La Seconde Surprise de l'amour

siècles. Il va falloir attendre la fin des années 70 pour qu’apparaisse l’histoire des femmes. On peut retenir 2 raisons : la mission éducative de l’enseignement et de la recherche en histoire. Facteur inconscient entre la mentalité et les sexes. La seconde évolution va consister à séparer pour mieux en comprendre les relations ce qui dans l’identité sexuelle des individus, la nature et la biologie. Ces évolutions ont permis de revisiter le vaste aspect ignoré de l’histoire récente des femmes et des

fonde ses intrigues sur des quiproquos et des rebondissements de situation. Nous pouvons alors identifier un premier comique à savoir, le comique de situation. Celui-ci est produit par la situation d'un personnage dans l'histoire qui est racontée (surprises, rebondissements, retournements...) Par exemple : Pinchard tout surpris de voir un homme dans le lit de sa femme et Pontagnac qui pense que Lucienne va le prendre comme amant. Ainsi Feydeau plonge ses personneages dans des situations tellement

thésaurisation1, mais au contraire effort, appropriation, dépense d’énergie dans l’action. Pour démontrer sa thèse, Alain commence par annoncer en quoi la difficulté de vivre peut être dite bonne, pertinente pour mon bonheur (« Il est bon… passions de l’amour »), avant d’expliquer pourquoi « l’inquiétude », au sens du contraire de la quiétude, s’avère un remède contre le repos de l’âme qui, contrairement aux apparences, tue le bonheur au lieu d’en être le principe même, comme on le croit trop facilement

napoléonienne. L’extrait étudié est issu du second chapitre où nous retrouvons la duchesse, accompagnée de son amant, refusant de céder à ses avances. Cette situation nous incite à se demander de quelle manière Balzac met en scène l’affrontement de pouvoir de ces deux personnages. Ainsi, nous y répondrons dans un développement construit en deux parties dans lequel la première traitera sur le mépris de la duchesse envers le général, puis la seconde sur la réaction de ce dernier face à la réelle

travestissement, privilégie l'amour comme ressort de la comédie. On peut voir en Marivaux un utopiste, qui utilise le théâtre comme un lieu d'expérimentation sociale (L'Ile des Esclaves, 1725, où maîtres et serviteurs échangent leurs rôles, La Colonie, où les femmes veulent établir une république). Il existe aussi un Marivaux romanesque, qui emprunte à la vogue des romans tragiques et des aventures de nobles déguisés: Le Prince travesti (1724), Le Triomphe de l'amour (1732). Marivaux est surtout

chéri(e). Il s'agit plutôt d'une approche scientifique et rationnelle sur le thème de l'amour, sur son "art", tout comme il pourrait parler de peinture, de musique ou tout autres thèmes. «L'amour est-il un art? » pose-t-il comme question, nous dévoilant ainsi l'idée conductrice de son texte. Selon la majorité des gens de l'époque, l'amour consiste à être avec quelqu'un qui corresponds à nos critères de sélection, l'amour devient alors aussi simple que t'acheter une sorte de savon à linge ou de désodorisant

de ce regard suprême Qui reste à la beauté quand nous en triomphons, Et je lui dis : Veux-tu, c’est le mois où l’on aime, Veux-tu nous en aller sous les arbres profonds ? Elle essuya ses pieds à l’herbe de la rive, Elle me regarda pour la seconde fois, Et la belle folâtre alors devint pensive. Oh ! comme les oiseaux chantaient au fond des bois ! Comme l’eau caressait doucement le rivage ! Je vis venir à moi, dans les grands roseaux verts, La belle fille heureuse, effarée et sauvage

peuvent être vus comme des protubérances à la fois liées à l’ensemble et indépendantes, juxtaposées selon le principe de juxtaposition esthétique chère aux cubistes et que l’auteur, avanteux, applique en poésie. Quintils 1 à 5 : " La fausseté de l'amour même " : (la femme est mal aimante et son amour est faux - ce qui dominera les 5 premières strophes) resurgit à la rencontre d’un " mauvais garçon " et d’une femme saoule . Quintils 6 à 8 : Mais " Sacontale ", héroïne d’un drame hindou du Ve siècle

principaux auteurs classiques sont notamment Corneille, Boileau, Racine... Le deuxième et le troisième texte qui sont ceux de L'abbé Prévost et de Stendhal s'intègrent au réalisme. C'est un mouvement artistique moderne qui est apparu en Europe dans la seconde moitié du XIXe siècles, et notamment en Italie et en Allemagne. Il est né du besoin de réagir contre le sentimentalisme romantique et contre «  la sottise, le poncif et le bon sens ». Il cherche à dépeindre la réalité telle qu'elle est, sans artifice

principal su les autres personnages. Puis en réponse à la deuxième question, nous comparerons les différentes sensations qui participent au bonheur. 1) Dans le texte d’Alice Ferney, le personnage principal est Esther, une bibliothécaire qui à l’amour des livres et qui se présente régulièrement su un terrain vague de la banlieue parisienne où est installée une famille de gitans. Esther a une influence sur ces jeunes enfants car lorsqu’elle lit un livre, les enfants sont calmes : « Ils ne bougeaient