La pluie et vent sur Télumée Miracle
Dans le roman Pluie et vent sur Télumée Miracle, de Simone Schwarz-Bart, il s’agit de la persévérance et l’esprit des noires dans la ville Fond-Zombi à Guadeloupe. Les générations passent mais l’esprit et la fortitude de survivre la douleur, de « ne pas baisser la tête devant la vie »[1] sont inculqués aux enfants par les vieux. Avec les conseils de sa grand-mère, man Cia et Amboise, Télumée endure les problèmes et la souffrance. Pendant sa jeunesse Télumée voit la vie avec des yeux d’une vielle sagesse. Elle n’était jamais une enfant innocente ou naïve. Cela est évident au debout du roman quand son père est tué par Germain, Télumée ne réagit pas. Elle ne se sent pas trahi quand sa mère, Victoire, l’envoie à sa grand-mère Toussine, Reine Sans Nom. Même une enfant, Télumée comprend que la vie la donne du douleur et donc on doit continuer jusqu’à la fin.
Un autre exemple que Télumée n’est pas une enfant typique est qu’elle questionne sa propre existence. « Je me demandais si je n’étais pas venue sur terre par erreur »[2]Cette thème reste pendant le roman. Télumée a une perception négative de la vie. Elle s’attend à la douleur, en particulaire quand elle s’est marée avec Élie. Pourtant, cela ne l’inhibait pas de vivre. Plutôt l’idée qui embrase l’esprit de Télumée est « Toutes les rivières, même les plus éclatantes, celles qui prennent le soleil dans leur courant, toutes les rivières descendent dans la mer et se noient. Et la vie attend l’homme comme la mer attend la rivière. »[3] Cette philosophie reste évident pendant la vie de Télumée. Tous ses amours, Élie, Ambroise, Sonore, Reine Sans Nom et man Cia sont des tournants de la rivière de sa vie. Cependant, Télumée pense à sa mort même ses conversations avec Élie sous l’arbre pendant l’école. Ils pensent à leur avenir mais pas une idéale vie ; une vie très réelle plein de la douleur. Avant son mariage avec Élie Télumée travaille à la maison de Mademoiselle Desargne. Elle