La Tête d'un homme

Ambre Eveil La tête appuyée contre la vitre, ses cheveux sombres tombants en cascade sur ses épaules et son regard lointain ; Elle était en compagnie de son père, fier homme, qui du haut de son mètre quatre-vingt toisait le monde, et de son titre se faisait une place dans la société. Cette société en perpétuel avancement scientifique ou l’impossible avait un prix et ou seul l’aisé survivait. Son père était l’archétype même du pseudo-intellectuel qui seulement grâce à son portefeuille garni

Pluie et vent sur Télumée Miracle, de Simone Schwarz-Bart, il s’agit de la persévérance et l’esprit des noires dans la ville Fond-Zombi à Guadeloupe. Les générations passent mais l’esprit et la fortitude de survivre la douleur, de « ne pas baisser la tête devant la vie »[1] sont inculqués aux enfants par les vieux. Avec les conseils de sa grand-mère, man Cia et Amboise, Télumée endure les problèmes et la souffrance. Pendant sa jeunesse Télumée voit la vie avec des yeux d’une vielle sagesse. Elle n’était

tous. Cet exorde, nous allons le voir, a pour objectif d'intimider Catilina et de lui signifier qu'il ne lui reste plus qu'à quitter Rome puisque tout est découvert. C'est l'occasion, pour Cicéron, de brosser un portrait en creux de cet homme dangereux, cet homme à abattre. I/ Essai d'intimidation Cet essai d'intimidation fait partie de la stratégie de Cicéron qui, faute de preuves tangibles, veut pousser Catilina à rejoindre les rebelles. Il doit donc l'intimider et, par un discours incisif

l'Éditeur Les deux contes, Le blanc et le noir, Jeannot et Colin, font partie du volume qui parut, en 1764, sous le titre de Contes de Guillaume Fade. Les notes sans signature, et qui sont indiquées par des lettres, sont de Voltaire. Les notes signées d'un K sont des éditeurs de Kehl, MM. Condorcet et Decroix. Il est impossible de faire rigoureusement la part de chacun. Les additions que j'ai faites aux notes de Voltaire ou aux notes des éditeurs de Kehl, en sont séparées par un, et sont, comme mes notes

mélancolique. Il était une fois un homme qui avait une cervelle d'or ; oui, madame, une cervelle toute en or. Lorsqu'il vint au monde, les médecins pensaient que cet enfant ne vivrait pas, tant sa tête était lourde et son crâne démesuré. Il vécut cependant et grandit au soleil comme un beau plant d'olivier ; seulement sa grosse tête l'entraînait toujours, et c'était pitié de le voir se cogner à tous les meubles en marchant... Il tombait souvent. Un jour, il roula du haut d'un perron et vint donner du front

Devoir de philosophie pour le jeudi 4/10/12 Penser, c’est dire non. Remarquez que le signe du oui est d’un homme qui s’endort ; au contraire le réveil secoue la tête et dit non. Non à quoi ? Au monde, au tyran, au prêcheur ? Ce n’est que l’apparence. En tous ces cas-là, c’est à elle-même que la pensée dit non. Elle rompt l’heureux acquiescement. Elle se sépare d’elle-même. Elle combat contre elle-même. Il n’y a pas au monde d’autre combat. Ce qui fait que le monde me trompe par ses perspectives

Claës abrite une des familles les plus célèbres et plus authentiquement flamandes de la région. Balthazar Claës, homme riche et cultivé mène la vie heureuse d’un grand bourgeois flamand. Il a été l’élève de Lavoisier avec lequel il a étudié la chimie. Il adore la femme qu’il a épousée en 1795, et le bonheur de la famille est complet, jusqu’au jour où, en 1810, Balthazar reçoit la visite d’un mathématicien polonais devenu soldat pour gagner sa vie. L’homme expose à Claës le point précis où il en est arrivé

et moi sommes toujours en désaccord !  -Pourquoi pensez-vous cela… ? » Mon psychothérapeute fit une fois encore le tour de la petite salle de consultation et me regarda d’un air curieux. Je réfléchis un court instant et je commençai mon explication : « -J’ai un exemple bien précis, hier soir lors d’un diner en tête-à-tête nous parlions de nos lectures actuelles et une fois de plus nous ne partagions point le même avis. J’ai cité une citation d’Albert Camus que je trouvais juste et encore une

LE VIEIL HOMME ET LA MER ERNEST HEMINGWAY (1952) Le vieil homme et la mer est un roman d’Ernest Hemingway, publié pour la première fois en 1952. Le récit se déroule en mer vers Cuba, dans le Gulf Stream, à l’époque où il a été écrit. Les deux années suivant la publication de cet ouvrage, son auteur se voyait récompensé du prix Pulitzer et du prix Nobel de littérature. LES PERSONNAGES PRINCIPAUX SANTIAGO Santiago est un vieux pêcheur cubain très pauvre. Il est victime d’une malchance qui

|caractéristiques péjoratives. | | | |Soldat : «Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue» | | | | |l.5, «pâle» l.8, « Souriant comme sourirait un enfant|