La Seconde Surprise de l'amour

Sensation Par les soirs bleus d’été, j’irai dans les sentiers, Picoté par les blés, fouler l’herbe menue : Rêveur, j’en sentirai la fraîcheur à mes pieds. Je laisserai le vent baigner ma tête nue. Je ne parlerai pas, je ne penserai rien : Mais l’amour infini me montera dans l’âme, Et j’irai loin, bien loin, comme un bohémien, Par la Nature, — heureux comme avec une femme. Sensation est un poème d’Arthur Rimbaud publié en Mars 1870. Ce texte est construit en deux quatrains de vers composés alexandrin

de l’intrigue viennent se nouer. Dans La Surprise de l’amour, du même auteur, l’action de la fin de l’acte II puis de l’acte III progressait autour d’un objet : le portrait miniature de la Comtesse. Perdu, retrouvé et conservé par Lélio, puis découvert par la Comtesse dans la « poche de sa veste » (tout près du cœur donc), il venait sceller le rapprochement définitif des deux personnages principaux, qui tentaient jusque-là de résister à l’amour. Quinze ans plus tard, dans Les fausses confidences

pièces de théâtre. Le premier texte fait partie de l’Illusion Comique de Corneille, œuvre publiée en 1636. Corneille est resté l’un des plus grands dramaturges du XVIIe siècle grâce à ses nombreuses comédies comme Le Cid. Le second, datant de 1951 est extrait de La Répétition ou l’Amour puni. Cette œuvre a été écrite par Jean Anouilh, célèbre dramaturge français du XXe siècle. Enfin, le dernier texte de Jean-Luc Lagarce est issu de sa comédie Nous, les héros publiée en 1997. On peut alors se demander en

pleinement libertin ? Quel statut de la femme est présenté par Laclos à travers le personnage de La présidente ? Nous montrerons dans une première partie que le regard de la Président sur Le Vicomte a changé, malgré son statut marital. Et dans un second temps nous tenterons de déceler la nature du Vicomte dans sa relation avec la Présidente. I –Tentative(s) de séduction du Vicomte de Valmont vis-à-vis de la Présidente de Tourvel 1. Le vicomte a pour projet libertin de séduire la Présidente Lorsque

durables; quelques sages qu'aient été leurs lois, elles n'ont pû s'étendre dans tous les pays ni convenir au goût, au génie, aux intérêts de toutes les Nations. La Philanthropie n'étoit pas leur base. L'amour de la patrie mal entendu et poussé à l'excès, détruisoit souvent dans ces Républiques guerrières l'amour de l'humanité en général. Les hommes ne sont pas distingués essentiellement par la différence des langues qu'ils parlent, des habits qu'ils portent, des pays qu'ils occupent, ni des dignités

prouve assez bien. En effet, de nos jours les programmes télévisuels nous bombardent à coup de publicité vantant tel ou tel marque (Coca-Cola, Peugeot, Oldelpaso), de séries télé (Les Simpson, Plus belle la vie, Glee), de soap opéra (Les feux de l’amour, Dallas, Des jours et des vies) ainsi que des films, téléfilms et animations (manga, dessins animé) par contre nous renseignent sur les actualités mondiales. Au cinéma, c’est à une toute autre échelle, on parle de films à plus ou moins gros budgets

construire une image double de la femme, ainsi qu’à communiquer au lecteur l’évolution de ses sentiments ? » […] Lecture Nous pouvons alors nous intéresser, dans une première partie, du vers 1 au vers 8, à l’image double de la femme ; puis dans une seconde partie, du vers 9 au vers 14, à l’évolution des sentiments du poète. Charles Baudelaire introduit son poème en évoquant le contexte sonore, qui est souligné par sont aspect déplaisant à l’aide de l’adjectif « assourdissante » et du verbe « hurlait »

L’unité d’action C’est bien l’amour menacé de Rodrigue et Chimène qui constitue presque tout le sujet de la pièce. Cependant, la « tragédie de l’infante est une intrigue secondaire venant se greffer, sans nécessité absolue, sur l’intrigue principale. Corneille d’ailleurs le reconnaîtra dans un passage du Discours : « Aristote blâme fort les épisodes détachés et dit que les mauvais poètes en font par ignorance et les bons en faveur des comédiens pour leur donner de l’emploi.» La « tragédie de l’infante

Gallimard, 1999.- 120 p. ; 18 x 13 cm.- Page blanche, 38.- Résumé : A travers sept nouvelles de guerre, des guerres de notre histoire proche, un fil, ténu comme une anecdote : celui de la vie qui continue, de la conscience qui parle trop clair, de l'amour plus fort que la guerre, de la mémoire qui ne s'éteint jamais. Cote : N DUB ** Molla, Jean.- Sobibor.- PARIS CEDEX 07 : Gallimard, 2003.- 191 p. ; 20 x 13 cm.- Scripto, Résumé : Emma est anorexique et ne parvient pas à se faire comprendre par

garde et est ridiculisé. Acte II Dès le lendemain matin, averti par Toinette, Cléante se fait passer pour le maître de chant d’Angélique afin de s’introduire dans la demeure d’Argan. A la vue de Cléante avec son père, Angélique dissimule mal sa surprise. Mais Toinette annonce l’arrivée des Diafoirus père et fils. Thomas, le fils, récite ses compliments à la famille. A la demande d’Argan, Cléante donne sa leçon de chant à Angélique : les deux amoureux exploitent cette opportunité pour s’avouer leur