Langue liturgique

I) LE THEATRE SACRE (RELIGIEUSE) LE DRAME LITURGIQUE Le drame liturgique est toujours représenté à l’intérieur des églises. Il se caractérise par sa durée très brève (quelques minutes), par son lieu : le chœur de l’église, devant l’autel, par ses acteurs : les clercs eux-mêmes et les moines en habits liturgiques, par sa langue : le latin. La première représentation est le Quem Quaeritis (Qui cherchez-vous?). Ce passage est un dialogue qui raconte la venue des saintes femmes sur le tombeau du Christ

de Winchester, saint Ethelwold (vers 969-975). Il s'agit de la première trace écrite d'un genre que l'on baptisera le drame liturgique. Il était représenté à l'intérieur des églises, devant l'autel, des moines interprétant les rôles des personnages du Nouveau Testament. On a longtemps cru que le théâtre occidental était né d'une émancipation progressive du drame liturgique, qui serait sorti des églises pour être représenté dans leurs porches ou sur leur parvis. Le Jeu d'Adam, au milieu du XIIe siècle

de Winchester, saint Ethelwold (vers 969-975)3. Il s'agit de la première trace écrite d'un genre que l'on baptisera le drame liturgique. Il était représenté à l'intérieur des églises, devant l'autel, des moines interprétant les rôles des personnages du Nouveau Testament. On a longtemps cru que le théâtre occidental était né d'une émancipation progressive du drame liturgique, qui serait sorti des églises pour être représenté dans leurs porches ou sur leur parvis. Le Jeu d'Adam, au milieu du XIIe

des livres saints qui étaient rédigés en latin. C’est la naissance du drame liturgique. B. Le Théâtre religieux 1. Le drame liturgique Le drame liturgique est toujours représenté à l’intérieur des églises. Il se caractérise par sa durée très brève (quelques minutes), par son lieu : le chœur de l’église, devant l’autel, par ses acteurs : les clercs eux-mêmes et les moines en habits liturgiques, par sa langue : le latin. La première représentation est le Quem Quaeritis (Qui cherchez-vous

est essentielle → voix = véhicule de la prière. Ceux qui organisent la messe (chantre = personne qui chante dans les services religieux, le schola par exemple) ont à leur disposition un très grand corpus de mélodie agencées selon des règles liturgiques (ordre des prières par exemple). A sa genèse, la messe était monodique, et à partir du IX° s la polyphonie apparaît. Regroupant un cycle ordinaire de pièces toujours agencées dans le même ordre (Kyrie, Gloria, Credo, Sanctus, Agnus dei), à partir

Europe sous la forme du "drame liturgique". En premier temps, ce nouveau théâtre est purement catholique, puis peu à peu un nouveau genre que l’on appel comique va se développer laissant lentement l’aspect religieux de côté. Parallèlement à ce théâtre religieux, les troupes errantes de bateleurs présentaient des numéros de cirque et de courtes pièces satiriques. La transition entre ces deux aspects opposés était représentée à travers les “mystères”. I- DRAME LITURGIQUE Le théâtre médiéval donna

sommes pas chrétien par choix mais parce qu'on naît chrétien. Dès la naissance, la vie du chrétien est scandée à vie avec le baptème, la communion... tout bon chrétien se doit d'accomplir ceci. Elle est également scandée à l'année avec le calendrier Liturgique, qui est le calendrier des chrétiens, en fêtant notamment les grandes fêtes religieuses tels que Pâques, l'ascension du Christ, Toussaint, Noël... Ils doivent également respecter un « emploi du temps », où la prière est la principale occupation

dithyrambe, répandu par le célè­bre Thespis, constitué de choeurs et de danses, lui-même issu des grandes Dionysies, mais aussi des rites funéraires. Le second se passe au Xe s. de notre ère, c’est le drame religieux qui va du simple drame liturgique qui ne fait qu’illustrer certaines fêtes – Pâques, Noël – afin de frapper davantage les esprits, aux grands mystè­res du XVe s., qui repésentent la Passion du Christ. LES MYSTERES Le but premier des mystères du Moyen Age est d’édifier

couleur blanche car elle représente la pureté. la croix de dieu est le bleu. Bleu, la couleur du ciel, est le symbole de l'haut de la(paradis). Il peut également être utilisé pour symboliser la vérité. Le bleu est plus reconnue comme une couleur liturgique de l'Avent. Dieu regarde le garçon et les appareils technologies de façon désespérée. On dirait que le garçon ne remarque même pas qu’il faut beau par-là. Les lignes de force sont là, les regards de nos personnages s’expliquent aussi bien. L’homme

Wikipédia : participez ! Langue morte Aller à : Navigation, rechercher Une langue est dite morte quand il n'existe plus de locuteurs l'utilisant comme outil de communication dans la vie courante sous la forme réputée morte. Les deux nuances « comme outil de communication dans la vie courante » et « sous la forme réputée morte » ont leur importance si l'on veut conserver cette locution contestée (notamment à cause de la métaphore biologique qu'on trouve aussi dans langue vivante, inappropriée) dans