Le Bouffon vert

oriental, d’où jaillissent quelquefois des regards curieusement féminins, dans le strict intervalle que laissent aux yeux les bandes de mousseline collées sur le visage ; les danses frénétiques des baladins du troisième sexe (jamais l’expression bouffonne de Balzac ne fut plus applicable que dans le cas présent, car, sous la palpitation de ces lueurs tremblantes, sous l’agitation de ces amples vêtements, sous cet ardent maquillage des joues, des yeux et des sourcils, dans ces gestes hystériques et

opération est l'inverse d'une division ? Une multiplication Sous quelle mer, le tunnel ferroviaire qui relie la France à la Grande-Bretagne, passe-t-il ? La Manche Quel film d'Éric Rohmer obtient le Lion d'or à Venise en 1986 ? Le Rayon Vert Quels mollusques un ostréiculteur élève-t-il ? Des huîtres Comment appelle-t-on un cheval destiné à la reproduction ? Un étalon En 1973, dans quel film d'Edouard Molinaro Jacques Brel et Lino Ventura étaient-ils partenaires ? Dans quel

corridor incarnat en marbre de Sarancolin, le corridor brun en lumachelle d’Astracan, le corridor blanc en marbre de Lani, le corridor noir en marbre d’Alabanda, le corridor gris en marbre de Staremma, le corridor jaune en marbre de Hesse, le corridor vert en marbre du Tyrol, le corridor rouge mi-parti griotte de Bohême et 12 lumachelle de Cordoue, le corridor bleu en turquin de Gênes, le corridor violet en granit de Catalogne, le corridor deuil, veiné blanc et noir, en schiste de Murviedro

corridor incarnat en marbre de Sarancolin, le corridor brun en lumachelle d'Astracan, le corridor blanc en marbre de Lani, le corridor noir en marbre d'Alabanda, le corridor gris en marbre de Staremma, le corridor jaune en marbre de Hesse, le corridor vert en marbre du Tyrol, le corridor rouge mi−parti griotte de Bohême et lumachelle de Gordoue, le corridor bleu en turquin de Gênes, le corridor violet en granit de Catalogne, le corridor deuil, veiné blanc et noir, en schiste de Murviedro, le corridor

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Don Quichotte [1910] et Roma [1912]). Reprenant le conte de Perrault et certains éléments féeriques de celui des frères Grimm, Cain resitue l’action dans un hypothétique XVIIe siècle, pastichant les comédies moliéresques et leurs personnages bouffons, tout en conservant le registre sentimental « fin de siècle » pour le couple amoureux formé par Cendrillon et le Prince Charmant. À ce mélange des tons d’un goût décadent, s’ajoute une prose poétique d’un style affecté dont la mise en musique masque

oriental, d’où jaillissent quelquefois des regards curieusement féminins, dans le strict intervalle que laissent aux yeux les bandes de mousseline collées sur le visage ; les danses frénétiques des baladins du troisième sexe (jamais l’expression bouffonne de Balzac ne fut plus applicable que dans le cas présent, car, sous la palpitation de ces lueurs tremblantes, sous l’agitation de ces amples vêtements, sous cet ardent maquillage des joues, des yeux et des sourcils, dans ces gestes hystériques et

oriental, d’où jaillissent quelquefois des regards curieusement féminins, dans le strict intervalle que laissent aux yeux les bandes de mousseline collées sur le visage ; les danses frénétiques des baladins du troisième sexe (jamais l’expression bouffonne de Balzac ne fut plus applicable que dans le cas présent, car, sous la palpitation de ces lueurs tremblantes, sous l’agitation de ces amples vêtements, sous cet ardent maquillage des joues, des yeux et des sourcils, dans ces gestes hystériques

vérité sort de son puits. CHIEN. J’explique. PORTIER. Pas la peine ! Mordu comme vous savez mordre, vous les clebs ! CHIEN. “Vous les clebs !” M’appelle Prince, monsieur le portier ! Je suis unique, monsieur le portier ! PORTIER. Prince ! Ah, c’est bouffon ! CHIEN. Je porte un nœud papillon dans les cérémonies. Des exercices de dressage m’ont stimulé l’intelligence. J’ai un registre expressif très développé. Je suis très socialisé. Une curiosité sans fond me remue la truffe. J’ai du vocabulaire, je

» ( « ne font plus frissonner sa poitrine »), dans la mise en relief de l’adjectif « tranquille » ou dans le paysage « bucolique » : la gare aussi, avec son « soleil des collines » baignant l’herbe de la pelouse est peut-être « Pâle dans son lit vert où la lumière pleut ». Le poème touche enfin à la sérénité dans les deux derniers vers, avec l’expression d’une harmonie « enfin » atteinte : plus rien ne vient troubler la gare, plus aucun « air tourbillonnant » ni aucun « ébranlement » ; à la