Le Besoin Métaphysique

mentaux possèdent des caractéristiques qui sortent du champ de la physique.[] * Le monisme est une notion philosophique Métaphysique. Il est la doctrine fondée sur la thèse selon laquelle tout ce qui existe - l'univers, le cosmos, le monde - est essentiellement Un, sans second, et donc, notamment, qu'il est constitué d'une seule substance (réalité fondamentale qui n'a besoin que d'elle-même pour exister). Le monisme s'oppose à toutes les philosophies dualistes, qui séparent le monde matériel et

représentation, Arthur Schopenhauer (trad. Auguste Burdeau), éd. Alcan, 1909, t. 3, partie Supplément au quatrième livre, chap. XLIV (« Métaphysique de l'amour »), p. 358 (texte intégral sur Wikisource) Que l'on considère, par exemple, le Coran ; ce méchant livre a suffi pour fonder une grande religion, satisfaire, pendant douze cent ans le besoin métaphysique de plusieurs millions d'hommes ; il a donné un fondement à leur morale, leur a inspiré un singulier mépris de la mort et un enthousiasme

clairement exprimé de continuer la vie commune. L’existence d’une nation est (pardonnez-moi cette métaphore) un plébiscite de tous les jours, comme l’existence de l’individu est une affirmation perpétuelle de vie. Oh, je le sais, cela est moins métaphysique que le droit divin, moins brutal que le droit prétendu historique. Dans l’ordre d’idées que je vous soumets, une nation n’a pas plus qu’un roi le droit de dire à une province : « tu m’appartiens, je te prends ». Une province pour nous, ce

performances intellectuelles et, j'ose le croire, sa capacité à penser. L'Homme a toujours eu cette soif de connaissance sur le monde qui l'entoure. Mais qu'est-ce que la connaissance et quand est-il de la philosophie ? Dans cet extrait de la Métaphysique, une des œuvres majeures d'Aristote, celui-ci se questionne sur la définition de la philosophie. Il nous explique alors que la connaissance découle de l'étonnement, qui souligne notre ignorance et que c'est par amour de la Sagesse que les premiers

parfaite connaissance de toutes les choses → doit être déduite des premières causes (=principes) principes = claires et évidents → vérités premières → ≠ dépendant d'une autre vérité 2 Le doute 2.1 Remarques pré-éliminatoires • • • Programme métaphysique = nouveau → peut être désagréable pour certains savants recherche fondement certain qui est à la base de toutes les autres sciences Fondement = point de départ, vérité première, principe prend distance de philosophie pratique (mœurs) → faut suivre

Le but est alors d’établir les faits, émettre une hypothèse, tester cette dernière pour pouvoir la valider ou non, puis conclure. Par exemple, on peut placer une plante sur une lumière et une autre dans l’obscurité. On suppose alors que la plante a besoin de lumière pour grandir. Un mois plus tard, on constate que si la croissance ne se produit pas dans les deux dispositifs, on ne peut rien déduire si ce n'est que la manipulation n'est pas adaptée à cette recherche ; si la croissance ne se produit

Ex : la terre est plate, ce qui engendre la peur L’avortement est immoral. Ce n’est pas possible (remplacer toutes ses opinions par des connaissances). Dans certains domaines, il semble que la certitude ne puisse être atteinte (le domaine métaphysique « au-delà de la nature », l’avenir de l’humanité, le jugement que l’on porte sur autrui, le domaine de la morale, le domaine esthétique). Dans tous ces domaines, puisqu’une connaissance semble impossible, ns n’avons plus qu’à choisir entre les

Cette question philosophique est devenue classique dans la pensée française depuis Descartes et ses Méditations Métaphysiques (1641), mais aussi Saint Augustin dans Les Confessions (4ème siècle après JC). C’est ce qu’on appelle La philosophie du sujet, qui reprend le thème de la connaissance de soi. Rapidement nous noterons que grâce à Descartes, nous savons que le moi n’a pas besoin du corps pour exister, et qu’il est avant tout « une chose pensante ». Pascal va reprendre cette idée, mais nous

capable de prendre le pouvoir, c'est-à-dire en quelque sorte le mandataire du prolétariat dont la dictature devient, au fil de la pratique du pouvoir, celle d’un État dans lequel le parti joue un rôle dominant de tutelle des travailleurs9 et exerce au besoin sa dictature contre eux10. La résolution du Xe Congrès sur l’unité du parti, d’ailleurs votée avec le soutien de Trotsky11, qui condamne les menées fractionnistes et met, en fait, un terme à tout débat interne, s’inscrit donc dans le cadre d’une évolution

sa critique de la Société. Avec les derniers diamants de l'Eldorado, Candide s'achète une « petite métairie » dans laquelle il réunit ses compagnons. Le désoeuvrement le conduit à aller quêter auprès d'un derviche la réponse à l'interrogation métaphysique sur l'existence du mal en ce monde, mais il n'obtient qu'une fin de non recevoir : il faut se « taire ». Après quoi il rencontre « un bon vieillard » qui préconise le travail comme remède au malheur humain. Candide retourne dans sa métairie et