Le Cauchemar Fussli

passif, d'un plaisir noir. Le libertinage est porté au tragique et prend l'aspect du sacrifice sanglant. Burke s'intéresse au spectacle funèbre pour le seul frisson qu'il en résulte. On passe des nymphes de Boucher aux dormeuses torturées de Füssli (Le cauchemar en annexe). Qu'ils soient écrivains, sculpteurs ou peintres, les auteurs libertins du 18° siècle ont tous voulu établir une rupture avec les siècles puritains précédents, qui proscrivaient débauche, dissolution et plaisirs charnels. En

du cauchemar. Premier plan : lapin et autres animaux / Deuxième plan : Maison ( plus grand que le premier ) / Arrière plan : Forêt hivernal. Contre plongée Tableau 2 : Le cauchemar Füssli Étymologie  de cauchemar : Fantôme qui vous étouffe Un incube : Selon les légendes, démon qui vient abuser des femmes pendant la nuit. Premier plan : La femme / Deuxième plan : Le démon / Troisième plan : Le cheval / Arrière plan : noir. Il représente sur la même image la rêveuse et son cauchemar. Les

et à mesure que la médecine se sépare de la philosophie, le terme est aussi repris dans celle-ci et elle caractérise alors un être-là existentiel qu'on retrouve chez des écrivains, poètes et intellectuels. Johann Heinrich Füssli Ezzelin Bracciaferro, songeur, devant Méduna qu’il a tuée pour son infidélité lorsqu’il était absent en Terre sainte Vers 1780 Huile sur toile 50,8 x 61 cm Sir John Soane’s Museum, Londres L’âge des Lumières crée dans

romantiques ne sont plus fascinés par l'antiquité mais par le Moyen-Age, ils sont attirés par l'exotisme, surtout les civilisations arabes. Quelques peintures romantique : Jean Auguste Dominique Ingres – Songe d'Ossian 1813 Johann Heinrich Fussli – Le cauchemar 1781 Caspar David Friedrich – Voyageur contemplant une mer de nuages Source : fr.m.wikipedia.org www.histoiredelart.net

une littérature de la souffrance, de la folie, de l'échec. En ce sens, elle marque une rupture profonde avec l'optimisme du siècle des Lumières. Cet aspect trouvera un écho au XXe siècle chez les surréalistes. La sexualité Le Cauchemar, Johann Heinrich Füssli. La psychanalyse interprète volontiers le genre fantastique comme l'expression de désirs sexuels inavouables. Il est relativement facile en effet d'associer à chacun des thèmes du fantastique une forme de sexualité anormale : ainsi,

Français nommé René. Chactas, un vieil Indien de cette tribu qui, sous Louis XIV, a visité la France, prend René en amitié au cours d'une chasse au castor et entreprend de lui conter les aventures de sa jeunesse. Peinture : Johann Einrich Füssli : Le cauchemar (1781) : Francisco de Goya : Tres de Mayo (1814) : Eugène Delacroix : La Mort de Sadarnapale (1827) : Théâtre : Victor Hugo : Hernani (1830) : Hernani est un jeune noble proscrit par le roi Carlos et en lutte contre

noirs qui baignent le ciel cachent une partie des rayons; c'est à la fois la journée et le crépuscule. Dans le panneau de droite, la lumière est crue et froide, elle rappelle les fantômes tels qu'ils étaient représentés dans « Le Cauchemar » (ou « Des Nachtmahr ») de FÜSSLI en 1791. La prédelle a des couleurs chaudes, et une lumière tamisée qui vient du spectateur, comme si il levait le voile sur ce lieu où règne une paix, une tranquillité. l'espace formé par les éléments semble décrire une boucle

supérieures. Maupassant écrit donc dans sa nouvelles : « le règne de l'homme est fini ». V– D'autres oeuvres : Lettre d'un fou (1885) Guy de Maupassant Le sommeil de la raison (1798) Francisco de Goya (allusion au fantastique) Le cauchemars (1781) Fussli (allusion à la domination)

FrançaisL’épopée est un genre poétique, versifiée souvent en ancien français. Un courant littéraire est un phénomène de mode a un moment donner Marot poète qui aborder plusieurs genres poétiques : Epitre : texte de plainte Balade style poétique de strophe innombrableQuelles difficultés pour le lecteur d’aujourd’hui ? 1. Syntaxe très différente 2. Un lexique qui ne parle pas aux lecteurs modernes 3. Un contexte mal compris

dans toute l’Europe. Le jeu tragique de la lumière et de l’ombre, l’opposition des tons et la puissance du contraste se retrouvèrent en France, chez Géricault et Delacroix, en Espagne Goya, en Suède, C. D. Friedrich, aussi bien qu’ en Angleterre chez Füssli, Constable ou encore Turner. Ces artistes cherchent également à rendre d’une manière plus vigoureuse les courants intérieurs de la spiritualité qui déterminent le geste et le mouvement. Chez eux, la perception de la nature prit une dimension métaphysique