Langueux

chagrin. III. Le thème de l'eau - Fusion des verbes pleurer et pleuvoir Tout le charme du poème consiste à nous faire confondre la pluie et les pleurs et à nous situer, insensiblement dans une autre réalité. Nous entrevoyons l'action de la pluie une langueur qui imprègne le cœur comme la pluie imprègne les vêtements. - Une musique de l'âme L'identification des sensations pleurer et pleuvoir est accentuée par l'effet sonore produit par la pluie. "Oh chant de la pluie ", l'exclamatif " ô " valorise le

végétation tente de retenir l’eau.  idée de menace des algues Chaque strophe représente une étape du sommeil L’eau cède, devient passive, perd de la maitrise dans le sommeil Présence du champ lexical du sommeil : « songe » « sommeil »…qui traduit la langueur de l’écoulement Antithèse : suggère l’ambiance générale du poème dominé par une impression de paix Expression de torpeur avec l’image de « la rivière engourdie » renforcée par l’impression de la difficulté dans le mouvement (« se retrouve et se

mariés et met en valeur le fait que l'élément inchangé dans les personnes qu'ils font souffrir est leur propre femme. ● Ergaste a "un visage sombre, brutal, farouche" et "devient l'effroi de toute une maison" l.48, chez lui, Léandre "fait expirer de langueur de froid et d'ennui, tout ce qui l'environne" l.60-61 et enfin Tersandre "s'empor[te] contre sa femme" l.66 ⇒ Progression dans la gravité du comportement des hommes. ● Contraste entre "un air serein" de Tersandre et "le teint plombé" de sa femme

et sous nos yeux- et à l’emploi de la parataxe (la juxtaposition de membres de phrases à l’aide de virgules ou point virgules, en supprimant les connecteurs logiques, permet d’accélérer le rythmes) : « Ici, c’est une amante affligée qui exprime sa langueur ; une autre, plus animée, dévore des yeux son amant, qui la regarde de même », l.9-10 ; « ils sont en haut, en bas, dans toutes les loges ; ils plongent, pour ainsi dire ; on les perd, ils reparaissent ; souvent ils quittent le lieu de la scène et

familiers. 9-Les Coquillages Chaque coquillage incrusté Dans la grotte où nous nous aimâmes A sa particularité. L'un a la pourpre de nos âmes Dérobée au sang de nos cœurs Quand je brûle et que tu t'enflammes; Cet autre affecte tes langueurs Et tes pâleurs alors que, lasse, Tu m'en veux de mes yeux moqueurs; Celui-ci contrefait la grâce De ton oreille, et celui-là Ta nuque rose, courte et grasse; Mais un, entre autres, me troubla. 10-En patinant Nous fûmes dupes, vous

familiers. 7 LES COQUILLAGES Chaque coquillage incrusté Dans la grotte où nous nous aimâmes A sa particularité. L'un a la pourpre de nos âmes Dérobée au sang de nos cœurs Quand je brûle et que tu t'enflammes; Cet autre affecte tes langueurs Et tes pâleurs alors que, lasse, Tu m'en veux de mes yeux moqueurs; Celui -ci contrefait la grâce De ton oreille, et celui-là Ta nuque rose, courte et grasse; Mais un, entre autres, me troubla. EN PATINANT Nous fûmes dupes,

mélancoliques, d'hommes vigoureux de toutes nations et de navires de toutes formes découpant leurs architectures fines et compliquées sur un ciel immense où se prélasse l'éternelle chaleur. Dans les caresses de ta chevelure, je retrouve les langueurs des longues heures passées sur un divan, dans la chambre d'un beau navire, bercées par le roulis imperceptible du port, entre les pots de fleurs et les gargoulettes rafraîchissantes. Dans l'ardent foyer de ta chevelure, je respire l'odeur du

nuage passe. Tiens, le petit jour ! Dame souris trotte, Rose dans les rayons bleus. Dame souris trotte : Debout, paresseux !  Paul Verlaine  Il pleure dans mon coeur Il pleure dans mon coeur Comme il pleut sur la ville ; Quelle est cette langueur Qui pénètre mon coeur ? Ô bruit doux de la pluie Par terre et sur les toits ! Pour un coeur qui s'ennuie, Ô le chant de la pluie ! Il pleure sans raison Dans ce coeur qui s'écoeure. Quoi ! nulle trahison ?... Ce deuil est sans raison

comme une Psyché curieuse, comme une âme vagabonde, et semblait prête à s'envoler. Les sons funèbres de la gingras remplacèrent les crotales. L'accablement avait suivi l'espoir. Ses attitudes exprimaient des soupirs, et toute sa personne une telle langueur qu'on ne savait pas si elle pleurait un dieu, ou se mourait dans sa caresse. Les paupières entre-closes, elle se tordait la taille, balançait son ventre avec des ondulations de houle, faisait trembler ses deux seins, et son visage demeurait immobile

niveau moral : v5 à 6«Là, sans me soucier des guerres d’Italie, du comte Palatin, ni de sa royauté » ici on voit qu’il ne veut se faire aucun soucie de ce qui se passe autour de lui ,v7 à 8«Je consacre un bel hymne à cette oisiveté Où mon âme en langueur est comme ensevelie »et ne désire que rester dans cette ambiance qui donne un effet lent et de bienfaisance pour le narrateur comme au vers 1 lorsqu’il prétend être accablé de paresse et de mélancolie. Ainsi à travers les divers procédés utilisés