Le bonheur est dans le pré

L'amour est dans le pré ? Le Salon international de l'Agriculture 2011, c'est l'un des rendez-vous phare de l'année. Cette 48ème édition de la plus grande ferme de France a accueilli pendant neuf jours, 1000 exposants et 3,500 animaux avec un record de plus de 678,000 visiteurs. L'occasion pour les agriculteurs de faire des adeptes, dès le plus jeune âge. Dans la matinée du vendredi 25 février, les gens se pressent à l'entrée du hall 1 du Paris-Expo à la Porte de Versailles. Déjà des bouchons

nature hostile en colère. * Résurrection aussi et surtout humaine * L’image d’un couple installé parmi les champs féconds, maison qui revit * Un enfant est annoncé. P précautionneux l.3-4. Métaphore « fruit » polysémique qui désigne le bonheur et l’enfant à venir. b/ Evolution du personnage * Panturle abandonne la violence pour l’humanité, douceur en l.3-5 * Il renaît en accord ac l’environnement « Enfoncé dans la terre» l.35 qui est son compagnon * Comportement symbolique :

par l'ambition, par la crainte, par l'avarice, incapables des plaisirs purs et simples, puisqu'ils sont esclaves de tant de fausses nécessités dont ils font dépendre tout leur bonheur. » Mise en évidence d’un paradoxe : l’homme moderne, croyant se libérer ne fait que construire les chaînes de son aliénation. - Critique pré-rousseauiste du luxe qui déstabilise les sociétés : « Ce superflu amollit, enivre, tourmente ceux qui le possèdent : il tente ceux qui en sont privés de vouloir l'acquérir par

marquant, les héros d’une tragédie doivent connaître une chute importante, relativement à une situation de départ heureuse mais instable. Le bonheur immense est violemment contrecarré par un élément extérieur à ce bonheur, élément que les protagonistes avaient négligés. Shakespeare éprouve ainsi les nombreuses recettes du contraste. Contraste entre bonheur et malheur, entre passion et logique, entre jeunesse et vieillesse. Ces contrastes thématiques sont naturellement transcrits dans le dialogue

par l'ambition, par la crainte, par l'avarice, incapables des plaisirs purs et simples, puisqu'ils sont esclaves de tant de fausses nécessités dont ils font dépendre tout leur bonheur. » Mise en évidence d’un paradoxe : l’homme moderne, croyant se libérer ne fait que construire les chaînes de son aliénation. - Critique pré-rousseauiste du luxe qui déstabilise les sociétés : « Ce superflu amollit, enivre, tourmente ceux qui le possèdent : il tente ceux qui en sont privés de vouloir l'acquérir par

Etienne Chatiliez réalise son premier long métrage La vie est un long fleuve tranquille, une comédie acerbe qui rencontre un vif succès et remporte 4 Césars. C'est dans le même ton qu'il réalise la comédie satirique Tatie Danielle en 1989 et Le bonheur est dans le pré en 1996 pour lequel il est nommé au César du Meilleur Réalisateur. Après avoir fait ses débuts en tant que comédien dans Doggy Bag de Frédéric Comtet en 1998, il revient à la réalisation en 2001 avec Tanguy, une comédie grinçante sur un phénomène

Introduction Les philosophes des Lumières ont tous posé le problème de l’argent, associé à la question du bonheur. Le 18ème siècle connaît une grande mutation économique : l’argent issu de la richesse foncière et l’aristocratie est peu à peu remplacé par l’argent produit du commerce (de plus en plus international), du travail agricole et de l’industrie naissante (fin 18ème en Angleterre). Voltaire, qui a très bien su faire fructifier ses avoirs, ne pouvait que donner son avis sur cette question

précurseurs du romantisme euro. Sont Lord Byron et Goethe(cf.texte de Musset p.322-323). Les premiers, ils vont peindre la souffrance intérieure et « le mal de vivre » qui caractérisa toute une génération. _En France on dit que Rousseau est pré-romantique car il aborde déjà des thèmes comme l’introspection, la nature.. _Mme de Staël « importe » le mouv. d’Allemagne(Del’Allemagne 1810-1813). _situation de la France : paysage en ruines(qui donnera naissance au thèmes de la

paisible asile, Où tout sourit à mon cœur ; D'innocence et de candeur Séjour aimable et tranquille ; En vain je veux retracer Le bonheur qui vous habite : Est-ce l'instant d'y penser Que l'instant où je vous quitte ? Hélas ! quand les plaintes vaines Ont remplacé les désirs ;

un bonhomme acceptant le bon Dieu. Ô printemps ! bois sacrés ! ciel profondément bleu ! On sent un souffle d’air vivant qui vous pénètre, Et l’ouverture au loin d’une blanche fenêtre ; On mêle sa pensée au clair-obscur des eaux ; On a le doux bonheur d’être avec les oiseaux Et de voir, sous l’abri des branches printanières, Ces messieurs faire avec ces dames des manières. 26 juin 1878 Victor Hugo Chant de guerre parisien Le Printemps est évident, car Du coeur des Propriétés vertes,