Lagardère

qui détient 15% du capital d'EADS, veut y rester, ce qui lui donnera 9% des actions de la nouvelle entité. L'Allemagne, qui n'est pas actionnaire d'EADS, insiste sur la parité avec la France. Le capital d'EADS était détenu au 31 décembre 2011 par Lagardère et l'Etat français à travers la holding Sogeade (22,35%) tandis que Daimler le constructeur allemand exerce 22,35% des droits de vote pour l'Allemagne mais veut céder 7,5% à un consortium emmené par une banque publique allemande, tandis que l'Etat

d’images exclusives à diffuser pour faire de l’audimat, en " recycle " qui proviennent d’anciens reportages.       GROUPES METIER D’ORIGINE CHAINE DE TELEVISION Suez-Lyonnaise des eaux Travaux publics, Distribution d’eau M6 Lagardère Défense, ... 27,4% de la société Multithématiques : Planète, Seasons, Canal J, ... Vivendi-Universal Travaux publics, Distribution d’eau, Téléphones fixes et portables, Déchets Canal+, Canal Satellite Bouygues Bâtiment

gouvernement ont été préoccupé par la question qui sera à la hauteur de reprendre les reines de parts de l’édition qui appartenait à Vivendi. L’Élysée avec Jacques Chirac qui s’occupait personnellement de l’affaire, était ouvertement pour la solution  Lagardère qui garantissait au patrimoine littéraire français de rester aux français. Avec la fusion Hachette –Vivendi, le groupe bénéficierait d’un monopole jamais vu auparavant. Pour cette raison, parmi les candidats indépendants, Gallimard, le Seuil et

enfants et des dirigeants français et allemands du groupe auraient vendu en mars des actions d’EADS pour plusieurs millions d’euros. L’Autorité des marchés financiers (AMF) ouvre une enquête pour délit d’initiés. On apprend également que Daimler comme Lagardère ont revendu la moitié de leurs actions. * 2 juillet 2006 Noël Forgeard, coprésident de EADS, et Gustav Humbert, président d’Airbus, démissionnent. Ils sont remplacés respectivement par Louis Gallois, le président de la SNCF, et Christian

II/ Évolution du secteur 1) Évolution de la structure économique 2) Les contraintes réglementaire 3) Nouveaux partenariats ; nouvelles acquisitions, cessions III/ Stratégies de 3 entreprises de l’audiovisuel 1) Canal + 2) Endemol 3) Lagardère Évolution de la structure économique : La structure économique du secteur de l’audiovisuel domestique est divisée en 2 parties bien distinctes, d’un coté la production de programmes qui a pour but d’éditer les programmes télévisés, et de l’autre

immobilier de la planète avec des achats immobiliers tels que HOTEL ROYAL MONCEAU, FUTUR HOTEL PENINSULA, GRANDS MAGAZINS HARRODS, Chelsea Barracks, Grosvenor Square, Village olympique il existe d’autres investissements tels que Volkswagen 17%, Groupe Lagardère 10%, Vinci 5,8%, Veolia environnement 5%, PSG 70%, London Stock exchange 15%, Crédit suisse 6%, Barclay 5,8%. La BCE et la contagion de la crise : Blague : Titanic, le mariage et la zone euro, Quand ils font eau il vaut mieux prendre le large.

fait que, depuis 1934, la radio est financée par la publicité selon l’idée de Marcel Bleustein-Blanchet. Et depuis 1987, Bouygues devenant le propriétaire de TF1, les grands médias appartiennent à de grands patrons (Bouygues, Pernault, Dassault, Lagardère ou encore Vivendi), ce qui devient problématique pour le client. En effet, les intérêts se confondent : le média et l’annonceur (le cas de Bouygues par exemple) sont les même, ce qui pose des problèmes d’éthique et de concurrence déloyale. Marie

dessus tout, celle d’un politicien certes habile, copain des plus grandes fortunes et des hommes les plus puissants de France : Parmi les grands bénéficiaires de la politique de Sarkozy on trouve Martin Bouygues (le grand patron de TF1), Arnaud Lagardère (Fillipachi médias et France Telecom), Serge Dassault (PDG du groupe Dassault et de Socpresse) Vincent Bolloré, Michel Pébereau (BNP-Paribas), Dominique Desseigne (Président du conseil de surveillance du groupe Lucien Barrière) et beaucoup d’autres

télévision, la presse...) n’est qu’un aspect de la concentration car les groupes les plus puissants sont multimedia. Ils ont des positions fortes à la fois dans la télévision, la presse, l’édition, ... et sont intégrés à des groupes industriels (Lagardère, Bouygues, Dassault, ...).

revanche, peut-on dire de cette alliance qu'elle porte préjudice à l'objectivité de l'information? Le secteur des médias est toujours considéré comme sensible, voire suspect, notamment parce qu'il est contrôlé par des grands groupes de presse (Lagardère, Dassault). En effet, étant donné que le lien entre politiques et médias est fort, cela peut porter atteinte à la neutralité des informations révélées. Par exemple, Nicolas Sarkozy (Président de la République actuel) entretient des rapports étroits