Le Besoin Métaphysique

d'interrogation métaphysique et général, qui m'accompagne encore aujourd'hui et qui se manifeste par une curiosité intellectuelle alliant la lecture d'ouvrages les plus classiques et sérieux jusqu'aux publications moins conformes et plus fantaisistes. Le cursus que j'ai suivi jusqu'en Licence a été marqué par une orientation nettement positiviste et ainsi, c'est en « cachette » que je me livrais à la recherche d'ouvrages contemporains susceptibles d'accorder encore une bonne place à la métaphysique. C'est

domaine de la pensée. C'est donc cette dernière qui, dépassant l'expérience, doit élaborer la métaphysique, puisqu'elle n'est constituée que d'idées pures. Comment, dès lors, prétendre accéder à des vérités métaphysiques ? Ne risque-t-on pas, en l'absence de tout garde-fou, de dire n'importe quoi (par exemple, en prétendant démontrer l'existence de Dieu) ? Pour y échapper, faut-il renoncer à la métaphysique ? Que la science soit le seul discours qui puisse nous fournir des vérités, c'est ce qu'affirmait

FONDEMENTS DE LA METAPHYSIQUE DES MŒURS PREFACE ● Ancienne philo grecque divisée en 3 sciences : physique, éthique, logique ( conforme à nature des choses. Doit y ajouter principe sur lequel elle se fonde. ● Toute connaissance rationnelle est matérielle (se rapporte à objet) ( philo physique (=naturelle) si loi de la nature, éthique (=morale) si loi de la liberté ; ou formelle (que forme entendement) ( philo logique. ● Philo Logique ne peut être empirique (= lois tirées de l’expérience) alors

généalogie" - Platon, La Théétète, 155d. Rappelons qu'Iris est l'arc-en-ceil peint de toutes le couleurs tendue comme une braillante passerelle entre le temps des hommes et le ciel des Dieux : elle est le symbole de la philosophie. Et Aristote (Métaphysique, livre alpha-2) écrit "c'est par l'émerveillement que les hommes aujourd'hui aussi bien qu'à l'origine ont commencé à philosopher. Que l'émerveillement soit le premier témoignage de la conscience montre vient que ce signe d'une disposition en

Le Malentendu : une recherche métaphysique d’appartenir Bien que Le Malentendu s’argument sur un fait divers, l’un des sujets traité - fond d’inspiration de plusieurs ouvres d’Albert Camus - est l’exil. De cette notion se détache une idée existentialiste cruciale ; l’appartenance. Le sens d’appartenance comprend des facteurs de natures diverses. Il est étroitement lié à l’enracinement et, naturellement, au déracinement et à la création des liens. Dans ce cadre, la notion de patrie devienne aussi

Congrès de Philosophie de Bologne le 10 avril 1911 V. – La perception du changement. Conférences faites à l'Université d'Oxford les 26 et 27 mai 1911 Première conférence Deuxième conférence VI. – Introduction à la métaphysique VII. – La philosophie de Claude Bernard. Discours prononcé à la cérémonie du Centenaire de Claude Bernard, au Collège de France, le 30 décembre 1913. VIII. – Sur le pragmatisme de William James. Vérité et réalité IX. – La vie et l'œuvre

degré tel qu’elle n’a plus besoin de ces interprétations d’ensemble ni de ces insertion d’un sens. Pour Nietzsche le nihilisme est le processus fondamental dans lequel se lit le destin des peuples occidentaux…. Le nihilisme ne concerne pas seulement, un individu, un groupe d’individu ou même un peuple, non c’est le fait de l’esprit humain en tant qu’il est traversé d’une volonté forcenée de vérité qui comme l’appelle Nietzsche l’instinct théologique son essence métaphysique. Le nihilisme est le fait

Sans titre 19B) L’âge positif et le dépassement de la métaphysique. La métaphysique prend sous la plume d’________________ de nombreux noms, qualifiée tantôt de sagesse, de première science, de science divine, ou encore de _________________________________. Durant de nombreux siècles, la métaphysique conserva tout de sa prééminence et son statut de _______________________________ 1 ____________, rang légitime puisqu’en principe elle dominait les sciences du fait de l'universalité de ses investigations

René Descartes Méditations Métaphysiques Méditations touchant la première philosophie, dans lesquelles l’existence de Dieu et la distinction réelle entre l’âme et le corps de l’homme sont démontrées Explication : Cette œuvre traite de métaphysique, indique le titre. Que faut-il entendre par ce terme ? Le sous-titre nous aide à le comprendre : la métaphysique est la « première philosophie ». Sans doute faut-il entendre ici la philosophie de ce qui vient en premier dans la réalité, l’étude des principes

employées dans la suite du récit, celle-ci remplit une double fonction : dans un premier temps, barrer la route à toute interprétation ou méthode d’investigation psychanalytique, en classant humoristiquement ces souvenirs en fonction des problèmes « métaphysiques » de l’adulte (c’est l’histoire de la « conscience » qui est ici ébauchée, comme s’il n’y avait pas d’inconscient ; les souvenirs y sont donnés comme presque immédiatement lisibles) ; dans un second temps, à la faveur de ce camouflage, l’autobiographe