La Tentatrice

l’Impressionnisme (fin du mouvement en 1866). L’échec de Claude illustre celui des peintres impressionnistes. ( Les femmes dans le roman Au 19ème siècle, les femmes sont peu présentes dans le milieu artistique. Elles sont considérées comme des tentatrices qui tournent autour des hommes et essaient de les arracher à la création. Elles ne saisissent pas les difficultés, les angoisses de la création (cf. Christine) ( Christine : soumise ; sacrifiée à la peinture ; réduite au rang d’objet, de modèle ;

plusieurs reprises Baudelaire compare l’allure de la femme à celle du reptile car elle ressemble à une danse. Dans le poème XXVI, Baudelaire présente l’animal comme maléfique, la femme devient dangereuse. Il y associe Jeanne Duval car elle est tentatrice ; elle incite au mal. Comme pour le chat, la thématique du regard froid est présent : « Tes yeux, où rien ne se révèle de doux ni d’amer, sont deux bijoux froids où se mêle l’or et le fer. » (XXVI) Comme dans la Genèse, le serpent est tentateur

décollation, à la représentation isolée de la danseuse : la figure de Salomé se dégage peu à peu de l'histoire édificatrice de Saint Jean dont elle n'est qu'un élément contingent pour se constituer en personnage à part entière, symbole de la féminité tentatrice, sacrilège, castratrice, fatale. Groupe 6 : En collaboration avec le professeur de musique : analyse musicale de la danse de Salomé dans les oeuvres de Strauss et Schmitt. Groupe 7 : Exposé sur "la danse,langage du corps, à partir des oeuvres

dans cette passion du trottoir : les dentelles avaient un frisson, retombaient et cachaient les profondeurs du magasin, d'un air troublant de mystère ; les pièces de drap elles-mêmes, épaisses et carrées, respiraient, soufflaient une haleine tentatrice ; tandis que les paletots se cambraient davantage sur les mannequins qui prenaientune âme, et que le grand manteau de velours se gonflait, souple et tiède, comme sur des épaules de chair, avec les battements de la gorge et le frémissement des

l’écriture. Mais la beauté de la femme est-elle si bénéfique qu’il n’y paraît ? C’est la question à laquelle nous allons tenter de répondre. En effet, si le poème sonne comme un éloge à la perfection esthétique, la femme n’en demeure pas moins une tentatrice, si séduisante qu’elle en devient peut-être même inaccessible. I/ UNE BEAUTE CELEBREE ET ADMIREE PAR LE POETE a)    Eloge de la beauté féminine -          Beauté corporelle : uniquement question du corps de la femme dans le poème. Chaque strophe

meubles luisants, riches plafonds, miroirs profonds. C’est un lieu clos, une chambre, propice au bonheur des amants. La femme, médiatrice du voyage La femme chez Baudelaire occupe une place ambiguë à la fois ange, source de salut, mais aussi tentatrice et source de perdition. Dans ce poème de bonheur où la sérénité prime, la dualité de la femme est néanmoins présente. La correspondance entre la femme et le paysage Une double évocation : Au pays qui te ressemble. Cette correspondance est ensuite

moraux des personnages. II - Boule de Suif : de la tentatrice à la femme généreuse : Tout comme le portrait de la « galante » témoignait de la sympathie de l'auteur et se distinguer donc des autres, cette scène est, en effet, d'abord l'occasion pour lui de souligner, après la générosité de ses formes, la générosité de cœur du personnage. Pour les protagonistes, Boule de Suif, par sa profession de prostituée, incarne la femme fautive, la tentatrice. Ses formes pleines, sa sensualité constituent pour

vivaient, dans cette passion du trottoir : les dentelles avaient un frisson, retombaient et cachaient les profondeurs du magasin, d'un air troublant de mystère ; les pièces de drap elles-mêmes, épaisses et carrées, respiraient, soufflaient une haleine tentatrice ; tandis que les paletots se cambraient davantage sur les mannequins qui prenaient une âme, et que le grand manteau de velours se gonflait, souple et tiède, comme sur des épaules de chair, avec les battements de la gorge et le frémissement des reins

partie parce que les hommes n’aiment pas que d’autres homme portent le regard sur leur femme, et accusaient peut-être en partie la femme de tout faire pour attirer leur regard. C’est peut-être aussi par ce que l’homme considère la femme comme une tentatrice et vont tout faire pour éliminer cette tentation.

elle lui est soumise... Sans oublier que la femme est le symbole du malheur du genre humain : en effet, n'est-ce pas, Eve qui, dans la mythologie judéo-chrétienne, incita Adam à manger le fruit interdit ? Femme faible de par sa constitution, femme tentatrice, femme fatale, les femmes, depuis des temps très anciens, sont cause de nombreux malheurs. A la veille de la Révolution française, les mentalités n'ont pas beaucoup changé... Les femmes ne sont pas considérées comme de vrais individus pour les