Lac de Charmes

Non, quand bien même une amère souffrance Dans ce cœur mort pourrait se ranimer ; Non, quand bien même une fleur d'espérance Sur mon chemin pourrait encor germer ; Quand la pudeur, la grâce et l'innocence Viendraient en toi me plaindre et me charmer, Non, chère enfant, si belle d'ignorance, Je ne saurais, je n'oserais t'aimer. Un jour pourtant il faudra qu'il te vienne, L'instant suprême où l'univers n'est rien. De mon respect alors qu'il te souvienne ! Tu trouveras, dans la joie ou

l’entendre dans le gémissement du fleuve ; tout était ce fantôme imaginaire, et les astres dans les cieux, et le principe même de vie dans l’univers. Toutefois, cet état de calme et de trouble, d’indigence et de richesse, n’était pas sans quelques charmes. Un jour je m’étais amusé à effeuiller une branche de saule sur un ruisseau, et à attacher une idée à chaque feuille que le courant entraînait. Un roi qui craint de perdre sa couronne par une révolution subite ne ressent pas des angoisses plus vives

et raisonner ; c'était aussi « écouter la voix du cœur », « goûter les délices du sentiment », éprouver « la sensibilité d'un cœur aussi violent que tendre», chérir « le poison des passions qui dévorent », ou leurs « tristes douleurs qui ont leur charme », se laisser prendre à « la sombre mélancolie d'un séjour sauvage », se livrer aux « attraits du désespoir », et même «chercher le tragique repos du néant ». Le Sidney de Gresset (1745), comme le Cleveland de l'abbé Prévost ou son Doyen de Killerine

de l’impératrice » (1805-07)  XIXème siècle  5°/ Le romantisme Poème 1 : Alphonse de Lamartine « Le Lac » Le Lac Un soir, t'en souvient-il? nous voguions en silence; On n'entendait au loin, sur l'onde et sous les cieux, Que le bruit des rameurs qui frappaient en cadence Tes flots harmonieux. Tout à coup des accents inconnus à la terre Du rivage charmé frappèrent les échos; Le flot fut attentif, et la voix qui m'est chère Laissa tomber ces mots: "O temps, suspends

le massif Changbai. Ce dernier constitue une réserve naturelle (la CHANGBAISHAN NATIONAL NATURE RESERVE) s'étendant sur plus de 200 000 hectares et qui a été reconnue réserve de biosphère depuis 1989 par l'UNESCO. On y trouve notamment le lac du Tianchi (« lac du paradis »), des espèces rares (ours bruns, aigles dorés, lynx), des plantes médicinales (ex: le ginseng) et des sources chaudes. Le complexe est proche d'un axe autoroutier (la voie rapide de Yingfu) et de l'aéroport internationale de Baishan/Chanbaishan

et raisonner ; c'était aussi « écouter la voix du cœur », « goûter les délices du sentiment », éprouver « la sensibilité d'un cœur aussi violent que tendre», chérir « le poison des passions qui dévorent », ou leurs « tristes douleurs qui ont leur charme », se laisser prendre à « la sombre mélancolie d'un séjour sauvage », se livrer aux « attraits du désespoir », et même «chercher le tragique repos du néant ». Le Sidney de Gresset (1745), comme le Cleveland de l'abbé Prévost ou son Doyen de Killerine

frère Toujours palpite à mon côté. - Celui que rien ne peut distraire, Quand je dormais, l'a remonté ! - - - Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) Le lac Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges Jeter l'ancre un seul jour ? Ô lac ! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir, Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir

couleur sobre de l'eau. En effet, la peinture est constituée très essentiellement de couleurs froides, et l'arrière plan neutre de quelques habitations solitaires ainsi que les rares arbres tout au fond du tableau, mettent en valeur le teint « mat » du lac. De plus, l'arbre principal ici à droite (seul élément présentant un contraste chaud avec le reste de la peinture ) se fond complètement dans un décor assez minimaliste, et complète parfaitement la touche naturaliste que l'artiste cherche a faire percevoir

faire apparaître d'autres sens qui sera perçu différemment par chaque lecteur, Le poète insiste aussi sur le mot Espérance qui est mis en valeur par le « E » en majuscule, cela montre un sentiment d'espérance. Le dernier poème coup de cœur est Le lac de Lamartine ( 1790 – 1869 ). ce poème est le dixième poèmes du recueil les Méditations poétiques , il a été écrit à la suite de la mort de son amie Julie Charles. Ce texte est représentatif du mouvement romantique. C'est Lamartine qui a fait naitre

d´une continuité sans mesure; nous arrivons à croire en l'éternité puisqu'il s'agit d´un temps mental, donc extensible, nous pouvons laisser libre court à notre imagination. Il est composé de sensations, perceptions et passions, ainsi, il constitue le charme et l'absurdité des existences. La mort signifie la rupture de cette illusion et il faut longtemps pour s'y résigner. C´est « ce longtemps », avant « l'abdication », qui constitue la durée de la pièce de Ionesco. Le roi et la reine Marie demandent