La Tête dans le sac

voyais son humeur. Je demandais s’il avait fait sa nuit, si tout allait bien (pas de fièvre), s’il bavait( les dents) les fesses rouges (les dents) à quelle heure il c’était endormi, s’il avait eu des selles depuis la veille, je vérifiais son sac, les biberons, sucette et doudou (indispensables) les vêtements adaptés pour la journée( pull, gilet body), les couches, les rechanges, les repas et goûter, les médicaments et ordonnances à administrer. A quelle heure la maman venait reprendre

dernière et même phrase. Le narrateur passe du passé composé « j’ai crié », à l’imparfait « trouait », « j’étais » pour ensuite évoquer un présent de l’indicatif, « je suis là ». Ce mélange de temps montre que les souvenirs s’entremêlent et fusent dans la tête de l’héroïne, qu’elle confond désormais passé et présent. Serait-ce de folie qu’il est question maintenant ? Très probable puisque la cause déduite de l’agression semble contredire la toute première phrase du texte. En effet, le pourquoi

l’escalier séparant le garage de la maison et fut surpris de ne voir ni son père ni sa mère à la maison alors que leurs deux voitures étaient garées dans le garage. Il en conclut donc que ses parents avaient dû partir se promener. Il posa son sac, prit le sac d’affaire que sa mère lui avait préparé comme tous les lundis ainsi qu’un ballon de rugby et alla rejoindre quelques amis à lui pour faire une partie sur un terrain vague à environ deux cent mètres de chez lui. Il ferma la porte et redescendit

Lougine avec gourmandise. Voyons... si tu nous montrais tout ça mon garç... Zoltan ? Elle désignait le paquet. Zoltan recula sa chaise et se saisit du sac qu'il posa sur ses genoux. Il l'entoura de ses deux bras. J'avais vraiment l'impression qu'il craignait que Lougine ne lui pique un trésor. Ses mains agrippaient le tissu. Son dos était raide. Sa tête tournait à droite et à gauche par de petits mouvements brefs et saccadés. Il était comme un chien qui mord un os. [...] – Touchez pas ça ! Un grondement

le dépose dans mes bras. Elle vide ensuite le fond de la gourde dans une petite casserole.« Fais chauffer cette eau pour un biberon. Moi, je descends à la rivière rincer cette couche et celle d’hier soir, que je m’étais contentée de mettre dans un sac de plastique. Et je vais remplir la gourde.» Au moment où elle commence à des- cendre la pente abrupte, Karim lui lance : « Un conseil : remplis d’abord la gourde. — Tu me prends pour une conne, ou quoi? Évidemment, que je vais commencer par remplir

voiture la suivait depuis un petit temps déjà, elle commença à avoir de plus en plus peur, quand tout as coup 2 hommes cagoulés bondissent de la voiture en se jetant sur elle et l’emmena de force a l’intérieur de la voiture ou il lui placerons un sac sur la tête. Quelque heure plus tard la maman (adoptif ) de Annabelle, Angela, commença a paniquer en ne revoyant pas sa fille revenir de sa promenade , elle essaya de la contacter sur son portable mais aucune réponse, elle décida alors d’allée parcours

L’air chaud met des larmes dans ses yeux, appuie sur sa bouche et sur ses narines, et elle doit tourner un peu la tête pour respirer. Titi suit à quelques mètres, ses cheveux rouges tirés par le vent, ivre, elle aussi, de vitesse et de l’odeur des gaz. La ronde les emmène loin à travers la ville, puis les ramène lentement, rue par rue, vers l’arrêt d’autobus où attend la dame au sac noir. C’est le mouvement circulaire qui les enivre aussi, le mouvement qui se fait contre le vide des rues, contre

gérer et contrôler sa superficie et c'est le 20 février 1989 que fut officiellement créé le Parc national de la Guadeloupe. La Réserve Naturelle du Grand Cul-de-sac marin avait quant à elle été créée en 1987 et a ensuite été rattachée à la gestion du Parc. Depuis 1992, la zone centrale du Parc et la réserve naturelle du Grand-Cul-de-Sac marin font parties de la Réserve de Biosphère de l’archipel de Guadeloupe, agréé par l'UNESCO, concédant au parc une reconnaissance internationale. La détermination

comme au premier acte. Willie invisible. Winnie enterrée jusqu’au cou, sa toque sur la tête, les yeux fermés. La tête, qu’elle ne peut plus tourner, ni lever, ni baisser, reste rigoureusement immobile et de face pendant toute la durée de l’acte. Seuls les yeux sont mobiles. Sac et ombrelle à la même place qu’au début du premier acte. Revolver bien en évidence à la droite de la tête. Un temps long. Sonnerie perçante. Elle ouvre les yeux aussitôt. La sonnerie s’arrête.

Octave Un autre auroit paru effroyable en l'état où elle étoit ; car elle n'avoit pour habillement qu'une méchante petite jupe avec des brassières de nuit qui étoient de simple futaine ; et sa coiffure étoit une cornette jaune, retroussée au haut de sa tête, qui laissoit tomber en désordre ses cheveux sur ses épaules ; et cependant, faite comme cela, elle brilloit de mille attraits, et ce n'étoit qu'agréments et que charmes que toute sa personne. Scapin Je sens venir les choses. Octave Si tu l'avois vue