La Solitude Dans En Attendant Godot De Becket

Licence cant-13-593079-LIQ1046008 accordée le 24 mars 2023 à joseph-ngouwaSOMMAIRE 1. RÉSUMÉ 4 2. ÉTUDE DES PERSONNAGES 6 Jean-Jacques Rousseau Thérèse Levasseur Mme de Warens Les « comploteurs » 3. CLÉS DE LECTURE 7 Promenade et rêverie La solitude de l’auteur Le rapport à la nature Le travail autobiographique 4. PISTES DE RÉFLEXION 10 5. INFORMATIONS COMPLÉMENTAIRES 11 Licence cant-13-593079-LIQ1046008 accordée le 24 mars 2023 à joseph-ngouwa3 LES RÊVERIES DU PROMENEUR SOLITAIRE JEAN-JACQUES

métaphysique et des dogmes religieux -tolérance et liberté -recherche du bonheur -le sentiment amoureux -le moi souffrant -la nature, confidente, infinie, maternelle -le mal de vivre, le Spleen, le mal du siècle, le vague des passions - la solitude du moi, inquiet et révolté, mélancolique et habité par la nostalgie du passé - la nuit et ses mystères ouvrant sur le merveilleux - le pittoresque et le fantastique du Moyen Âge GENRES CONCERNÉS Roman, essai, portrait, littérature didactique

destructrice du sentiment amoureux éprouvé par la présidente de Tourvel. I. La fonction émotive a. Une visée pathétique tournures exclamatives et interrogatives directes + coté morbide b. Une souffrance morale et physique champ lexical + thème de la solitude c. Une théâtralisation de la souffrance présent d'énonciation qui renforce le cote émotif II. La figure changeante de l’être aimé a. Valmont : amitié à amour b. Elle rejette la faute sur son mari c. Son coté manipulateur + Vicomte présenté

linguistique renferme une analyse du monde exterieur qui lui est propre, et qui differe de celle d'autres langues". Donc il y a necessairement de l'intraduisible, par exemple saudade en portugais que l'on traduit par melancolie, nostalgie. Il renvoit a la solitude spirituelle et au Salut. Ce terme evoque l'exil des marins à qui la terre manque mais qui ont la joie de decouvrir le monde (joie et regrets). Cela renvoie au passé glorieux du portugal, donc ce mot est toujours utilisé, il renvoie à une certaine

romancier “Le roman de la famille Almaviva” I.A.2 Absence de description du personnage dramatique Caractère énigmatique du personnage Le perso n’existe que dans le dialogue, CLOV : A quoi est-ce que je sers ? HAMM : A me donner la réplique. (Beckett Fin de partie) Parfois, explication partielle avec un “récitant” (Brecht) ou un coryphée (théâtre antique) mais ce perso ne peut être objectif car il appartient à la pièce. Rareté des portraits “Le personnage, sur scène, est d’abord appréhendé

(1950) Eugène Ionesco, La Cantatrice chauve (1950) Marguerite Duras, Un barrage contre le Pacifique (1950) ou Moderato cantabile (1958) ou Le Ravissement de Lol V. Stein (1964) Marguerite Yourcenar, Mémoires  d’Hadrien (1951) *Samuel Beckett, En attendant Godot (1953) *Nathalie Sarraute, L’Ère  du  soupçon (1956) ou Enfance (1983) Michel Butor, La Modification (1957) ou Robbe-Grillet, La Jalousie (1957) ou Claude Simon, La Route des Flandres (1960) Pierre Guyotat, Eden, Eden, Eden (1970) ou

par rapport à ses interlocuteurs : il est une figure d’exception. S’ensuit donc une autre caractéristique : la solitude du héros tragique, isolé dans un univers hostile. Son personnage suffit à concentrer tout le tragique de la pièce. Ce dernier est renforcé par la force de caractère du héros, qui n’est orienté que vers la réalisation de son entreprise. Découle enfin de cette solitude le fait que le héros reste sans pouvoir agir face aux événements qu’il subit dès lors malgré lui. Les dieux ne sont

psychologique clairement défini. Enfin, le contenu de l'absurde échappe à toute logique pour atteindre un degré de comique élevé. Malgré l’humour, l’absurde met en avant le caractère tragique de l’existence humaine (naître c’est être condamné à mourir) et la solitude des êtres qui ont du mal à communiquer. Plutôt que de développer une action, le théâtre de l’absurde force le spectateur à réfléchir et propose souvent une lecture symbolique de l’existence. Les auteurs marquants de l'absurde Albert Camus est

leurs débats impuissants, leurs actions désespérées, et leur terrible fin, pour le plus grand plaisir du spectateur et du lecteur.      Beckett, En attendant Godot, 1948, théâtre de l'absurde : Deux vagabonds, Vladimir et Estragon, se retrouvent sur scène, dans un non-lieu (« Route de campagne avec arbre ») à la tombée de la nuit pour attendre « Godot ». Cet homme - qui ne viendra jamais - leur a promis qu'il viendrait au rendez-vous ; sans qu'on sache précisément ce qu'il est censé leur apporter

Absence de description du personnage dramatique Caractère énigmatique du personnage Le perso n’existe que dans le dialogue, CLOV : A quoi est-ce que je sers ? HAMM : A me donner la réplique. (Beckett Fin de partie) Parfois, explication partielle avec un “récitant” (Brecht) ou un coryphée (théâtre antique) mais ce perso ne peut être objectif car il appartient à la pièce. Rareté des portraits “Le personnage