Labour economics

Tout est mécanisé. Les terrains les plus difficiles sont accessibles au labour. Le plus souvent l'agriculteur laboure l'ensemble de ses terres tous les ans. Les interventions de sarclage manuelles sont remplacées par le désherbage chimique. Les engins sont lourds, ils tassent le sol et le compactent. Le labour répété à la même profondeur crée une « semelle » défavorable à l'infiltration de l'eau. La fréquence des labours nuit à la faune, tout particulièrement aux vers de terre, et aux micro-organismes

hectares | -Le travail du sol : Une plante qui nécessite une technique particulière surtout sur les sols type limoneux-sableux présents majoritairement sur l'exploitation Vers le mois de février, après l'apport de fumier de bovins (30 T/ha), un labour sur 25-30 cm est réalisé afin d'enfouir les résidus de récolte et l'apport organique (fumier de bovins). Puis mi-mars, le passage de la herse rotative ou cultivateur afin d'ameublir le sol avant le semis et enfouir l'apport minéral du début du mois

respectueuse de l’environnement. • On étudiera un exemple parmi les suivants: – L’agriculture biologique, fondée sur l’interdiction de tout recours à des intrants d’origine industrielle (Un agriculteur répond). – La technique du semis direct, sans labours, qui évite ainsi le compactage des sols dû aux passages répétés des tracteurs (Les sols se meurent). – La révolution « doublement verte », forme d’agriculture «durable» (Les limites de la révolution verte). – Les AMAP (Associations pour le maintien

est très importante, le but est d’obtenir un lit de semis fin, homogène et sans semelle (type labour). C’est de la préparation du sol dont dépend la réussite de la récolte (on l’estime à 70%). Après les moissons (céréales) du mois de juin: Disque, détruit les mauvaises herbes puis on laisse reposer tout l’été Après une pluie, on passe le griffon ->décompacter la terre On laboure car le labour détruit de nombreuses herbes qui de ce fait, ne montent pas en graine. Rotavator ou herse rotative

les effets de l'agriculture sur la biodiversité ?Certaines pratiques agricoles - trop intensives ou peu respectueuses de l'environnement - peuvent être responsables de la dégradation du sol et de la perte de sa biodiversité. Des labours fréquents et notamment des labours profonds, l'usage intensif d'engrais et de pesticides, la dessiccation, les inondations, les incendies... perturbent les organismes du sol (macrofaune, mésofaune, microorganismes), réduisent le stock de matière organique (principale

plus courantes en Lorraine sont : Charlotte, Désirée, Samba, Ostara et Rosabelle. Itinéraire technique : Hiver Printemps Plantation, buttage Préparation du sol La préparation du sol se résume à un apport de fumure organique pendant l'hiver, un labour et une reprise du sol avant la plantation pour l'obtention d'un ameublissement uniforme sur 15 à 20 cm. La plantation se réalise en Mai, sur sol ressuyé, avec du matériel spécifique (densité de plantation : 30 000 à 35 000 plants/ha - Prévoir un traitement

Création d’un verger de figuier • Choix de la parcelle/Analyse chimiques et phytosanitaires • Préparation du sol: Labours profonds/Recroisements-Fumure de fond (minérale et organique) • Creusage/comblage des trous de plantation • Obtention des plants/Plantation/Conservation/Habillage/Pralinage/Mise en place Opérations d’entretien • Labour de recroisement/ • Taille/Irrigation/Fertilisation/Traitements phytosanitaires (Hiver/Printemps) • Récolte/Commercialisation/Transformation

En effet, quatre opérations principales concourent à une bonne préparation du sol à savoir : le défrichement, le dessouchage, le labour et l’hersage. Défrichement Il est préférable d’exécuter un défrichement et un dessouchage sur un sol couvert par des débris végétaux de la précédente culture ou par la végétation naturelle s’il est vierge. Labour Le labour doit être entrepris aussitôt que l’état du sol le permet, c’est-à-dire dès les premières pluies et doit impérativement être perpendiculaire

constitué de 2 toits. Tout l’air se trouve entre les deux toits et est aspiré par le ventilateur. On perd ainsi 20% d’humidité et on gagne 3 à 4°C. Gestion des cultures : L’exploitant utilise le semis direct, ainsi il ne pratique pas de labour (et ce même lors de la sécheresse de 2003). Cependant cet itinéraire technique ne résout pas le problème des adventices. Néanmoins, cette technique reste très économique. En effet, l’exploitant ne met que 20 tonnes/ha de compost au lieu de

Fiche activité 4 1° Intitulé de l'activité présentée : Labours de printemps. 2° Objectif de l'activité, champ de compétence : Labourer un champs de superficie 1,30 ha à 30 cm de profondeur. 3° Époque et durée de l'activité : Printemps: Février 4° Lieu et contexte de l’activité : La parcelle se situe sur la commune de st andré, route de cambous elle est divisée en 2 par un ruisseau et donc cela na facilite pas la tache. Cette parcelle était une vigne avant d'être remplacée