La Terreur des dames

l’appartement, de sorte qu’on pouvait sans peine distinguer les personnages de la tapisserie et les figures des portraits enfumés pendus à la muraille. C’étaient les aïeux de notre hôte, des chevaliers bardés de fer, des conseillers en perruque, et de belles dames au visage fardé et aux cheveux poudrés à blanc, tenant une rose à la main. Tout à coup le feu prit un étrange degré d’activité ; une lueur blafarde illumina la chambre, et je vis clairement que ce que j’avais pris pour de vaines peintures était la

Zhu (1951) ; Aux champs adapté pour la télévision par Hervé Baslé avec Marilyne Even pour la série L’Ami Maupassant(1986) Ce cochon de Morin adapté par Viktor Tourjansky (1924), par Georges Lacombe (1932) et par Jean Boyer (sous le titre La Terreur des Dames en 1956). L’Enfant adapté pour la télévision par Claude Santelli avec Jean-Pierre Bouvier pour la série L’Ami Maupassant(1986) La Femme de Paul et le Signe adaptés par Jean-Luc Godard (sous le titre Masculin Féminin en 1966) ; Hautot père

mes poches le plus vite possible alors que j’étais pris d’une forte quinte de toux. Lorsque j’ai retiré le tissu de devant mes lèvres, il était rouge sang. J’ai levé les yeux vers l’homme et j’ai lu sur son visage une sorte de dégoût empreint de terreur pure. Il a compris. Je l’ai compris, moi aussi, depuis environ une semaine… 1 Je suis malade. Au premier abord, j’ai cru à un rhume passager mais le mal dont je souffre est de ceux dont on ne guérit pas. Je le ressens, il s’insinue en moi, depuis

Emile Zola Au Bonheur des Dames - Collection Romans / Nouvelles - Retrouvez cette oeuvre et beaucoup d'autres sur http://www.inlibroveritas.net Table des matières Au Bonheur des Dames..............................................................................1 I............................................................................................................2 II .........................................................................................................28 III

sorte qu’on pouvait sans peine distinguer les personnages de la tapisserie et les figures des portraits enfumés pendus à la muraille. C’étaient les aïeux de notre hôte, des chevaliers bardés de fer, des conseillers en perruque, et de belles dames au visage fardé et aux cheveux poudrés à blanc, tenant une rose à la main. Tout à coup le feu prit un étrange degré d’activité ; une lueur blafarde illumina la chambre, et je vis clairement que ce que j’avais pris pour de vaines peintures était

battent pour l’égalité dans le courant même de la révolution française. Pour en citer quelques unes nous avons en France les enragées de la révolution auxquelles adhèrent Claire Lacombe et Pauline Léon. Le document 6, ici représente le départ des dames de la halle et des femmes de Paris pour Versailles. On y retrouve des femmes du peuple, animées par la colère de la disette, très présente à Paris, accompagnées de ménagères et de bourgeoises. On aperçoit sur cette représentation quelque peu caricaturale

l’appartement, de sorte qu’on pouvait sans peine distinguer les personnages de la tapisserie et les figures des portraits enfumés pendus à la muraille. C’étaient les aïeux de notre hôte, des chevaliers bardés de fer, des conseillers en perruque, et de belles dames au visage fardé et aux cheveux poudrés à blanc, tenant une rose à la main. Tout à coup le feu prit un étrange degré d’activité ; une lueur blafarde illumina la chambre, et je vis clairement que ce que j’avais pris pour de vaines peintures était la

l’appartement, de sorte qu’on pouvait sans peine distinguer les personnages de la tapisserie et les figures des portraits enfumés pendus à la muraille. C’étaient les aïeux de notre hôte, des chevaliers bardés de fer, des conseillers en perruque, et de belles dames au visage fardé et aux cheveux poudrés à blanc, tenant une rose à la main. Tout à coup le feu prit un étrange degré d’activité ; une lueur blafarde illumina la chambre, et je vis clairement que ce que j’avais pris pour de vaines peintures était la

(l’enfant mort dans les bras de la mère se rapproche il d’une autre image universelle ? Une piéta) et le taureau (symbole de cruauté, puissance) - Le cheval (le symbole d’un peuple sacrifier) et la lampe (symbole de résistance et d’espoir) - Les deux dames - Le personnage écartant les bras dans les flammes (référence au tableau de Goya « Tres de mayo » Une composition aussi classique de type pyramidale, elle est délimitée a droite par la femme qui tente de s’enfuir et a gauche par le soldat défunt

l’on prête en général à cet acteur au café qu’elles sont en train de déguster. L’année suivante, elles vont le confondre avec un portier, un chauffeur ou un serveur. La star n’est plus qu’un faire-valoir. En 2008, l’impair est réparé. Ces charmantes dames reconnaissent enfin George mais, malignes, elles vont manipuler son ego afin d’obtenir la seule chose qui les intéresse : leur café. Tant et si bien que le bellâtre meurtri par tant d’ingratitude n’aura plus qu’à se réfugier derrière un journal pour