Le Bouffon vert

route peu fréquentée qui serpentait jusqu’à Gloucester. Lorsqu’elle y repensa plus tard, mais plus tard seulement, elle dut s’avouer qu’elle tenait le volant avec moins de concentration que d’habitude. Son premier mouvement lorsqu’elle vit le bolide vert foncer à sa rencontre fut de ressentiment. Roulant à grande vitesse, le monstre la frôla et Maureen jeta un coup d’œil furibond à ses occupants. Vaguement étonnée, elle reconnut dans la silhouette qui occupait la place du passager la personne de

une nouvelle catégorie dans la population vue comme véritablement très inquiétante : ce sont les goliards. C’est une population bruyante faite d’étudiants errants sans ressources vivants de la mendicité souvent. Ils finissent souvent jongleurs ou bouffons afin de gagner de quoi survivre et de quoi poursuivre cette vie faite d’études, d’oisiveté et de dépravation. Ils inquiètent parce que l’on voit en eux un milieu révolutionnaire avant l’heure, un milieu ouvert à toutes oppositions. Ces étudiants

Verval-sur-Orle, si calme et si riante, s’ouvrait à l’air tiède du crépuscule, où déjà flottait une caressante fraîcheur. Et, tandis que les flammes du couchant s’éteignaient en lentes dégradations de lumière, en vastes nappes orangées, en glacis d’un vert tendre et limpide, en fines ombres violettes, la lune montait à l’orient dans l’éther pur, baignant d’une sereine blancheur les coteaux boisés, les champs de blé et de seigle, les prairies, les jardins, les maisons à demi cachées dans le feuillage

d’un smiley – mais Annabeth avait mis son veto : elle n’était pas certaine que les Romains aient le sens de l’humour. Trop tard, maintenant, pour faire demi-tour. Les nuages s’écartèrent de part et d’autre de la coque, et ils découvrirent le tapis vert et or des collines d’Oakland, à leurs pieds. Annabeth saisit 8/1102 un des boucliers de bronze alignés le long du bastingage tribord. Ses trois camarades d’équipage prirent leurs postes. Côté poupe, Léo s’activait comme un fou, vérifiant ses jauges

son gantelet de fer qui le faisaient ressembler à un homme d’armes de Crécy, le petit Belin, coiffé d’un vieux calot de dragon enfoncé jusqu’aux oreilles, et Broucke, « le gars de ch’Nord » qui s’était taillé des molletières dans des rideaux de reps vert. Seul Sulphart, par dignité, était resté à l’écart, juché sur un tonneau, où il épluchait des patates, avec l’air digne et absorbé qu’il prenait pour accomplir les actes les plus simples de l’existence. Grattant sa barbe de crin roux, il tourna négligemment

la figure enfouie sous les foulards. Ces heures sont adorables à cause de la suspension même des lignes et des contours de la pensée. De grandes déchirures sanguinolentes balafraient le ciel ; et l’eau, autour des barques, 12 était d’un épais vert olive. Dans la tombée de l’ombre crépusculaire, les marbres de Venise gardaient un reste de lumière, et la ville semblait diaphane, comme une chair parsemée de perles. Des sons agréables nous parvinrent ; c’était le concert des cloches vénitiennes

TEXTE À L’AUTRE 1 C. Baudelaire, Les Fleurs du mal, « Parfum exotique » TEXTE 2 S. Mallarmé, Poésies, « Tristesse d’été » D’UN TEXTE À L’AUTRE 2 C. Baudelaire, Le Spleen de Paris, « Un hémisphère dans une chevelure » TEXTE 3 A. Rimbaud, « Au Cabaret-Vert, cinq heures du soir » D’UN TEXTE À L’AUTRE 3 C. Baudelaire, Les Fleurs du mal, « À une passante » ÉTUDE D’ŒUVRE INTÉGRALE A. Rimbaud, Poésies ANALYSE D’IMAGE TEXTE 1 HISTOIRE DES ARTS 122 123 124 124 125 126 128 128 130 131 131 131 132 133

des spectacles de comédies de mœurs et des farces bouffonnes, ainsi que cela ressort des titres suivants: Femme et Sida (Qui dit mieux, 1990); Homme, tu comprendras (Les Echos de la Capitale, 1992) ; Villageoise ou pas villageoise, Je suis ta maman, (Les Echos de la Capitale, 1992); Un divorce imprévu (Qui dit mieux, 1998). Les troupes plus ou moins structurées telles que l’EACE, Kpanlingan, le théâtre Wassangari, l’Atelier Nomade, Le théâtre vert et la Compagnie Agbo-N’koko présentent de préférence

faire quequ’chose … Si on donne rien à c’te fille-là pour son mariage, ses parents nous regarderont pus jamais! On va passer pour des sauvages! On va passer pour des ignorants! On va passer pour des sans- dessein! » C’était un plat rond en verre taillé vert pâle muni d’une petite cuiller, plutôt laid, que mes parents avaient reçu en cadeau de noces, vingt ans plus tôt, etqui avait toujours servi à contenir des cachous, des noix de Grenoble ou de simples pinottes salées lors des grands événements, partys

l'hypothèse d'un acte criminel. Nous publions ci-dessous des photos récentes de Sally Jackson et de Percy. La police demande à quiconque pense détenir une information d'appeler gratuitement la permanence téléphonique de lutte contre le crime, au numéro vert suivant. Le numéro était entouré au feutre noir. J'ai roulé la feuille en boule et je l'ai jetée, puis je me suis effondré sur mon lit, dans mon bungalow vide. — Extinction des feux, ai-je déclaré tristement. Cette nuit-là, j'ai fait mon pire cauchemar