La Technique Nous Aliène T Elle Ou Bien Nous Libère T Elle

HOMMES A) Comment travaillons-nous? 1) Avec qui travaillons-nous? Le travail comme fait social. 2) Avec quoi travaillons-nous? Le travail comme fait technique. 3) Reformulation des contradictions.   B) Le travail comme fait social : condition du bonheur individuel?   1) la division sociale du travail.

nature et Etat social 3 2. Liberté négative et liberté positive 5 3. L’esclave et l’enfant 5 4. La liberté d’expression 6 C. Travail et liberté 6 1. La libération par le salaire 6 2. La libération par l’apprentissage (Hegel) 7 3. La libération par la technique (Marx) 7 4. Problème : quand il est enfin libre, l’homme est devenu esclave (Arendt) 8 II. La liberté intérieure 9 A. L’origine du concept de liberté intérieure 9 B. La liberté de vouloir 9 1. La liberté des Stoïciens 9 2. L’indépendance à l’égard

agitation ou alors un état de stupeur. En fait on découvre l’état confusionnel avec idée délirante, en opposition avec la réalité. 3. SOCIETE MEDIEVALE. Les assistances publiques sont créées et certains lieux permettent l’hospitalisation des aliénés (Hôtel Dieu). Rapidement ils se sont rendus comptes que certains fous devaient être attachés pour les empêcher de faire souffrir les autres ainsi que lui-même -> expression « Etre fou à lier ». On rasait la tête du malade pour l’empêcher de s’arracher

Etat social 3 2. Liberté négative et liberté positive 5 3. L’esclave et l’enfant 5 4. La liberté d’expression 6 C. Travail et liberté 6 1. La libération par le salaire 6 2. La libération par l’apprentissage (Hegel) 7 3. La libération par la technique (Marx) 7 4. Problème : quand il est enfin libre, l’homme est devenu esclave (Arendt) 8 II. La liberté intérieure 9 A. L’origine du concept de liberté intérieure 9 B. La liberté de vouloir 9 1. La liberté des Stoïciens 9 2. L’indépendance à

non seulement une dénonciation : celle des situations de domination, qui empêchent l’homme d’être homme, mais encore une affirmation qui, dans le contexte, était une découverte : celle de la capacité créatrice de tout être humain, fût-ce le plus aliéné. D’où la nécessité d’agir sur la réalité sociale pour la transformer, action qui est inter-action, communion, dialogue. Éducateur et éduqué, tous deux sujets créateurs, se libèrent mutuellement pour devenir ensemble créateurs de réalités nouvelles

de son voyage, il séjourna sur l’île Bourbon puis est rapatrié en France. Ce voyage dura plus de 10 mois et influença profondément ses poèmes futurs. Atteignant sa majorité et jouissant de l’héritage de son père, Baudelaire vécut à sa guise. Si bien qu’au bout de 16 mois, il avait déjà dépenser la moitié de l’héritage. En 1844 sa famille s’indigne de sa vie de débauche et intervient de nouveau et obtient qu’un notaire gère ses biens, cette même année, il s’éprend de Jeanne Duval, malgré les

de philosophie qu'il est philosophe? (la philosophie) Peut on rejeter la philosophie sans philosopher ? L'auditoire de la philosophie peut-il etre représenté par un seul homme ? (Philosophie) De quelles servitudes un philosophe essaie-t-il de se libérer ? Y a-t-il aujourd'hui pour nous un quelconque intérêt a tirer d'une philosophie ancienne ? (Philosophie) La philosophie peut-elle etre réduite a son histoire? (Philosophie) Quels sont des critères de la validité d'un discours philosophique ? (Philosophie)

apporté ? Quelle place y a-t-il eu alors pour la philosophie ? Mais il n’est pas dit que le philosophe soit réellement utile et bénéfique à une société donné. A quoi ressemble une société sans philosophes ? N’ont-ils pas parfois fait plus de mal que de bien à leur société ? Ont-ils réellement influé sur leur propre société ? Le philosophe est pour le moins un personnage de la société qu’on ne peut négliger. Et lui-même se pense très important, il a raison, il est source de savoir. Depuis Platon

LA LIBERTÉINTRODUCTIONAvant de s’engager dans un débat sur la liberté, cherchons à la définir. Pour qu’elle s’applique à toutes les formes de liberté nous ne pouvons en donner qu’une définition négative : elle est absence de contrainte. On parle alors de libertés au pluriel, car il y a autant de libertés que de contraintes dont on s’affranchit. Par exemple, on parle en physique d’un corps qui tombe en chute libre, c’est à dire indépendamment de toutes les forces autres que la pesanteur, en politique

déchaînent le tonnerre. Paul Valéry, Regards sur le monde actuel, « Fluctuations sur la liberté » (1938) Méfiance, donc. Avec les mots de ce genre, le « terrorisme conceptuel » risque d’être fréquent. Si un penseur défend une conception de la liberté, bien souvent il ne fait pas œuvre 1 de scientifique ni d’analyste, et ne s’en tient pas à une recherche purement conceptuelle. Au contraire, défendre une conception de la liberté constitue souvent un moyen de défendre un certain idéal. Nommer cet