La Tour Eiffel De Delaunay

en pleine urbanisation, ayant fortement été rénovée par Haussman. Cette époque se ressent dans les grands boulevards et les grandes avenue de la capitale. C'est pendant cette période que l'Exposition Universelle de 1889 eut lieu et où la fameuse Tour Eiffel fût construite. Pendant cette période il y a dans la capitale un foisonnement d'artistes ou des rencontres ont lieu comme par exemple la rencontre de Guillaume Apollinaire et Picasso. 4. LE CUBISME ET LE FAUVISME DANS LA PEINTURE D'abord

Les poèmes ont été composés pendant la « Belle époque » qui met l’accent sur les progrès et la confiance dans l’avenir. La France connait une période de paix et de développement économique. Il est fasciné par les progrès techniques comme la tour Eiffel mentionné dans « Zone ». Apollinaire est très intéressé par la modernité. Il trouve une nouvelle source d’inspiration dans « le manifeste du futurisme » qui célèbre la modernité et les innovations qui transforment le paysage urbain au début

et dans l'éducation. 7 The owl Eiffel tower 8 The Owl et Eiffel Tower La polynomiographie est l'art de créer des images en utilisant les racines des polynômes calculés. Le mathématicien Kalantari Bahman a réussi à developper la polynomiographie grâce à l'informatique. The owl, qui signifie « La chouette » appelé ainsi car sur l'image on croirait reconnaître des yeux de chouette, est la représentation graphique de la racine de deux. Eiffel tower est une image trouvée par hasard

orphique, est un terme inventé en 1912 par le poète français Guillaume Apollinaire. Il a utilisé le terme « orphisme » pour étiqueter les peintures de Robert Delaunay relatives à Orphée, le poète et le symbole de l'art de la chanson et de la lyre dans la mythologie grecque. Le terme à été également utilisé en référence aux peintures de l'épouse de Delaunay, Sonia Terk, et à la peintre tchèque František Kupka et d'autres membres du Groupe de Puteaux (Section d'Or). Guidés par Jacques Villon, les orphistes

la nature par le cylindre, le triangle et le cône. « Créer de fausses perspectives ». Simultanéité des perspectives. * Paul Cézanne * Pablo Picasso * Georges Braque * Juan Gris * Fernand Léger * Jean Metzinger * Robert Delaunay Maurice Denis, revue « Art & critique » le 30 aout 1890 : « se rappeler qu’un tableau, avant d’être un cheval de bataille, une femme nue ou quelconque anecdote, est essentiellement une surface plane recouverte de couleurs en un certain ordre

et y découvre les impressionnistes français. Il y arrive en août 1910, francise son nom et devient Marc Chagall. Il se lie aussitôt avec l'avant-garde artistique Delaunay et littéraire Apophysaire et Centreras de la capitale. Il n’oublie pas ses origines russes, pour preuve même lorsqu’il peint les ponts de la Seine ou la tour Eiffel, on peut reconnaître des éléments de décor inspirés de ses souvenirs d’enfance qui ne le quitteront jamais. Il expose ses travaux pour la première fois en 1914 sur

pierre, le désenclavement de la ville a été une priorité vitale. Après la passerelle Eiffel en 1860, il faudra attendre plus d'un siècle pour construire le troisième pont en 1965, le pont Saint-Jean, puis en 1967 le pont d'Aquitaine est réalisé à Lormont. En 1993, c'est le pont François Mitterrand qui est ouvert afin de relier la rocade bordelaise[7]. En 2008, un nouveau pont ferroviaire se substitue à la passerelle Eiffel devenue obsolète, mais celle-ci sera conservée compte tenu de son intérêt architectural

: arts appliqués : Le Pont Maria Pia de Gustave Eiffel à Porto (1877) Arts du son : Jean Michel Jarre – musique électronique – « Fleur de saison » par Emilie Simon – « Harder, Better, Faster, Stronger », Daft Punk Arts du spectacle vivant : - La théorie médicale des humeurs : Racine, Phèdre, I, 4 (surtout le monologue final) - Les danses serpentines de Loïe Fuller, à rapprocher des peintures suivantes que ces danses inspirent : Sonia Delaunay et ses symphonies chromatiques et rythmiques (exemple

est Gustave Eiffel ? page 4 ● Deuxième partie : Le projet de la plus haute tour du monde pour l'Exposition Universelle page 6 ● Troisième partie : Eiffel et sa tour face aux critiques page 10 ● Quatrième partie : La construction de la tour page 14 ● Cinquième partie : Un sucés incontestable page 19 ● Sixième partie : La vie de la tour depuis plus de cent ans page 22 ● conclusion : page 25 ● Annexes : page 26 La Tour Eiffel

constituants de l’œuvre - La lumière : Johannes Vermeer (XVIIème siècle), La Dentellière (Musée du Louvre, Paris) ou La Laitière (Rijkmuseum, Amsterdam) ; ou Georges de La Tour (XVIIème siècle), La Nativité (Musée des Beaux-Arts, Rennes) ou Job et sa femme (Musée départemental des Vosges, Epinal). - La couleur : une tapisserie de Sonia Delaunay (XXème siècle) ou un monochrome d’Yves Klein (XXème siècle). - La perspective : Fra Angelico, L’Annonciation (Couvent San Marco, Florence, Italie, XVème siècle). -