La Tentatrice

la terre à témoin) fait référence à la dernière tentation de Bouddha par les trois filles (trois sœurs - le Désir, le Plaisir et la Passion) du démon Mara. Bouddha appela alors en aide la déesse Vasumdarhi qui fit trembler la terre et fuir les tentatrices. Bouddha, sous l'arbre pippal de Bodh Gaya, en dirigeant ses doigts vers la terre, la prend à témoin de son illumination et de son engagement.  | Dharma Shakra MudraC'est l'attitude de la mise en branle de la Roue de la Loi (Dharma) dans le parc

ami, y renonce. Le titre définitif repose sur le paradoxe que Charles Baudelaire a tenu à entretenir durant toute sa vie littéraire. En effe l’auteur considère la beauté comme artificielle. Cette même beauté est vue comme de nature provocatrice et tentatrice (donc pouvant entrainer l'être humain vers le péché - rapportà la conception immanente qu'a eu Baudelaire par rapport à la religion) : l'Homme ne peut lui résister. 'Les fleurs du mal' en sont ici l'allégorie. Le poète a divisé son recueil en six

1) Elle a tout perdu 2) De sa beauté 3) Pleine de remords II Volontairement cause de la guerre A/ Elle ne prend pas conscience de son impact sur la guerre 1) Indifférente 2) Narcissique B/ Femme manipulatrice 1) Impitoyable 2) Tentatrice Conclusion  Bibliographie : SUR INTERNET : - http://www.insecula.com/oeuvre/photo_ME0000034337.html - http://cartelfr.louvre.fr/cartelfr/visite?srv=car_not_frame&idNotice=13684 - http://www.musagora.education.fr/voyages/naples/helene

rire, nous tombons dans le silence de l’admiration, de la fascination, au sens de fascinere, mais ici devant le beau sexe. Immédiatement, la plume balzacienne se lance dans une description énergique de ces femmes, qui trouvent la couleur terrible, tentatrice, dangereuse que leur prêtera traditionnellement, plus tard, Balzac, et que résume seule cette expression : « cette périlleuse assemblée ». L’une d’entre elles, en particulier, fascine Raphaël de Valentin et son ami Emile, une femme prénommée « Aquilina » :

d’ailleurs à cette époque que naît le racisme. Différence entre ceux qui reconnaissent Jésus et les autres. La science du XIXème siècle affirme qu’il y aurait plusieurs races humaines. Drumont cumule et reprend les croyances populaires (les femmes tentatrices, les juifs qui tuent les enfants). D’autant plus que l’antisémitisme, jusqu’à la seconde guerre mondiale, n’est pas puni par la loi : il est considéré comme une opinion. Il y a même des partis politiques antisémites qui se créaient. Drumont n’est

les femmes sont manipulatrices et c’est un des éléments qui revient le plus fréquemment, lorsqu’on tente de définir la femme. Et puis, les médias, que ce soit la télévision ou le net, n’arrêtent de nous exposer cette image de manipulatrice et de tentatrice. Oui, les femmes peuvent être d’excellente manipulatrices, mais n’est-ce pas parce qu’on les oblige ? Dès l’époque gréco-romaine jusqu’à il y a 50 ans la femme n’avait quasi aucun droit dans la société. Elle était soumise à la domination de l’homme

de leur promptitude à se moquer de tout le monde (« toujours à railler »). Il note ensuite que, dans son pays, la manière dont Carmen était habillée aurait obligé « le monde à se signer », comme si Carmen lui évoquait spontanément la figure de la tentatrice surgie droit de l’enfer. Il écrit enfin que la fleur de cassie lancée par la cigarière lui fit « l’effet d’une balle » reçue « entre les deux yeux » – précisément la partie du corps où l’on vise ceux qu’on veut tuer. Ici, le coup de foudre prend

(mi-femmes, mi-oiseaux), et mermaid, les sirènes scandinaves (avec une queue de poisson). […] Créée en 1835, par l’écrivain danois Hans Christian Andersen, la légende moderne de la sirène continue de faire des vagues, elle n’est plus la terrible tentatrice mais devient une héroïne romantique, qui cherche l’amour, telle Ondine qui offre son âme à l’homme qui voudra bien l’épouser. Le dessin animé de Walt Disney, La Petite Sirène, reprend des éléments issus de la culture populaire et du conte d'Andersen

formes humaines à l’inhumain, les choses asexuées neutres sont transformées en choses sexuées. I La sensualité : Chez Ponge l’humain n’est pas séduisant alors que la chose l’est. Féminisation des choses, jeu avec la stéréotype féminin de la femme tentatrice : l’eau mais aussi avec la pudeur la crevette. L’eau est placée du côté des idées reçues elle est folle hystérique ce qui est jugé comme une maladie féminine . Erotisation plus nette dans Faune et Flore 82 mises en scènes des désirs multiples. 36

choses asexuées neutres sont transformées en choses sexuées. I La sensualité : Chez Ponge l’humain n’est pas séduisant alors que la chose l’est. Féminisation des choses, jeu avec la stéréotype féminin de la femme tentatrice : l’eau mais aussi avec la pudeur la crevette. L’eau est placée du côté des idées reçues elle est folle hystérique ce qui est jugé comme une maladie féminine . Erotisation plus nette dans Faune et Flore 82 mises en scènes des