La Ville-aux-Dames

de l'Agglomération Tourangelle (SITCAT) est l'autorité organisatrice des transports urbains à l'échelle de 25 communes (les 19 communes de la communauté d'agglomération Tour(s)plus auxquelles il convient d'ajouter Chanceaux-sur-Choisille, La Ville-aux-Dames, Parçay-Meslay, Rochecorbon, Vernou-sur-Brenne, et Vouvray, soit une population de près de 304 000 habitants). Le SITCAT a pour mission de : * définir la politique des transports en commun * d'élaborer et de mettre en œuvre le plan

Biographie de Madame de Sévigné Elle vécut au XVIIe siècle, cette époque où la littérature était un sujet de choix, fort important ; elle fréquenta les salons où grandes dames, gentilshommes et gens de lettres se rencontraient pour tenir des conversations raffinées, écouter ou lire les œuvres nouvelles ; elle y était connue et appréciée pour la vivacité de son esprit, sa curiosité toujours en alerte, son imagination, que l'on retrouve dans ses lettres. Marie de Rabutin Chantal, marquise de

ne pas faire payer les passes. La liesse s’empare de tous à l’issue de cette journée religieuse. Anti-copie - Résumé et fiche de lecture - La Maison Tellier - Guy de Maupassant L’établissement Tellier a pignon sur rue. Il est situé en centre ville, non loin de l’Eglise. Il est tenu par une femme de tête et d’ordre, sans doute appréciée par les autorités municipales. Elle ne considère pas son activité comme infamante, et d’ailleurs elle a hérité cette maison, de la même façon que l’on hériterait

persuader qu'il ne faut pas prendre tout ce décor au sérieux. Thèmes du récit : Lieux de l’action : La plus grande partie de l’histoire se déroule dans la ville de Babylone, au Moyen-Orient, dans le palais royal. Cependant, Zadig voyage beaucoup durant l’histoire : il découvre l’Egypte, et la dureté de l’esclavage avant de revenir dans sa ville. Personnages principaux : Zadig : C’est un jeune Babylonien d’une grande intelligence. Son nom signifie « le véridique » en langue arabe et « le juste »

demi voix, tout en poussant son aiguille. Elle contait des histoires, vous apprenait des nouvelles, faisait en ville vos commissions, et prêtait aux grandes, en cachette, quelque roman qu'elle avait toujours dans les poches de son tablier, et dont la bonne demoiselle elle-même avalait de longs chapitres, dans les intervalles de sa besogne. Ce n'étaient qu'amours, amants, amantes, dames persécutées s'évanouissant dans des pavillons solitaires, postillons qu'on tue à tous les relais, chevaux qu'on

par un des personnages mais par un narrateur extérieur au récit. Dans l'extrait, on assiste à une description précise de la tenue de chacun des personnages qui arrivent à la noce, comme le montre ces quelques lignes : « Les dames, en bonnet, avaient des robes à la façon de la ville, des chaînes de montre en or, des pèlerines à bouts croisés dans la ceinture, ou de petits fichus de couleur attachés dans le dos avec une épingle, et qui leur découvraient le cou par derrière. » Cette citation de l'extrait

la plus longue. Frédéric, ayant cessé de regarder au loin, là où Paris avait disparu, se retourna et observa tous les passagers présents sur le bateau : quelques dames accompagnées de leur mari, de nombreux enfants qui jouaient entre eux, des bébés qui pleuraient, les matelots en plein travail mais également le commandant de la Ville-de-Montereau. L'attention du jeune homme se porta sur cet homme brun coiffé d'une casquette et dont l'uniforme resplendissait à la lumière du soleil. Le commandant

de clown et d´écuyère,Il était né sous chapiteau.Entre la lionne et la panthère,On mettait son berceau.Il a grandi parmi les nôtres.Dès que son âge lui permitDe poser un pied devant l´autre,Une voix lui a dit :"Petit, tu es né Saltimbanque.De ville en ville, tu iras.Jongle avec tout ce que tu asEt si tu manques,Cent fois, tu recommenceras."Quand il voulait lancer des balles,Elles ne tombaient pas dans ses mains.Quand il sautait sur un cheval,C´était toujours trop loin.En équilibre sur la table,Il

le poème « Sagesse », où la sagesse, elle est comparée à quelque chose d’apaisant, de tranquille. Les poèmes ont tous une histoire à raconter. Le poème « Mai » de Guillaume Apollinaire nous raconte un mai qui navigue sur un fleuve il rencontre des dames mais cette barque s'éloigne de plus en plus etc.. Dans un autre poème, comme celui du « Solitaire » de Pierre de Marbeuf, décrit l'état moral de l'homme. Sommaire. Louise-Victorine Ackermann (L'Homme).........................................

Vivre en ville au XIXème siècle en France. Le XIXème siècle, en France, voit des transformations profondes se mettre en place : la révolution industrielle, la croissance urbaine… Siècle qui s’étend de 1814 (début de la Restauration) à 1914 (fin de la Belle Epoque). Max Weber, dans son ouvrage “La ville“ (1921) affirmait que la ville « n’est pas une entité démographico-géographique, mais aussi comme le lieu du pouvoir, du politique, du conflictuel, de l’instable ». Cette instabilité a été marquée