Le Boucher

Allitérations : répétition d'un son consonantique  Pour votre culture : il y a plusieurs classifications des consonnes (En voici un très bref aperçu) -selon l'obstruction de l'air créé (consonnes constrictives : occlusives (ouverture brutale de la bouche : p, b, t, d, kg), fricatives (frottement : f, v ; s ; z ) ou sans obstruction (les consonnes liquides r et l ; les sonantes nasales m et n) -selon la cavité de résonance : orales (toutes sauf les nasales m et n) -selon le point d'articulation :

augmente fortement le risque de développer un cancer : -De la cavité buccale Chaque bouffée de fumée remplit la bouche avant d’être aspirée dans les poumons. La plus grande concentration des substances toxiques se trouve dans la bouche et attaque les muqueuses. La plupart des cancers de la cavité buccale prennent naissance dans les cellules plates qui tapissent l’intérieur de la bouche. On distingue sur la photo les papilles de la langue en bonne santé d’une personne non fumeuse. On distingue

la bouche aussi appeler cav. Orale. Schéma avec coup sag med. Le haut est en bas du schéma et le bas à gauche. La cav. Orale elle est située au nvx de la face et dans la face elle est au-dessous des cav nasales. Elle a plusieurs limites : En haut : limite = struct osseuse qui est le palais dur formé de 2 os maxillaire et palatin et ce palais dur se prolonge en ar par struct muscu = voile du palais ou palais mou. En bas la limite de la cav orales est formé par le plancher de la bouche = ensemble

| | | | |Mauvaise fermeture de la bouche, difficulté à cause des |Temps de repas prolongé. | | | |problèmes neurologiques.

provenant du soleil favorise le cancer de la peau -la fumée du tabac est responsable de la majorité des cancers des poumons et des bronches,et à un degré moindre des cancers de la bouche,du pharynx,du larynx, de l'oesophage, de la vessie -une consommation excéssive d'alcool augmente les risques des cancers de la bouche, du larynx et du pharynx -une consommation excessive de produits finis riche en sucre et graisse associé à une sédentarité favorisent l'obésité et augmentent les risques de développer

ne font pas frissonner sa narine. » Les assonances en « ou » forment un hiatus encore plus brutal que dans « bouche ouverte », brutalité renforcée par l’alternance des dentales et des gutturales. Le dernier tercet continue la description qui n’est d’ailleurs jamais globale. Le poète évoque le jeune soldat par métonymies successives en utilisant des parties de son corps : la bouche, la tête, la nuque, le sourire des lèvres, les pieds, la narine, la poitrine, le côté droit Le dernier vers qui

l'abaissement de la mâchoire inférieure qui détermine le degré de l'ouverture buccale. 2. La position de la langue par rapport aux dents. Quand la langue est massée vers l'avant de la bouche, il s'agit d'une voyelle antérieure. Quand, par contre, la langue est retirée des alvéoles et qu'elle articule à l'arrière de la bouche, il se forme une voyelle postérieure. « Toute voyelle exigeant un soulèvement de la langue, les voyelles pour lesquelles le point maximum de soulèvement lingual se trouve dans la

» « Je suis l’âme de cette forêt ! Et je t’aiderais dans ton choix si tu m’obéis. » « Bi-bien sûr, tout ce que vous vou-vou-drez. » La voix était bien sûr celle du Petit Chaperon noir, qu’elle avait déguisé en mettant son chaperon devant sa bouche. Elle était cachée derrière un arbre touffu et le Loup ne la voyait pas. Elle dit ensuite : « Alors, pour commencer, grimpe en haut du chêne devant toi, et attrape le nid qui s’y trouve ; il contient cinq œufs qui devraient bientôt éclore. » Le

Elle était assise au bord de l'eau comme tous les matins, comme tous les jours elle redécouvrait son reflet dans l'eau, elle découvrait son petit visage rond, sa petite bouche rose, ses grands yeux verts très clair, ses cheveux mi-longs lisses d'un châtain éclatant de mille feu, elle se découvrait.Elle ne savait pas pourquoi elle était là, ses parents l'avait déposés ici en lui disant "Un nouveau jour, une nouvelle vie, jusqu'à la fin de tes jours." en l'embrassant tendrement sur la joue.Elle ne

effleurèrent les siennes, c'était lui, ma seule et unique envie de vivre; mon obsession... Et moi, en honnête citoyenne que j'étais, je l'avais englouti, par pure gourmandise, et cela me faisait étrangement du bien. J'avais encore le gout de son sang dans ma bouche, je pris un couteau se trouvant près de moi, enfonçant lentement la lame dans les lèvres de ma victime, il devait être a moi, rien qu'à moi. Son sang, son odeur, son image ; tout devait m'appartenir, personne d'autre n'y aurait accès. Une goutte