Le Château d'Otrante

chevalier à la charrette, Yvain ou le chevalier au Lion[13]. - Les poèmes religieux : ils sont consacrés à la légende de la quête du Graal, vase précieux de Joseph d’Arimathie qui recueillit le sang du Christ en croix. Ce vase est conservé dans un château mystérieux et seul un chevalier vierge de tout pêché pourra le conquérir (qui sera Perceval). Chrétien de Troyes écrit Perceval ou le conte du Graal qu’il dédie au comte de France, Philippe d’Alsace. Ces poèmes ont beaucoup de succès, ils sont imités

tous ceux qui veulent s'y dérober. ROMAN_GOTHIQUE : Le roman gothique est un genre littéraire anglais, précurseur du roman noir avec lequel il est parfois confondu en français. On considère généralement que le roman gothique naît avec le Château d'Otrante d'Horace Walpole (1764), pour s'éteindre progressivement à partir de 1830, tandis que s'installe en Europe continentale la vogue du fantastique. Le roman gothique anglais s'inscrit dans la continuité des Lumières même s'il marque un grand fossé

préromantisme français, en Angleterre qualifiant plutôt le roman noir ou d’horreur22. Outre, c’est la naissance de l’élément fantastique dans la littérature contemporaine. Ecrivain talentueux, H. Walpole rédige le premier roman noir23 : Le Château d’Otrante (1764). Suivent Ann Radcliffe avec Les 22 Les informations sur l’histoire de la littérature et les influences étrangères des littératures sont empruntées par l’ouvrage de VAN TIEGHEM, Ph., Les Influences étrangères sur la littérature française

étroits avec le présent et la misère des pauvres, il n’en fut pas moins très fortement influencé par la nostalgie d’un passé médiéval. Les romans gothiques d’Ann Radcliffe ( L’italien 1797, Les Mystères d’Udolphe, 1794) ceux d’Horace Walpole ( le château d’Otrante 1764) et les romans historiques de Walter Scott (Waverley 1814, Ivanhoé 1819) illustrent parfaitement ce goût pour le moyen-âge, pour l’étrange et le mystère. Et les poèmes de Macpherson montrent bien la fascination du 19ème pour un passé encore

Influences étrangères ➢ Influences anglaises L’adjectif « romantique » vient d’Angleterre et caractérise « le roman gothique », car il renvoi à la chevalerie du Moyen âge, à une atmosphère de passion violente. - H. Walpole, le château d’Otrante (1764) - Ann Radcliff, L’italien, (1797) ; Les mystères d’Udolphe, (1794) - Mary Shelley, Frankestein, (1818) - Emilie Brontë, Les hauts de hurlevent, (1848) Ce roman gothique évoluera vers la mélancolie. C’est surtout en poésie

bonheur. Le public populaire est avide de romans, et le roman commence à devenir une véritable industrie et un commerce. Le roman noir : vient de l'Angleterre, à la fin du XVIII° siècle, aussi appelé "roman gothique". Horace Walpole avec Le château d'Otrante met la terreur au centre de l'intérêt, même si son oeuvre passe longtemps inaperçu. Le plus profonde influence en France vient des roman d'Ann Radcliffe (L'italien, Les mystères d'Udolphe ). On y distingue deux séries majeures : - le "roman

des affronts, que les Français avaient reçus dans le port même de Naples: mais le gouvernement se crut vengé dès qu'il fut maître de l'être; il ne se sentit plus que le désir et la nécessité de la paix; pour la donner, il ne demande que les ports d'Otrante, nécessaires à ses desseins sur l'Orient, depuis que Malte était occupée par les Anglais. Paul 1er avait aimé la France; il voulait la paix de l'Europe, il voulait surtout la liberté des mers. Sa grande âme fut émue des sentimens pacifiques que

appartiennent au registre de la parodie. Son but est de démontrer l'inconsistance des fausses gloires de son temps, dont seuls quelques-uns ont échappé à l'oubli. Ainsi, Metzengerstein imite les horreurs inventées dans les romans gothiques, comme Le Château d'Otrante d'Horace Walpole ou Les Élixirs du diable d'Ernst Theodor Amadeus Hoffmann. L'histoire repose sur la croyance en la métempsycose, pour laquelle Edgar Poe a toujours manifesté un profond mépris et qui relevait pour lui de l'aliénation mentale

appartiennent au registre de la parodie. Son but est de démontrer l'inconsistance des fausses gloires de son temps, dont seuls quelques-uns ont échappé à l'oubli. Ainsi, Metzengerstein imite les horreurs inventées dans les romans gothiques, comme Le Château d'Otrante d'Horace Walpole ou Les Élixirs du diable d'Ernst Theodor Amadeus Hoffmann. L'histoire repose sur la croyance en la métempsycose, pour laquelle Edgar Poe a toujours manifesté un profond mépris et qui relevait pour lui de l'aliénation mentale

biographie secrète de ce géant qu'on nomme Paris et qui, en sa vie, eut tant d'aventures ! Laissons donc de côté les cinq cents volumes de mémoires diffus qui disent le blanc et le noir sur cette grande crise de notre Révolution, et tournant le dos au château où la main crochue de ce bon M. Bourrienne griffonne quelques vérités parmi des monceaux de mensonges bien payés, plongeons-nous de parti pris dans le fourré le plus profond de la forêt parisienne. Nous avons l'espoir que le lecteur n'aura pas oublié