La Tour infernale

libératrice et dénonciatrice qu’effectue Otto Dix en transmettant ses souvenirs hérités de la Grande Guerre (quand on lui demanda pourquoi il avait réalisé « La Guerre », il répondit « Je voulais me débarrasser de tout ça ![1]). On y découvre tour à tour la montée au front, le champ de bataille (et la mort), le retour du front. L’œuvre, entièrement figurative, est imposante : 204 cm x 204 cm pour le panneau central, 204 cm x 102 cm pour les panneaux latéraux et 60 cm x 204 cm pour la prédelle ;

ou six puissances belligérantes, tantôt trois contre trois, tantôt deux contre quatre, tantôt une contre cinq, se détestant toutes également les unes les autres, s'unissant et s'attaquant tour à tour ; toutes d'accord en seul point, celui de faire tout le mal possible. Le merveilleux de cette entreprise infernale, c'est que chaque chef des meurtriers fait bénir ses drapeaux et invoque Dieu solennellement avant d'aller exterminer son prochain. » DOCUMENT 4 : Dix s'engage volontairement en tant que

catégories d'ouvriers. D'une part des ouvriers professionnels qui fabriquent des pièces complexes produites en petites séries et ne connaissent pas la dictature des cadences. D'autre part, les OS travaillent à la chaîne et sont soumis aux « cadences infernales ». Cette dernière catégorie est la plus nombreuse et constitue les trois quarts des effectifs. Quel que soit le poste occupé, les ouvriers chez Renault sont pleins d'espérance car ils peuvent évoluer et intégrer l'encadrement. Ils abandonnent alors

marchant essoufflée ! De lourds alexandrins l'un sur l'autre enjambant Comme des écoliers qui sortent de leur banc ! Un autre eût dit : - Merci ! Vous ôtez une proie Au feuilleton méchant qui bondissait de joie Et d'avance poussait des rires infernaux Dans l'antre qu'il se creuse au bas des grands journaux. - Moi, je vous ai grondés. Tort grave et ridicule ! Nains charmants que n'eût pas voulu fâcher Hercule, Moi, je vous ai fait peur. J'ai, rêveur triste et dur, Reculé brusquement ma chaise

rapidement aux plus hautes fonctions à la cour ravennate du roi Théodoric, maître d'une Italie devenue ostrogothique depuis 493 : né vers 480, il est consul en 510 (son père l'avait déjà été, sine collega, en 487, et ses deux fils le seront à leur tour ensemble en 522, toutes nominations ratifiées par l'empereur « romain » à Byzance, où la famille devait jouir d'une faveur tout à fait exceptionnelle); en 523, il est magister officiorum, c'est-à-dire en quelque sorte ministre de l'intérieur, et

« classique » ? Certains titres sont tellement connus qu’on ne les présente plus, et c’est une erreur ! Bien sûr, le roman policier Dix petits nègres, publié en 1939, appartient au patrimoine littéraire classique, mais l’intrigue représente un vrai tour de passe-passe de l’auteur. Agatha Christie disait de son roman : « J’ai écrit Dix petits nègres parce que la difficulté du sujet me fascinait. Dix personnes doivent mourir sans que cela tourne au ridicule ou que le meurtrier soit évident. J’ai écrit

Et je vois tour à tour réfléchis sur ton teint La folie et l‘horreur, froides et taciturnes. Le succube verdâtre et le rose lutin T‘ont-ils versé la peur et l‘amour de leurs urnes? Le cauchemar, d‘un poing despotique et mutin T‘a-t-il noyée au fond d‘un fabuleux Minturnes? Je voudrais qu‘exhalant l‘odeur de la santé Ton sein de pensers forts fût toujours fréquenté, Et que ton sang chrétien coulât à flots rythmiques, Comme les sons nombreux des syllabes antiques, Où règnent tour à tour le père des

Et je vois tour à tour réfléchis sur ton teint La folie et l'horreur, froides et taciturnes. Le succube verdâtre et le rose lutin T'ont-ils versé la peur et l'amour de leurs urnes? Le cauchemar, d'un poing despotique et mutin T'a-t-il noyée au fond d'un fabuleux Minturnes? Je voudrais qu'exhalant l'odeur de la santé Ton sein de pensers forts fût toujours fréquenté, Et que ton sang chrétien coulât à flots rythmiques, Comme les sons nombreux des syllabes antiques, Où règnent tour à tour le père des

diable La Morte amoureuse Manon Lescaut Mitsou La Mort d’une mère La Maison de Claudine Mes Nuits sont plus belles que vos jours Marius La Maison Tellier Mont - Oriol Miss Harriet Le Meilleur des mondes La Machine infernale Macbeth Manon des sources La Maison du guet Mr Parker Pyne,professeur de bonheur La Mystérieuse affaire de Styles La Mort n’est pas une fin Le Meurtre de Roger Ackroyd Le Miroir se brisa Mon petit doigt m’a dit Meurtre

d’été… Je m’étais muni d’une casquette, d’une paire de lunette et d’un foulard afin de pouvoir sortir en toute tranquillité sans que des fans hystériques me sautent dessus. Cet après-midi là, avait lieu une brocante, j’avais décidé d’y faire un petit tour afin d’y trouver quelques meubles anciens. En effet, pour changer, je ne voulais plus de meubles qui coûtent très cher digne d’une star. Je voulais refaire ma chambre afin d’en avoir une de style modeste, je voulais paraître un peu plus « normale »