Lac de Charmes

étincelles, Bleus saphirs, sans les yeux doux ? Les diamants, sans les belles, Ne sont plus que des cailloux ; Et, dans les charmilles vertes, Les roses dorment debout, Et sont des bouches ouvertes Pour ne rien dire du tout. Tout objet qui charme ou rêve Tient des femmes sa clarté ; La perle blanche, sans Eve, Sans toi, ma fière beauté, Ressemblant, tout enlaidie, A mon amour qui te fuit, N'est plus que la maladie D'une bête dans la nuit. Victor Hugo, Les Contemplations 1856 « Les

passive et active. Passive lorsqu'elle s'allonge et active lorsqu'elle marche en cadence. Elle est femme et enfant : femme car elle est a l'aise dans sa sensualité, provocante, et enfant au vers 24 (« tête d'enfant »). C'est ce caractère double qui charme le poète puisqu’elle est la réunion des contraires. 2. Une femme difficile à comprendre Jeanne se donne sans se donner «Ses yeux où rien ne se révèle». Elle garde tout son mystère. Strophe 4, les antithèsesdoux/amer, or/fer soulignent à nouveau

deviendront les nouveaux ouvrages de références.''Soleils Couchants'' est un poème lyrique qui aborde un thème récurent du romantisme, la Fuite du Temps. Le Lac Alphonse de Lamartine Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges Jeter l'ancre un seul jour ? Ô lac ! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir, Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis

Le temps qui fuit … Une malédiction pour tous . Sommaire Page 1 & 2 : Préface Page 3 & 4 : “Le pont Mirabeau” de Guillaume Appolinaire Page 5 & 6 : "L’Horloge" de Charles Baudelaire Page 7 & 8 : "Le Lac" de Alphonse de Lamartine Page 9 & 10 : "Le Ballet des heures" de Gérard de Nerval Page 11 & 12 : "Assied toi sur le bord" de Jean Baptiste Chassignet Page 13 & 14 : "Soleils Couchants" de Victor Hugo Page 15 & 16 : "Chansons d'automne" de Paul Verlaine

nombreuses. Parmi celles-ci, on notera l’immersion dans une sorte de grand rythme universel. De tous les éléments de l’univers capables de créer ce rythme, l’eau est celui qui fait le mieux sentir le rythme apaisant des choses. Ve Promenade : le lac ; ici, les bords du Rhône ou de la Saône. C) On assiste ici à une véritable rêverie du repos (Cf. R. Mauzi, L’idée du bonheur au XVIIIe s., Paris, Slatkine, 1979). Acceptation tranquille de l’état actuel, coïncidence parfaite avec soi-même. Retiré

naturelle, à son charme plus qu’envahissant. Les deux amis on  connu alors l’amour, et ses folies mais aussi ses peines et ses chagrins. L’un d’eux, au nom de l’amitié, a choisi de garder cet amour pour lui et d’aimer en secret.                                                                          Cette fille  a su être leur rayon de soleil, dans un sombre décor sauvage de pics aigus et d’escaliers  de pierre qui se perdent dans les nuages. Là-haut, une minuscule vallée perdue. Un lac. Là est le village

tableau de Jean Prieur représentant la tour de Babel. Ensuite Evariste de Parny, Gérard de Nerval et Alphonse de Lamartine nous invitent à profiter pleinement de la vie et de ses plaisirs, avec les poèmes: "A mes amis", "Le ballet de heures" et "Le Lac". Le texte de Lamartine est illustré par une huile sur toile de Parisod. Arrive alors Baudelaire avec "L'Ennemi" qui occupe une place centrale dans ce recueil. Ensuite Paul Verlaine dans sa célèbre "Chansons d'automne", se laisse emporté par le temps

Christiane, portant une robe blanche et d’une rose de même couleur attachée à ses longs cheveux blonds ; et de leur fille qui avait alors dix ans. Toute la réception fut éblouie par la beauté de Christiane dans son habit si resplendissant et plein de charmes. Paul restait accablé par Christiane et sa fille : sa taille si fine, sa beauté si pure c’était une nouvelle femme .Il resta stupéfait jusqu’au moment où Gontran l’interpella à travers la salle. Leur dernière rencontre datait d’il y a un an après

de lois ! André Chénier, Iambes, IX - extrait LA FUITE DU TEMPS ET LA PERTE DE LA FEMME AIMEE Document A: Lamartine, Méditations poétiques, « Le Lac » Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l’océan des âges Jeter l’ancre un seul jour ? Ô lac ! l’année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu’elle devait revoir, Regarde ! je viens seul m’asseoir sur cette pierre Où tu la vis s’asseoir 

vallée perdue. Un lac. Là est le village et ses habitants rustres, frustes, illettrés, à l'image de leur chef. Dès leur arrivée, les jeunes rééduqués apprennent sur le tas l'art de la débrouillardise et de la fronde. "Mozart pense au président Mao"... Luo n'a pas l'ombre d'une hésitation lorsqu'il doit rebaptiser ainsi une sonate interdite du compositeur occidental décadent, et ce dans le seul but de sauver d'un autodafé évident, le violon bourgeois de son ami. Sous le charme de la sonate révolutionnaire