La Symphonie fantastique

......................................... 100 LXIX. – La musique .................................................................101 LXX. – Sépulture..................................................................... 102 LXXI. – Une gravure fantastique............................................ 103 LXXII. – Le mort joyeux ......................................................... 104 LXXIII. – Le tonneau de la haine ........................................... 105 LXXIV. – La cloche fêlée ....

................ 58 LXIX. – La musique.......................................................................... 58 3 LXX. – Sépulture ...............................................................................59 LXXI. – Une gravure fantastique ......................................................59 LXXII. – Le mort joyeux................................................................... 60 LXXIII. – Le tonneau de la haine ..................................................... 60 LXXIV

......................................... 100 LXIX. – La musique .................................................................101 LXX. – Sépulture..................................................................... 102 LXXI. – Une gravure fantastique............................................ 103 LXXII. – Le mort joyeux ......................................................... 104 LXXIII. – Le tonneau de la haine ........................................... 105 LXXIV. – La cloche fêlée ....

catégories ou genres. Un genre littéraire est une notion de type catégoriel, une convention qui permet de classer ces productions en fonction des critères portant sur la forme (poésie, récit, théâtre), le contenu (aventure, journal intime), l’effet (fantastique, horreur, comique), le style, etc. La liste des genres est ouverte. Inscrire une œuvre dans un genre (au moyen d’un élément paratextuel qui réalise le premier échange entre l'auteur et le lecteur : sous-titre, préface, etc.) suscite chez le lecteur

Aussi quel rôle n'a-t-il pas dû jouer dans les consolations — les pauvres et rares consolations — de l'âme rilkéenne ! Celui qui souffrait de la chute si sonore de l'épingle sur le plancher, du bruit terrifiant des feuilles qui tombent dans la symphonie fatale de la chute de toute chose, avec quelle douce surprise n'a-t-il pas accueilli, dans ses rêves, les êtres qui avaient de petites [45] ailes aux pieds ? A bien vivre la liaison fréquente de la chute au vol dans nos rêves, on voit comment une

qui étudie la transformation de l'environnement naturel d'une planète, d'un satellite naturel ou d'un autre corps céleste, afin de s'y installer en réunissant les conditions d’une vie de type terrestre. Ce concept est apparu en 1942 dans un roman fantastique de Jack Williamson, c’est en effet lui qui a imaginé chaque étape se rattachant à une terraformation. Le terme officiel en France est écogenèse. a- Réchauffement de Mars En 1976, les sondes Viking ont réalisé des analyses directes depuis la

perturbé ». J’ai cherché à dissimuler mon indignation et je lui ai posé une autre question : — Comment peux-tu penser ça, bon sang ? — Eh bien, regarde un peu ce fichu machin que les petits malins de Portland ont l’air de trouver si fantastique. — Les gens le trouvent fantastique parce que c’est un travail qui provoque tout en ayant recours à un élément visuel typiquement régional, les pièges à langoustes du Maine, pour affronter une... — « Typiquement régional », m’a-t-il reprise d’un ton sarcastique.

grands news magazines français, il se consacre à l'écriture romanesque. Dès son premier livre, Les Fourmis, ce jeune écrivain s'est imposé comme un maître original d'un nouveau style de littérature, à cheval entre la saga d'aventures, le roman fantastique et le conte philosophique. Le Jour des fourmis, publié deux ans plus tard, traduit en vingt-deux langues, a obtenu le Grand Prix des lectrices de Elle et le Grand Prix des lecteurs du Livre de Poche 1995. La Révolution des fourmis est venu clore

temps à m’en rendre compte, et à m’en défaire. J’ai goûté une relation qui avait trop durée ce qui m’en a dégoûté, j’ai des regrets quant au fait de ne pas avoir essayé autre chose. Des idées tordues, des aventures sans lendemain, des envies fantastiques non réalisées. Des envies d’autre chose parfois inavouables, en résumé des regrets pour la vie, de ne pas avoir tenté ces expériences spéciales. Il y a des choses possibles à vingt ans qui deviennent moralement interdites à trente ans, mariée

tableau est tout entier étalé devant moi et que je puis contourner la statue en quelques secondes, j’ai besoin de plusieurs minutes pour « visiter » le bâtiment, façade et intérieur, comme il me faut plusieurs minutes pour dérouler la sonate ou la symphonie. Et telle est la vocation du thème : une forme d’expression qui tient compte des servitudes mais aussi des possibilités du temps. Après qu’il s’est énoncé, je le retrouve dans ses « développements », dans ses « variations ». Il aimante les moments