie Les Châtiments, recueil de poèmes satiriques destiné à dénoncer « les complots monarchiques bonapartistes ». Dans cette œuvre, les vers sont pour Hugo une arme destinée à discréditer et à abattre le régime au pouvoir. C’est le cas notamment dans « Fable ou Histoire », l’une des seules fables rédigée par Hugo et où il critique la société, ses vices et la tyrannie

Victor HUGO (1802-1885) Les Châtiments, 1853 Livre V, 13, « L’expiation ». Ce poème parle de la retraite de Russie que dut subir, en 1812, la Grande Armée conduite par Napoléon, après l’incendie de Moscou. V. HUGO était irréductiblement opposé à Napoléon III, contre qui il a écrit Les Châtiments ; il admirait en revanche Napoléon 1er, dont il montre la grandeur, même dans la défaite. Le texte cité n’est que le début d’un très long poème. -« L’aigle », symbole du pouvoir impérial, désigne ici

Pour le commentaire sur l’extrait des trois mousquetaires : Il faut parler de Dumas: c’est un bon vivant un personnage truculent et qui joue un rôle presque politique car il prend la tête du parti favorable à Victor Hugo. Et lors du scandale d’Hernani, il y a une rupture avec la tragédie. C’est un écrivain a succès et il renonce a la grande littérature et il écrit des dizaines de roman pour gagner beaucoup d’argent. Pour Dumas il veut le succès mondain et avec les femmes. Il écrit surtout des romans

Après la bataille Mon père, ce héros au sourire si doux, Suivi d’un seul housard qu’il aimait entre tous Pour sa grande bravoure et pour sa haute taille, Parcourait à cheval, le soir d’une bataille, Le champ couvert de morts sur qui tombait la nuit. Il lui sembla dans l’ombre entendre un faible bruit. C’était un Espagnol de l’armée en déroute Qui se traînait sanglant sur le bord de la route, Râlant, brisé, livide, et mort plus qu’à moitié. Et qui disait: ” A boire! à boire par pitié

Il a deux trous rouges au côté droit. Arthur Rimbaud (1854-1891) Après la bataille Mon père, ce héros au sourire si doux, Suivi d’un seul housard qu’il aimait entre tous Pour sa grande bravoure et pour sa haute taille, Parcourait à cheval, le soir d’une bataille, Le champ couvert de morts sur qui tombait la nuit. Il lui sembla dans l’ombre entendre un faible bruit. C’était un Espagnol de l’armée en déroute Qui se traînait sanglant sur le bord de la route, Râlant, brisé, livide

............................................................................ 14 Chanson pour elles. Paul Verlaine................................................................................................................................. 14 Chevaux de bois. Paul Verlaine ..................................................................................................................................... 15 Écoutez la chanson bien douce. Paul Verlaine .........................................