La Solitude

d'Eluard I. La Mort a) La solitude « Je voulais partager » → pour partager il faut être deux or Nusch n'est plus là, elle est morte et il est seul « je me suis étendu dans ma prison » → il est enfermé dans sa solitude : allégorie Occurrence de « sans » → Nusch n'est plus là « J'ai cru pouvoir briser la profondeur, l'immensité » Sans Nusch le monde lui paraît bien vaste « La solitude m'a semblé plus vive que le sang » → il préférerait mourir que de vivre avec cette solitude plus longtemps, et qui lui

________________________________________________________ ________________________________________________________ « Promenade au jardin des plantes Le titre n’est pas sans évoquer Rousseau, Les promenades du rêveur solitaire. C’est la solitude du philosophe qui se retrouve en filigrane dans ce sonnet de Musset : une solitude crainte mais douce dans laquelle le poète peu vaquer à ses méditations.« Sous ces arbres chéris, » (v.1) - Allitération en [s] et proximité sonore [s] - [z] - [ʃ]. Harmonie imitative du vent dans les

incipit ? Rappel : Narrateur ? Quel est son statut ? Quel est son point de vue ? Pourquoi ? Narrateur intérieur à l’histoire – point de vue interne. Hypothèse : Le narrateur révèle dans cet incipit : . Son statut de fils unique qui lui pèse : solitude/ enfant malheureux. . L’existence d’un frère imaginaire/ énigmatique… . Fils unique, j’ai longtemps eu un frère. Il fallait me croire sur parole quand je servais cette fable à mes relations de vacances, à mes amis de passage. J’avais un frère

volupté Ils cherchent le silence et l'horreur des ténèbres ; L'Erèbe les eût pris pour ses coursiers funèbres, S'ils pouvaient au servage incliner leur fierté. Ils prennent en songeant les nobles attitudes Des grands sphinx allongés au fond des solitudes, Qui semblent s'endormir dans un rêve sans fin ; Leurs reins féconds sont pleins d'étincelles magiques, Et des parcelles d'or, ainsi qu'un sable fin, Etoilent vaguement leurs prunelles mystiques. Je t'adore à l'égal de la voûte nocturne

de codes, de lois et de sanctions pour la régir. Et aussi, que si nous perdons le lien avec autrui, nous nous perdons nous-mêmes : Quand on est un adulte humain, rien n’est définitivement acquis qu’on ne puisse perdre si l’on est soumis à une solitude radicale : cf Vendredi ou les limbes du Pacifique : au début, Robinson pour ne pas sombrer dans la folie, fait tout comme s’il vivait encore en société : il s’autoproclame gouverneur de l’île, il y construit des bâtiment pour l’élevage, un fort pour

soi-même, à notre humanité, notre conscience. D’autre part, nos pensées les plus profondes et les plus complexes se forment le plus généralement dans la solitude, nous pensons le mieux quand nous sommes seuls. Mais cette solitude doit être voulu et non subie. La solitude voulu tend vers la richesse de réflexion et de bien-être tandis que la solitude subie est un état déshumanisant, privé de tout contact humain. C’est dans cet acte solitaire voulu qu’il faut souvent se recueillir dans son for intérieur

On découdre alors que l'absence "de suite" (l.1) est aussi liée au manque de fonds, ce qui est encore mis en relief par la "courte prière" (l.8) qui traduit un manque d'argent évident. La solitude est un autre aspect important de cet enterrement. Le lexique de la solitude est présent dans le texte : "seul" (l.10) et "vides" (l.4), mots qui illustrent le peu de personnes assistant à la cérémonie, et donc l'intérêt très limité porté au Père Goriot. Le lecteur éprouve alors une certaine

aujourd’hui cette vue-là qui triomphe, et demain la vue opposée. Les œuvres d’art sont d’une solitude infinie, et rien ne permet moins de les atteindre que la critique. Seul l’amour parvient à les saisir, à les soutenir, et peut leur rendre justice. » (pp. 46-47). Mais l’amour, pour Rilke, participe de la plus haute exigence, c’est la rencontre de « deux solitudes » : « (…) l’amour est difficile. (…) : solitude, isolement encore plus intense et plus profond pour celui qui aime. Aimer n’a d’abord rien

à réaliser toujours de nouvelles possibilités d’existence. (transition ) Mais les autres peuvent aussi se révéler des obstacles à notre épanouissement : parfois le salut est dans la fuite. II LA SOLITUDE SALVATRICE a)L’aliénation amoureuse cf. La place royale de Corneille b)La solitude des créateurs ; c)Le rapport aux autres dans les arts d’exhibition et de production III LE DRAME DE L’EXISTENCE COLLECTIVE : LES AUTRES NOUS SONT AUSSI INDISPENSABLES QU’INSUPPORTABLES

P4-6 ¤Les réseaux sociaux favorisent les rencontres ……………………..P4-5 ¤Les réseaux sociaux sont source de solitude et d’isolement ……….P5-6 Page de notion ………………………………………………………………P7 Documents …………………………………………………………………P8-9-10  [pic] «  Nous avons inventé une société de communication, nous avons enfaite inventé une société de solitude », déclare le publicitaire français Jacques Séguela en 2010. Alors que l’on vante les succès des réseaux sociaux ,quatre