Laberge

(Lavoie, 1950 ; Ferron, 1962 ; Marineau, 1969 ; Jotterand, 1973, Truchon, 1974 ; Laberge-Altmejd, 1976, LeBlanc et Meilleur, 1978). Évidemment, ces travaux ont montré que les jeunes délinquants ont accumulé des retards scolaires, qu'ils fonctionnent mal à l'école (mauvaise performance, troubles de comportements, etc.) ; en somme qu'ils sont inadaptés à l'école. Ce qui est plus important encore, ce sont les données (voir Laberge-Altmejd, 1976 ; LeBlanc et Biron, 1980) qui établissent que la délinquance

des mots qui ont été prononcé même lorsque ces mots était répéter. En outre, ils ne peuvent rien dire sur le contenu sémantique du message secondaire. L’attention jouerait un rôle de filtre qui opérerait un choix des informations à traiter. Pour LaBerge en 1995, l’info pertinente serai amplifié par l’attention, alors que l’info non pertinente serai inhibés. Diapo 48 Le filtre : - Le traitement attentionnel a une capacité limitée. - La focalisation de l'attention sur une information pertinente améliore

son apparence aux yeux du curé Idoles : « Le star-système nous rentre dans le corps du Christ. Il y a plein de nouveaux dieux. »7 * Us et coutumes des saints martyrs canadiens * Centre Bell * Boulevard métropolitain, trafic * Marie Laberge, auteure québécoise * Abbé Gadbois et son œuvre La bonne chanson * Expression : pleure comme une madeleine * Le capitalisme et les méthodes révolutionnaires pour faire de l’argent * Claude Gingras, journaliste de critique musicale

nos propres limites (Balier, 1973). Devenir adulte, c’est sans cesse se séparer, se détacher, afin de pouvoir se centrer de plus en plus non sur soi, mais en soi. Cette évolution, à travers l’Apprentissage du détachement, se poursuit toute la vie (Laberge, 1990). Nous avons besoin de solitude pour intégrer un à un les événements de notre vie et pour les intérioriser. Quand nous cherchons les stimuli à l’extérieur de nous-mêmes, nous vivons un phénomène de dispersion. Nous sommes tout aux choses et

plusieurs des techniques suivantes : l'observation non systématique, l'entrevue d'informateurs clés ou des données statistiques diverses. De tels travaux ont été réalisés à Laval (Jost et al., 1974), Longueuil (Saint-Martin et al., 1978), Centre Sud (Laberge-Altmejd et al., 1976), Rosemont (CLSC, 1978), Hochelaga-Maisonneuve (LeBlanc, 1977), Verdun (Blackburn et al., 1980), Saint-Léonard (BICC, 1980), Tracy (Lacroix, 1988), pour la clinique des jeunes Saint-Denis (Tessier, 1983) et les maisons de jeunes

arrêter l'érosion de ce type d'habitations ainsi que l'aide à l'augmentation de chambres et de logements. 43. S. ROY et al., op. cit., p. 16. 44. T. MCKEOWN et M.-C. PLANTE, « L'équipe itinérance du CLSC des Faubourgs de Montréal », dans D. LABERGE, sous la direction de, L'errance urbaine, Sainte-Foy, Éditions MultiMondes, s. d., p. 391-404. 45. MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX, Politique de la santé et du bien-être, Québec, gouvernement du Québec, 1992, p. 57. 46. RÉSEAU

réussite ou l’échec scolaire ne dépend pas selon qu’on soit garçon ou fille. Ces résultats corroborent ceux de Gbati (1988) et Bawa (2011). Mais, dans le monde occidental, c’est le contraire. Bacon et Deslandes (2004) et Cloutier, Bissonnette, Ouellet-Laberge et Plourde (2004) suggèrent que les garçons connaissent plus d’échecs scolaires que les filles. La différence de nos résultats avec ceux de l’Occident pourrait s’expliquer par le contexte culturel. En effet, selon Rivière et Jacques (2000), la vision

|Stéphane de BUTTET, Numera.org | | |Clément LABERGE, Groupe Editis | |Nathalie FARGIER, Responsable éditorial du portail  Persée.fr2, Université Lyon 2  |Nicolas TRUCHAUD, Chef

la raison ; elle ne se construit pas sur la passion. Cette affirmation s’applique-t-elle aux personnages des extraits proposés ? Les extraits : La Princesse de Clèves de Mme La Fayette (Booking International, 1993, p. 288-290) et Juillet de Marie Laberge (Boréal, p. 209-212). Les trois premiers paragraphes comportent des problèmes. Le quatrième est un exemple de paragraphe complet et bien construit. PARAGRAPHE I, ABSENCE DE L’ARGUMENT : il faut deviner ce qui est démontré. Le duc de Nemours s'abandonne

que : — l’infraction est réelle; — toutes les mesures de prévention n’ont pas été observées. Les mots vu, signé, lu et approuvé sont suivis des deux points  : Vu : Charles Tétreault, directeur général Signé : Paul Vachon Lu et approuvé : Normand Laberge Les deux points sont le symbole de la division : 14 : 2 = 7 6.4.2 Répétition des deux points En général, on évite de répéter les deux points dans une même phrase — à moins que le deuxième signe ne serve à introduire une citation ou ne figure lui-même